Legio Cybernetica

De Omnis Bibliotheca
(Redirigé depuis Castellax)
Aller à :navigation, rechercher

Deco banner 1.png
Mechanicus banner corner.png
Deco cable.png
Mechanicus page corner alt.png
Deco banner 2.png
Mechanicus banner corner.png
Deco cable.png
Deco banner 4.png




Mechanicus side.png
Mechanicus page corner.png
Mechanicus side.png
« Tu ne souffriras pas d’une machine à penser ! Car la ruine est son but et l’œuvre est maudite. »
- Archimagos Takashi Ludd : Castigations sur le Corpus Logisitca.
Les Automates de Bataille de la Legio Cybernetica partent en guerre pour l’Omnimessie !

L’Adeptus Mechanicus est divisé en plusieurs sous-branches et divisions. Chacune est spécialisée dans l’un des nombreux domaines des arcanes techniques. La Legio Cybernetica est l’une des plus anciennes divisions de l’Adeptus Mechanicus. Ses archives remontent presque sans interruption aux tout premiers jours de l’Imperium et, on le suppose, aux temps qui l’ont précédé. La Legio a une longue histoire, et ses membres se considèrent comme une élite.[1]

Une Origine Ancienne

Étant l’une des plus redoutées et des plus puissantes des armées de l’antique Mechanicum, la Legio Cybernetica porte le lourd fardeau et la redoutable responsabilité de l’utilisation des Automates de Bataille dans la guerre, ainsi que le développement, la propagation et la maintenance de ces terrifiantes machines sous l’encadrement sacrée des Accords Pourpres de Mars. Ces accords sacrés ont été l’une des pierres angulaires du droit doctrinal créé lors de la fondation du Mechanicum à l’époque de l’Ère des Luttes, et a interdit à jamais la création des intelligences abominables et sans âme connues sous le nom de Silica Animus, prononçant une condamnation à mort sur tous ceux qui ont survécus ou sur tout Magos ou mortel qui les servirait ou chercherait à les créer. Ces accords ont cependant permis la survie et la création des "œuvres inférieures et vertueuses" de la vie synthétique jugée sacrée, la Bestia Mechanica et ses semblables, et parmi celles-ci, les machines robotiques conçus pour la guerre et le massacre, les Automates de Bataille, qui ont été confiées à la Legio Cybernetica pour les contrôler.

On se méfiait du pouvoir que ces machines à tuer suprêmes pouvaient exercer si elles étaient réunies - un pouvoir suffisant pour renverser des empires comme elles l’avaient fait à l’époque des ténèbres. Il fut décrété dès son origine que la Legio Cybernetica serait divisée en une myriade d’unités autonomes et relativement petites et indépendantes, appelées Cohortes, limitant effectivement le pouvoir que chaque Archimagos de la Legio pourrait exercer ; le pouvoir destructeur de la Cohorte reposant sur un ensemble de trente à cent Manipules d’Automates de Bataille, chacun comprenant entre une et cinq machines de guerre sacrées. Chaque Cohorte était dirigée par un prêtre du Culte de la Machine qui possédait le secret de la cybernétique, et en dessous d’eux une alliance de Magos Dominus qui orientait les machines de guerre elles-mêmes au cœur de la bataille. Les Myrmidons prêtaient serment au service de la Cohorte et à leurs propres Technaugures, serviteurs et esclaves qui veilleraient aux besoins de la Cohorte sur le champ de bataille et en dehors. Les Cohortes possédaient également leurs propres réseaux de soutien, des ateliers mobiles, des transports, des véhicules de combat, des atterrisseurs orbitaux et même des vaisseaux spatiaux dans certains cas, mais il leur était par ailleurs interdit de fonder leurs propres forges ou chantiers, ce qui les rendait dépendantes des réseaux d’approvisionnement et de patronage des grands Seigneurs de la Machine du Mechanicum et de ses Mondes-Forges pour leur survie et leur prospérité à long terme.

La mise en service de la Legio Cybernetica sur le champ de bataille était un élément essentiel du traité d’union du Mechanicum avec l’Empereur, et un grand nombre de Cohortes ont été transférées de leurs fonctions de défenseurs des Mondes-Forges et de serviteurs des grandes factions et sectes Mechanicum pour servir de régiments dans la Grande Croisade, combattant sur tous les champs de bataille imaginables et servant de nombreux maîtres. Bien que leurs Automates de Bataille aient été difficiles à construire et à entretenir, les arcanes des Magos de la Legio Cybernetica et les succès qu’elles ont remporté sur le champ de bataille ont permis à plusieurs milliers de Cohortes actives d’exister au moment de l’apparition de l’Hérésie d'Horus. Les Cohortes de la Legio Cybernetica ont été très appréciées par les forces de la Grande Croisade et ont servi étroitement aux côtés de nombreuses Legiones Astartes, Libres-Marchands Militants, Maisons de Chevaliers et osts de l’Armée Impériale, bien que d’autres les craignaient et les évitaient en se souvenant des horreurs de la Vieille Nuit.

Lorsque les guerres de l’Hérésie d’Horus ont débuté, la nature indépendante des Cohortes de la Legio Cybernetica s’est affirmée, car dans l’ensemble, elles ne se sont déclarées pour aucun camp, ni Loyaliste ni Traître, mais étaient divisés entre des maîtres pour lesquels ils avaient longtemps combattu dans de nombreux cas. D’autres Cohortes, conscientes de leurs serments de loyauté envers l’Empereur ou craignant une descente dans l’anarchie, voyaient dans les Traîtres des renégats répugnants à détruire, tandis que d’autres nourrissaient l’ambition de se libérer des Accords Pourpres, et virent dans la guerre du Maître de Guerre une chance de poursuivre des rites et des technologies longtemps interdits.[2]

L'Hérésie d'Horus

Pendant l’Hérésie d’Horus, de nombreuses cohortes de la Legio se sont rebellées sous la direction du Maître de Guerre Horus. Les cohortes qui avaient été placées sous le commandement du Maître de Guerre en vue d’une nouvelle croisade. Lorsque Horus ordonna à ses forces de se retourner contre l’Empereur, les cohortes de la Legio à sa disposition lui obéirent. Dans les combats qui suivirent, beaucoup de membres du Mechanicum se joignirent à Horus et à ses rebelles, mais cela ne changeait rien au fait que les éléments de la Legio avaient été parmi les premiers à se déclarer pour le Maître de Guerre. Après la défaite de l’Hérésie et le bannissement des Légions Renégates, les cohortes déshonorées de la Legio s’enfuirent également dans l’Œil de la Terreur, où elles demeurent à ce jour.

Depuis la défaite d’Horus, la Legio Cybernetica s’est à nouveau mise au service de l’Imperium. Ses membres prêtèrent des serments de loyauté plus terribles que tous les serments des Chapitres Space Marines. Au cours des millénaires, elle a regagné le respect et l’admiration du reste de l’Adeptus Mechanicus, de la Garde Impériale et de l’Adeptus Astartes.[3]

L'Ost Robotique

Cohortes de la Legio Cybernetica.
(Cliquez pour agrandir)

La Legio est responsable de l’entretien et de la construction de tous les Automates de Bataille de l’Imperium. Les Automates de Bataille peuvent être utilisés par diverses forces armées impériales, mais ils sont toujours sous le contrôle absolu de la Legio. En effet, beaucoup d’Adeptes de la Legio ont été tués alors qu’ils participaient à des opérations militaires. La Legio continue à servir, consciente de sa valeur en tant que force de combat, même si elle subi plus de 90% de pertes.

La Legio est organisée en plusieurs milliers de cohortes, mais seul un pourcentage de ces dernières est actif à un moment donné. Chaque cohorte est à son tour organisée en manipules de trois, quatre ou cinq Automates de Bataille avec en plus un Technoprêtre de la Legio. Le nombre de manipules dans une cohorte varie, mais il est rarement supérieur à cent. Cependant, une cohorte est généralement répartie sur l’ensemble des armées impériales. Les batailles impliquant plus de quatre ou cinq manipules sont rares. Cela ne veut pas dire qu’elles n’ont jamais eu lieu - pendant l’Hérésie d’Horus en particulier, un grand nombre d’Automates de Bataille ont été engagés par les deux camps dans le but de minimiser les pertes humaines jusqu’à ce qu’une bataille finale décisive puisse être menée.

Chaque manipule est pratiquement une unité autonome. Les quatre unités sont (généralement) gérées sur le champ de bataille par un seul Technoprêtre. Il n’a guère plus à faire que de définir le programme des Automates de Bataille et de suivre leur progression. Il est cependant également chargé de veiller à ce qu’un Automate de Bataille endommagé (qui pourrait être dangereux pour son propre camp) soit détruit le plus rapidement possible. Chaque Automate de Bataille possède un système d’autodestruction qui peut être déclenché à distance si sa programmation échoue d’une manière ou d’une autre. Bien que rarement présent sur le champ de bataille (s’ils peuvent l’aider), il existe aussi des Technoprêtres moins expérimentés qui assurent toutes les fonctions d’entretien et de réparations du manipule. On dit qu’un Technoprêtre de la Legio vaut son pesant d’or en pièces détachées et peut réparer pratiquement n’importe quel équipement impérial.

Les cohortes de la Legio sont occasionnellement attachées aux Chapitres Space Marines en campagne, comme lors de l’Opération Carthage. Lorsque le Chapitre des Desert Lions a pris les forts de défense de la planète, il a été précédé par une cohorte complète d’Automates de Bataille de la Legio. Les Automates de Bataille avaient été programmés pour avancer de façon apparemment suicidaire et se sont avérés des cibles faciles pour les défenseurs. Cependant, les Desert Lions ont profité de l’occasion pour dresser la carte des plans de tir et des angles morts des défenseurs. Lors de l’assaut des Lions qui suivit, seuls sept Marines furent perdus. Tous les Automates de Bataille survivants furent intronisés dans le Chapitre en tant que membres honoraires en signe de respect.

L’Inquisition a également fait bon usage des cohortes de la Legio. Les Automates de Bataille sont, de par leur nature même, totalement incorruptibles. Leur nature préprogrammée et non biologique en fait des troupes parfaites pour combattre les mutants et autres populations corrompues. La terreur que les Automates de Bataille peuvent provoquer lorsqu’ils sont utilisés contre des troupes non préparées et sous-armées n’est pas passée inaperçue pour l’Inquisition. Ceci, combiné à leur loyauté sans faille, a fait d’eux des ajouts précieux dans l’arsenal de l’Inquisition. Les cohortes attachées à l’Inquisition sont généralement composées d’Inquisiteurs-techniciens plutôt que des adeptes de la Legio. Les Automates de Bataille restent purs et incorruptibles contrairement aux hommes.

Les manipules de la Legio nécessitent moins d’espace pour le transport que les unités militaires standard (les Automates de Bataille peuvent être transportés dans l’espace sans danger), moins d’équipements de premières nécessite et de nourriture (les Automates de Bataille ne mangent ni ne boivent) et moins de soutien sur le champ de bataille (les Automates de Bataille portent généralement leurs propres armes lourdes). De nombreux Automates de Bataille utilisent des armements standards, ce qui réduit le besoin de fournitures spécialisées, et peuvent échanger des pièces avec des Dreadnoughts. Tout cela les rend extrêmement populaires auprès des commandants militaires.

Construction

Certaines des plus anciennes cohortes de la Cybernetica clament que leurs troupes robotisées datent, en partie du moins, de la Grande Croisade voire même qu’elles sont antérieures à elles. Ces affirmations peuvent avoir une certaine validité, car les Automates de Bataille sont souvent cannibalisés pour fournir des pièces de rechange à leurs frères endommagés. Étant donné la durée de vie des technologies impériales lorsqu’elles sont entretenues, ces dires deviennent vraisemblables. Il est en effet possible que la jambe, le champ de force ou le cortex d’un Automate de Bataille ait été utilisé presque constamment depuis plus de dix mille ans.

Comme un Dreadnought, un Automate de Bataille est le produit des nombreuses technologies avancées qui ont produit sa coque arquée, ses faisceaux musculaires et nerveux artificiels, son cortex, son alimentation énergétique, ses systèmes de contrôle des armes, ses interfaces d’équipement et son enveloppe. Les ateliers d’armement du Mechanicus fabriquent de nombreux Automates de Bataille d’après les dessins séculaires conservés dans les banques de données. Par exemple, les Automates de Bataille Castellan et Crusader sont connus pour avoir combattu dans les deux camps pendant l’Hérésie d’Horus. Les schémas sont restés pratiquement inchangés depuis cette époque, avec peut-être seulement des variations cosmétiques mineures.

De nombreux composants des Automates de Bataille sont identiques (ou presque) aux pièces des Dreadnoughts. Cette compatibilité simplifie de nombreux problèmes d’approvisionnement et de réparation. Des cohortes de la Legio ont, par exemple, été cannibalisées pour fournir des pièces de rechange pour les châssis Dreadnoughts ! En retour, les adeptes de la Legio Cybernetica n’ont pas hésité à démonter des Dreadnoughts - parfois même à tuer le pilote au passage - lors des réparations sur le champ de bataille.

Ce qui différencie un Automate de Bataille d’un Dreadnought inoccupée, c’est son cortex. Il s’agit en quelque sorte d’un cerveau fabriqué, qui est construit à partir de protéines et d’enzymes artificielles. Ce cortex est imprégné de routines d’entretien et d’impulsions simples - un "esprit" rudimentaire. Celui-ci permet à l’Automate de Bataille d’obéir à des instructions élémentaires ("Ouvrez la porte de l’armurerie, s’il vous plaît… Avancez vers la Forteresse Arca" etc) lorsqu’il s’éloigne du champ de bataille. Ces routines de "microprogramme" (appelées ainsi parce qu’elles sont intégrées dans un logiciel) sont souvent inspirées de créatures vivantes, et un Automate de Bataille peut développer un sentiment de fidélité envers son maître Technoprêtre.

Avant un combat, les microprogramme sont superposés et remplacés par le complément de combat de l’Automate de Bataille (c’est-à-dire le logiciel d’un ordinateur à protéines). Ce nouveau programme cortex, qui peut être modifié à chaque bataille, définit, par exemple, comment et quand l’Automate de Bataille doit utiliser ses armes ou s’autodétruire.

Chaque pièce du complément de combat est maintenue dans une petite combinaison de bioplastique, de la taille d’une carte de crédit. De nombreux guerriers prennent aux Automates de Bataille leurs "essences" en croyant qu’elles contiennent l’âme et le courage de l’Automate de Bataille. Conservés dans un sachet, une partie de la bravoure de l’Automate de Bataille passerait dans le guerrier ; même certains Chapitres Space Marines sont connus pour suivre cette tradition.

Sans son cortex, un Automate de Bataille est aussi impuissant qu’un Bolter sans Space Marine. Il ne peut rien faire d’autre que de subir la punition qui lui est infligée. Mais avec son cortex entièrement programmé, un Automate de Bataille peut se montrer l’égal de nombreuses autres créatures sur le champ de bataille.[4]

Les Automates de Bataille

La Legio Cybernetica a produit de nombreux modèles d’Automates de Bataille au cours des siècles. Certains furent un échec, comme le désastreux Castigator (un Automate de Bataille si lourdement blindé qu’il était plus lent que les troupes qu’il était censé protéger et soutenir ; sa capacité de survie n’ayant pas été améliorée avec son unique Pistolet Bolter).

D’autres ont eu plus de succès, et la Legio a conservé ces Automates de Bataille ci-dessous dans son inventaire pendant la plus grande partie de la longue et sanglante histoire de l’Imperium. Parfois, un modèle unique a perdu la faveur de la Garde Impériale, de l’Inquisition et des Space Marines, mais tous avaient (et ont toujours) un rôle important à jouer dans les forces impériales.[5]

L’Esprit de la Machine

Les origines de la Legio Cybernetica peuvent être retracées jusqu’aux expériences des premiers techno-savants sur la vie artificielle durant l’Âge de la Technologie. Toujours curieux, ces pionniers fabriquèrent de grands osts d’automates, et accordèrent à leurs créations le don de penser par elles-mêmes. Cette décision allait leur coûter cher, ainsi qu’au reste de l’Humanité. En conséquence des événements terribles qui survirent, les créateurs du concept de Silica Animus furent soumis à l’Excommunico Fatalis et ceux qui s’y essaieraient désormais seraient punis de torture jusqu’à ce que mort s’ensuive. Et pourtant, il en restait pour vouloir marcher dans leur pas et créer la machine pensante parfaite. Au lieu de créer des automates pourvus d’âmes humaines, maints Technoprêtres récidivistes conçurent des machines imbues de l’animus de bêtes fidèles - ou pire, d’essences de l’Empyrean. Là encore, les conséquences furent désastreuses. Le schisme consécutif fut exploité par Horus lui-même lorsqu’il trahit l’Empereur. Il en naquit le Mechanicum Noir, qui a recours à l’engeance démoniaque pour donner vie à ses machines. Beaucoup de modèles de robots ont été pervertis par leur association avec les prédateurs-machines de cet âge sombre. Ainsi, les modèles bestiaux Thanatar, Castellax et Vorax ont été oubliés sur tous les Mondes-Forges hormis les plus indépendants, et le nom Mechanicum Noir est prononcé uniquement en code secret. Pourtant, la crainte et les sinistres légendes de ces armées de robots implacables demeurent.

Arlatax

Une variante de l’ancien et polyvalent SCS de l’Automate Conqueror fut le développement de l’Arlatax, l’œuvre des Magos de Xana II, et qui allait beaucoup influencer la conception ultérieure du Domitar. Mais au-delà des forces des Taghmata et des Secutarii de ce Monde-Forge, le modèle n’a jamais été largement accepté, malgré ses excellentes performances en tant qu’unité d’assaut de choc à mouvement rapide. Il n’avait pas été approuvé par les attributions de Mars, ce qui rendait le réaménagement et la réparation difficiles pour ceux qui n’avaient pas de ligne directe avec les ressources de Xana, bien que certains Mondes-Forges périphériques comme Atar-Merdian et Incaladion étaient connus pour avoir obtenu des modèles complets leur permettant de produire leurs propres Arlatax de façon indépendante. De sombres soupçons portaient sur leurs Esprits de la Machine, qui étaient particulièrement sujets à des incidences de Malifica plus que tolérables sans cause évidente.

Cependant, alors que l’Hérésie d’Horus se développait, il devint évident que Xana II avait produit et stocké des Arlatax en nombre insoupçonné, et utilisé des sous-composantes de plus en plus baroques et sinistres. Durant la même période, Atar-Meridian a entretenu une petite production de variantes plus fortement sanctifiées qui s’est faire une place sur les lignes de bataille Loyalistes.[6]

Castellan

Symbol mechanicus.png
L’Omnis Bibliotheca est vaste, peut-être vouliez-vous aller voir quelque chose qui porte le même nom : Castellan
Un Castellax.

Le Castellan est un Automate de Bataille et d’assaut polyvalent développé pour être utilisé dans un large éventail de situations sur le champ de bataille. Les deux Gantelets Énergétiques dans la configuration standard le rendent particulièrement efficace dans les rôles de siège et d’anti-véhicule, et constituent un complément efficace à l’armement lourd.[7]

Castellax

Automate de Bataille de type Castellan en service le plus courant, le Castellax est une unité de combat développée pendant la Grande Croisade à partir de son lointain ancêtre. Principalement destiné aux travaux de siège et aux assauts de choc, le Castellax est une machine humanoïde trois fois plus imposante qu’un homme, dotée d’un Esprit de la Machine notoirement agressif et réactif, et jouissant d’une réputation enviable sur le champ de bataille.

Son endosquelette blindé est résistant aux tirs d’armes légères et aux dommages grâce à sa conception durable et à la présence de la même technologie de blindage atomantique que celle qui équipe le Dreadnought de classe Contemptor des Legiones Astartes. Le Castellax, utilisé en grand nombre par la Legio Cybernetica, a une configuration standard d’armement Bolter et de Canon Bolter, et est capable de maintenir un barrage de puissance de feu punitif au fur et à mesure de son avancée. Des configurations plus rares, cependant, comprennent des Automates de Bataille équipés de Lance-Flammes ou du puissant et obscur Canon à Photons Lourds Darkfire.[8]

Castellax-Achea

N’ayant jamais gaspillé les rangs de leur Légion dans une attrition sanglante ou des attaques frontales vaniteuses, la Légion des Thousand Sons, et même leur Primarque, avaient depuis longtemps reconnu l’utilité de la puissance non vivante des Automates de Bataille en tant qu’unités d’assaut de choc obéissantes, résistantes et finalement sacrifiables. Comme pour toutes les autres facettes de la guerre, les Thousand Sons pensaient que l’utilisation de ces Automates de Bataille pouvait être améliorée par l’application de leurs arts psychiques comme méthode de contrôle et peut-être d’augmentation directe, les libérant potentiellement de la nécessité de faire appel directement à la techno-arcane du Mechanicum dans la construction et la mise en œuvre de ces machines.

Le fait que ces recherches aient longtemps été considérées comme un "heretek anathema" pour le Mechanicum fut un facteur ignoré, comme tant d’autres dans l’orgueil des Thousand Sons, et avec l’aide secrète d’éléments quasi renégats du Monde-Forge isolé de Zhao-Arkhad, leurs premières expériences avaient porté leurs fruits sous la forme d’une variante de Castellax conçue sur mesure selon leurs propres spécifications au cours des dernières années avant leur censure, un fait qui fut un choc mortel pour leurs agresseurs lors de la chute de Prospero.[9]

Cataphract

Le Cataphract est un Automate de Bataille lourdement blindé conçu pour être utilisé dans presque toutes les situations de combat. Il possède toute une gamme d’armes à des fins diverses, et bien qu’il soit considéré par certains commandants comme adapté à tout sans avoir une spécialité précise, sa polyvalence dans un large éventail de rôles en fait une machine très favorisée et populaire.[10]

Colossus

Symbol mechanicus.png
L’Omnis Bibliotheca est vaste, peut-être vouliez-vous aller voir quelque chose qui porte le même nom : Colossus

Le Colossus est avant tout un Automate de Bataille de siège ; la configuration standard combine un marteau de siège pour attaquer les fortifications avec des armes plus légères à utiliser contre les troupes en défense.

Il est largement utilisé par la Garde Impériale comme une alternative moins coûteuse au Dreadnought de Siège. Quelques Automates de Bataille de classe Colossus sont entretenus par l’Ordo Reductor de l’Adeptus Mechanicus, principalement pour tester des armes de siège nouvelles et expérimentales.[11]

Conqueror

L’Automate de Bataille Conqueror est conçu pour être utilisé sur le champ de bataille dans des situations où l’on s’attend à une forte résistance armée. Un point majeur de sa conception est l’équilibre et la combinaison de la puissance de feu avec un blindage lourd. Il est largement utilisé dans des assauts et l’élimination de véhicules et des Dreadnoughts.[12]

Crusader

Symbol mechanicus.png
L’Omnis Bibliotheca est vaste, peut-être vouliez-vous aller voir quelque chose qui porte le même nom : Crusader

Le Crusader est un Automate de Bataille léger, agile et légèrement blindé, conçu pour se déplacer rapidement et porter un coup décisif. Il est généralement utilisé en mode anti-personnel et est très populaire auprès de l’Inquisition et d’autres groupes, ayant prouvé son efficacité dans les opérations de chasseurs/tueurs de mutants. Le Crusader n’est généralement pas utilisé lorsque l’on s’attend à une forte résistance ou à une forte concentration de blindés ennemis.[13]

Domitar

Un Domitar du Cercle de Fer du Primarque Perturabo durant l’Hérésie d’Horus.

Considéré par la plupart des observateurs comme la dernière classe d’Automates de Bataille à entrer en production sur plusieurs Monde-Forges avant le début de la guerre civile, le Domitar était une variante sophistiquée de l’ancien modèle Conqueror. Plus grand que le Castellax, plus commun, à côté duquel il servait, le Domitar était également plus rapide, conçu pour traverser le champ de bataille à grande vitesse et construit expressément pour s’écraser sur l’ennemi avec une force écrasante.

À cette fin, la structure blindée et protégée contre les chocs du Domitar était une arme, tandis que ses coups étaient amplifiés à des proportions colossales par les marteaux gravitationnels intégrés de l’Automate, lui permettant de pulvériser les chars de combat et, comme il le prouvera plus tard, même les Dreadnoughts de Astartes. En tant que briseur de ligne, le Domitar était sans égal dans l’arsenal du Mechanicus, et sa flexibilité tactique a été encore augmentée avec un lanceur de missiles armé de diverses munitions.

L’introduction du Domitar faisait partie de la montée en puissance du Mechanicum à la fin des années 900.M30 et a suscité beaucoup d’inquiétude dans certains cercles de la hiérarchie de l’Imperium, mais comme d’autres armes de son époque, il a brûlé dans les feux de la guerre civile et ait presque perdu désormais pour l’histoire.[14]

Excindio

Peu de gens, en dehors des forgerons les plus expérimentés de l’Ironwing, connaissaient les Automates de classe Excindio, d’imposants mastodontes métalliques moulés dans un moule inhumain et lâchés sur les ennemis les plus intransigeants. Maelström de griffes, de flammes arcaniques et de radiations, peu de formations pouvaient résister à l’une de ces monstruosités une fois qu’elles étaient lâchées sur le champ de bataille, car un Excindio ne comprenait pas la pitié ou la retenue et, contrairement aux automates froidement logiques du Mechanicum, il prenait un plaisir vicieux au carnage qu’il infligeait à l’ennemi.

En effet, connues seulement des Dark Angels et de l’Empereur Lui-même, ces unités étaient une version bien différente des automates maladroits de Mars et étaient basées sur une base technologique terrienne censurée. Chacun des Excindio survivants était le reste torturé et castré d’une intelligence artificielle du Moyen-Âge Technologique, le dernier des redoutables Silica Animus enchaînés au service de l’Humanité. Les légendes de ces terreurs cauchemardesques sont encore préservées dans les contes de la Vieille Nuit, y compris les pires horreurs des guerres de l’Unité et, même dans leur état actuel, c’étaient des combattants redoutables. Les Dark Angels préservèrent ces Esprits de la Machine maléfiques dans les profondeurs des voûtes cachées de Caliban et les utilisaient pour contrer les menaces les plus abominables sur les champs de bataille les plus dangereux.[15]

Kastelan

Le Kastelan associe une force physique prodigieuse et une robustesse extraordinaire qui l’ont vu combattre les ennemis de l’Imperium depuis dix mille ans. Deux fois plus haut qu’un Space Marine, le Kastelan est implacable, car fait d’un métal solide chemisé de céramite qui lui permet de marcher au milieu d’une grêle de tirs sans ralentir. Cependant, chaque nouvelle tâche d’un Kastelan doit être soigneusement programmée, ou il appliquera indéfiniment l’ordre en cours. Un manipule de Kastelans peut marcher volontairement dans un lac de lave, ou continuer de raser une cité même après avoir maté les techno-insurrectionnistes contre qui on l’a envoyée. Des Technoprêtres spécialistes, comme les Compilateurs de la Cybernetica, peuvent ajuster son programme en pleine bataille. En activant ses sous-routines balistiques, des flots de phosphore volent dans les rangs adverses, forçant les rares survivants à s’abriter pendant que leurs persécuteurs approchent. Le Compilateur règle alors les impératifs qui encadrent ses robots sur les protocoles conquérants. Un instant de réajustement et les Kastelans accélèrent le pas, leurs Crémateurs Incendine chassant l’ennemi de leur couvert tandis que leurs lourdes enjambées se transforment en course effrénée qui fait trembler le sol torturé. Quand un manipule de Kastelans atteint les lignes adverses, elle la heurte avec la force d’un escadron de chars, les poings et pieds massifs des robots pilonnant l’ennemi jusqu’à le réduire en purée sanguinolente.

Scyllax

Les créations les plus puissantes du Mechanicum ne sont pas toutes des machines de guerre énormes et des Automates de Bataille gigantesques. Certaines, comme l’Automate Gardien Scyllax, font preuve d’une puissance redoutable dans un cadre plus compact à peine plus grand qu’un homme en armure. Véritable Automate de Bataille, dépourvu de cortex cybernétique, ils ne constituent pas non plus une véritable classe de Serviteurs car leur composante organique est presque négligeable, réduite aux crânes d’ossuaire et aux tissus neuraux humains prélevés à partir de sources qu’il vaut mieux ne pas connaître. Leurs carapaces blindées, aussi résistantes que les plaques de combat de Astartes, abritent au contraire de puissants réacteurs électro-thermiques et des batteries de cogitateurs lucides qui traitent une tempête d’engrammes d’analyse du champ de bataille et d’incantations techniques protectrices, un système si puissant que certains prétendent qu’il frise le blasphème de la Silica Animus.

Leur valeur va bien au-delà des simples servo-automates à partir desquels ils ont été développés en utilisant d’anciens secrets découverts pendant la Grande Croisade. Les Scyllax ne se retrouvent que dans les suites des Magos les plus haut placés, où ils servent de gardes du corps et de troupes de choc d’élite. Certaines factions au sein du Mechanicus n’ont pas de Scyllax, car ils pensent qu’il y a une origine sinistre dans sa conception, et que les automates acquièrent avec le temps une conscience de soi subtile et dangereuse.[16]

Thanatar

Un Thanatar.

Le Thanatar est un Automate de Siège lourd, conçu comme une plate-forme d’artillerie mobile plutôt que comme une unité de combat générale. Il est armé d’un mortier à plasma de type Hellex, une arme terrifiante capable de lancer des sphères denses de plasma enflammé sur des trajectoires en arc de cercle par-dessus des barrières défensives et au cœur des fortifications ennemies, incinérant tout ce qui se trouve dans son rayon d’explosion avec une marée liquide de feu solaire.

Le châssis du Thanatar, construit pour accueillir l’énorme arme et les systèmes d’alimentation et les réserves de carburant nécessaires pour l’alimenter, est considérablement plus large que le Castellax, qui est en pleine expansion. Sa structure est également fortement renforcée, à la fois pour résister aux contraintes de tir de son arme principale et pour le protéger contre les attaques extérieures. Ce facteur, ainsi que l’utilisation d’un blindage atomantique, font du Thanatar une machine d’une durabilité notoire. Sa résistance est telle que la plupart des armes de petit calibre, aussi perfectionnées soient-elles, n’ont pas la capacité de faire du mal au Thanatar.

Contrairement à beaucoup d’autres Automates de Bataille produits pour ajouter la puissance du Mechanicum à celle de la Grande Croisade, les origines et la lignée du modèle Thanatar restent incertaines, à l’exception peut-être du fait que son armement est connu pour être le produit du Monde-Forge de Ryza, qui reste le seul lieu où l’armement du modèle Hellex est produit.[17]

Thanatar Calix

Une variante de l’Automate de Siège de la classe Thanatar s’est développée pendant la dernière partie de la Grande Croisade, Des rumeurs persistent selon lesquelles cette variante extraordinairement puissante du Thanatar serait l’œuvre des efforts combinés de l’alliance Sollex Myrmidon et Omega-Shevar de l’Ordo Reductor, aux côtés de représentants inconnus de la Legio Cybernetica. Le Thanatar Calix combine la techno-arcane mortelle de ces trois factions secrètes en une seule plate-forme d’armes dévastatrices destinée à l’avant-garde de la guerre de siège, capable à la fois de détruire les fortifications les plus solides en quelques instants et de mener des frappes ciblées pour neutraliser des batteries défensives ou des emplacements de tourelles avec le feu mortel de son Canon Laser Lourd Sollex. Ces rares Automates de Siège étaient tenus pour sacrés par le Taghmata et l’Ordo Reductor qui les ont mis en œuvre, ainsi que par les signes de prestige particulier au sein du Culte Mechanicus, et étaient rarement engagés au combat sans être accompagnés d’escortes de moindre importance - comme des Automates de Bataille ou des Automates Gardiens - sur les champs de bataille pour les protéger dans leurs périlleuses fonctions.[18]

Thanatar Cynis

Contrairement au Thanatar Calix, cette variante du puissant Automate de Siège Thanatar, connu sous le nom de Cynis, a été accueilli dès sa création par les Magos d’Estaban III avec fortune et acrimonie. Tentative sans vergogne de la faction du Mechanicum d’Estaban pour augmenter son pouvoir dans l’ordre hiérarchique des domaines du Dieu-Machine, le Cynis était destiné à reproduire les Automates de Siège Thanatar à une plus grande échelle. Ce faisant, les Magos d’Estaban espéraient peut-être usurper davantage l’importance du Monde-Forge de Ryza, parfois gênant aux yeux du Fabricator-Général. Cependant, sans la maîtrise de Ryza de la technologie plasma, le Cynis s’est révélé être un modèle instable et souvent autodestructeur, malgré sa puissance évidente sur le champ de bataille ; ses Esprits de la Machine étaient également considérés comme erratiques et malveillants par les adeptes dont la tâche était de les soigner.

Quoi qu’il en soit, le Fabricator-Général a approuvé sa conception malgré les fortes objections de Ryza, aggravant la querelle qui avait éclaté entre Ryza et Estaban III, bien que la production de cette classe ait été beaucoup moins réussie qu’espéré. Les accusations de sabotage et de malifica par Estaban sur les agents secrets de Ryza étaient monnaie courante avant l’apparition de l’Hérésie d’Horus, et quand Estaban s’est déclaré en faveur des Traîtres et Ryza en faveur des Loyalistes, les règlements de comptes ont enfin pu être réglé avec le fer et le feu.[19]

Vorax

Un Vorax.

Les Vorax sont des unités de chasseurs-tueurs, des Automates de Bataille créés à partir du modèle ancien et vénéré des Crusader, dont on dit qu’il remonte au Moyen-Âge Technologique et que l’on peut trouver sur tous les grands Mondes-Forges de l’Imperium.

Créé sur la Mars pré-impériale pour remplir à la fois les rôles d’arme de recherche, de destruction et d’exterminateur de machines malveillantes et de vermine mutante, leurs engrammes de cortex Cybernetica sont connus pour être des exemples particulièrement prédateurs et vicieux. Les instincts bestiaux qui dorment dans leurs corps en acier et en céramite sont tels que de nombreuses commandes sont intégrées dans leur programmation de contrôle pour empêcher ces infatigables machines de chasse de devenir comme les renégats qu’elles attaquent dans l’ombre des grandes forges de Mars.

Parfois, ils sont également envoyés par leurs maîtres pour abattre les populations excédentaires en période de famine ou de peste, leurs chasses ne s’arrêtant et leurs fusils se taisant brusquement lorsqu’un nombre inconnu de tuer a été atteint. Il n’est donc pas étonnant que les Vorax soient redoutés avec superstition par les travailleurs sous contrat des lointains domaines du Mechanicus et par les adeptes néophytes de la prêtrise de l’Omnimessie.[20]

Vultarax

Un Vultarax.

Le Vultarax était l’Automate Stratos le plus courant, largement utilisé par le Taghmata au début des guerres de l’Hérésie d’Horus. Il s’agit d’une machine de guerre robuste et polyvalent, lourdement armé et équipé d’un équipement sensoriel sophistiqué, capable de fonctionner dans des environnements divers et hostiles. Il s’est avéré être la clé de voûte des forces expéditionnaires des Explorators du Mechanicum, à la fois comme éclaireur armé avec une grande mobilité et comme unité de chasseurs-tueurs et de réaction rapide en combat ouvert.

L’Automate Stratos Vultarax est une créature monstrueuse volante armée d’un Laser Vultarax, une arme polyvalente capable de brûler les cogitateurs et les moteurs des véhicules ennemis, et deux Ravageurs de type Setheno, des systèmes de missiles à longue portée conçus pour anéantir les unités d’infanterie, même sous une forte couverture. Ces armements, associés à son impressionnant blindage, son bouclier anti-fusées et son système de ciblage amélioré, font de l’Automate Stratos Vultarax une force redoutable sur le champ de bataille.[21]

Sources

Pensée du Jour : « Le choix est un poids dont vous n’avez pas à souffrir. »
  • Warhammer 40,000 : Compendium
  • The Horus Heresy, Book Two - Massacre
  • The Horus Heresy, Book Three - Extermination
  • The Horus Heresy, Book Five - Tempest
  • The Horus Heresy, Book Six - Retribution
  • The Horus Heresy, Book Seven - Inferno
  • Codex Adeptus Mechanicus Cult Mechanicus, V7
  • The Horus Heresy, Book Nine
  • Forge World - Mechanicum Vultarax Stratos-Automata[1]
  1. Warhammer 40,000 : Compendium - Imperial Robots - Legio Cybernetica (traduit de l'anglais par Guilhem)
  2. The Horus Heresy, Book Two - Massacre, Chapter - The Legio Cybernetica (traduit de l'anglais par Guilhem)
  3. Warhammer 40,000 : Compendium - Imperial Robots - Legio Cybernetica (traduit de l'anglais par Guilhem)
  4. Warhammer 40,000 : Compendium - Imperial Robots - Legio Cybernetica (traduit de l'anglais par Guilhem)
  5. Warhammer 40,000 : Compendium - Imperial Robots - Robots of the Imperium (traduit de l'anglais par Guilhem)
  6. The Horus Heresy, Book Six - Retribution, Chapter - Mechanicum Army List Additions - Arlatax Class Battle-Automata (traduit de l'anglais par Guilhem)
  7. Warhammer 40,000 : Compendium - Imperial Robots - Robots of the Imperium - Castellan (traduit de l'anglais par Guilhem)
  8. The Horus Heresy, Book Two - Massacre, Chapter - Legio Cybernetica - Legio Cybernetica Castellax Class Battle-Automata (traduit de l'anglais par Guilhem)
  9. The Horus Heresy, Book Seven - Inferno, Chapter Space Marine Legion Army List Appendix - Castellax-Achea Battle-Automata Maniple (traduit de l'anglais par Guilhem)
  10. Warhammer 40,000 : Compendium - Imperial Robots - Robots of the Imperium - Cataphract (traduit de l'anglais par Guilhem)
  11. Warhammer 40,000 : Compendium - Imperial Robots - Robots of the Imperium - Colossus (traduit de l'anglais par Guilhem)
  12. Warhammer 40,000 : Compendium - Imperial Robots - Robots of the Imperium - Conqueror (traduit de l'anglais par Guilhem)
  13. Warhammer 40,000 : Compendium - Imperial Robots - Robots of the Imperium - Crusader (traduit de l'anglais par Guilhem)
  14. The Horus Heresy, Book Five - Tempest, Chapter - Additional Mechanicum Units - Domitar Class Battle-Automata Maniple (traduit de l'anglais par Guilhem)
  15. The Horus Heresy, Book Nine - Crusade, Chapter Legiones Astartes Appendix : The Dark Angels - Ironwing Excindio Class Battle-Automata (traduit de l'anglais par Guilhem)
  16. The Horus Heresy, Book Five - Tempest, Chapter - Additional Mechanicum Units - Scyllax Guardian-Automata Covenant (traduit de l'anglais par Guilhem)
  17. The Horus Heresy, Book Three - Extermination, Chapter - The Taghmata Ominissiah - Thanatar Class Siege-Automata Maniple (traduit de l'anglais par Guilhem)
  18. The Horus Heresy, Book Five - Tempest, Chapter - Additional Mechanicum Units - Thanatar-Calix Class Siege-Automata Maniple (traduit de l'anglais par Guilhem)
  19. The Horus Heresy, Book Five - Tempest, Chapter - Additional Mechanicum Units - Thanatar-Cynix Class Siege-Automata Maniple (traduit de l'anglais par Guilhem)
  20. The Horus Heresy, Book Three - Extermination, Chapter - The Taghmata Ominissiah - Vorax Class-Battle-Automata Maniple (traduit de l'anglais par Guilhem)
  21. Forge World - Mechanicum Vultarax Stratos-Automata (traduit de l'anglais par Guilhem)