Profanateur (Machine-Démon)

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L’Omnis Bibliotheca est vaste, peut-être vouliez-vous aller voir quelque chose qui porte le même nom : Profanateur


« La fureur démoniaque liée à l’enveloppe d’une bête de métal et libérée sur la galaxie. Dis-moi, mortel, as-tu déjà observé quelque chose d’aussi grandiose ? »
- Techmancien Vhostokh, Fléau de Diesos.
« Il s’est jeté sur nous tel un prédateur, brûlant et écrasant tout sur son passage. Il a vaincu le Commissaire Vaulant d’un seul coup de griffe, et le Colonel peu après. Je lui ai tiré dessus, sans le moindre effet. Où que se posait son regard, la mort suivait de près, dans une rafale de projectiles, un jet de flammes ou un revers de pince. »
- Sgt. Yernek, 38e Dragons de Jouran.

Les Profanateurs sont des machines de guerre gigantesques, de presque deux fois la taille des autres Machines-Démons, et possédant un caractère encore plus ombrageux. Le sol tremble tandis qu’il avance sur ses six pattes segmentées, en faisant claquer ses pinces dans le vide tant il est impatient de broyer de la chair fraîche. Le corps d’un Profanateur est surmonté d’un torse équipé de tout un arsenal, allant de l’Autocanon Faucheur aux rampes de missiles à fragmentation. Cependant, c’est l’obusier fixé dans l’abdomen du monstre qui est de loin son arme la plus redoutable. Les obus démoniaques qu’il crache sont en effet à même de réduire en cendres toute une escouade de Space Marines Loyalistes dans une explosion tonitruante.

Les Techmanciens qui créent ces machines cauchemardesques les avaient conçues à l’origine pour servir de pièces d’artillerie mobiles, toutefois leur obsession pour la destruction les poussa à donner naissance à des engins toujours plus bestiaux et plus agressifs. Au fil du temps, les châssis à six pattes utilisés pour la fabrication des Profanateurs furent adaptés afin de recevoir des pinces et des plaques de blindage. Ses extrémités sont souvent dotées d’armes secondaires, tels autocanons modifiés, lance-flammes lourds et armes combinées, qui crachent la mort tandis que la machine se presse en avant.

Les adversaires qui ont la chance de survivre aux tirs de barrage d’un Profanateur doivent ainsi affronter sa fureur au corps à corps. Les pinces, les fouets énergétiques et les lames dont sont équipées ces machines sont capables de venir à bout de toute opposition avec une facilité effrayante. Pendant ce temps, les grognements de la bête mécanique couvrent les cris des blessés et des mourants. Une fois sa sinistre besogne achevée, elle part à la recherche de nouvelles victimes, laissant derrière elle des piles de cadavres démembrés au milieu d’une mare de sang.

À l’instar des Machines-Démons plus petites, un Profanateur est nourri et guidé par l’énergie Warp générée par un Démon du Chaos. Lorsque ce dernier déchaîne sa rage sans fin, le Profanateur est capable de cracher un véritable torrent de mort, et de commettre des massacres indicibles. C’est à cet instant que la machine peut réellement profiter du carnage, car une fois massacrés les faibles guerriers du Dieu-cadavre, le Profanateur sera à nouveau enchaîné par ses maîtres et enfermé dans leurs cryptes infernales jusqu’à ce qu’il leur soit de nouveau utile.

Les Origines de cette Machine Infernale

« En vérité cette création monstrueuse mérite sa réputation, car son existence blasphématoire noircit le sol qu’elle foule, exterminant toute vie là où poussait l’herbe la plus drue. Où que passe l’une de ces machines maudites, corruption et entropie sont tout ce qui subsiste. »
- Heriaclis Freom, Savant Inquisitorial.

Les origines des machines de guerre appelées Profanateur demeurent une énigme. Personne ne sait avec certitude comment de telles abominations sont apparues, mais certaines références obscures permettent d’échafauder des théories concernant ces blasphèmes mécaniques. Les vestiges des écrits interdits de l’Oracle de Gœrgia mentionnent une invention terrifiante qui « marchait sur ses nombreuses jambes, tout en calcinant le sol de Costophoran de ses maléfices ». Même si cette description est pour le mieux vague, les érudits qui ont pu consulter les écrits de l’Oracle prétendent qu’il s’agit du premier témoignage concernant l’apparition d’un Profanateur aux côtés des hordes du Chaos. Cependant, de nombreux "chaoticiens" rappellent que l’influence mutagène des Puissances de la Ruine est telle que ce portrait pourrait correspondre à nombre de leurs créatures et engins de guerre.

Il est néanmoins évident que les mots de l’Oracle coïncident avec l’aspect de la machine que les forces impériales ont craintivement baptisée Profanateur. Des rapports et des images de picto-crânes ont permis aux Strategos impériaux de se faire une idée assez précise de cette invention diabolique. Six membres mus par des pistons soutiennent une tourelle équipée d’un arsenal variable incluant des Autocanons Faucheurs, des batteries de missiles à fragmentation, des fouets énergétiques et autres lames. La première rencontre entre des troupes impériales et un Profanateur a eu lieu sur Urthwart, un monde situé aux confins de l’Œil de la Terreur, entre réalité et cauchemar. Au cours de son histoire tourmentée, la planète a plusieurs fois changé de mains, étant âprement disputée à l’Imperium par les hordes mutantes en provenance de l’Œil, avides de massacres et de pillages. Si Urthwart a eu plus que sa part d’horreurs et de combats, aucun n’a atteint l’intensité de la bataille de Fort Bloden.

Premier Sang

Cette imposante forteresse abritait l’aristocratie de la planète : beaucoup la considéraient comme étant imprenable, et ses murs épais, conçus par les plus éminents architectes militaires de l’époque, semblaient pouvoir résister aux armes les plus puissantes. En 357.M41, les forces du Chaos s’en prirent une fois de plus à Urthwart, rasant tout sur leur passage dans une vague de destruction inégalée depuis l’époque ou les Légions Renégates s’étaient enfuies vers l’Œil de la Terreur. Abaddon le Fléau et ses guerriers de la Black Legion formaient l’avant-garde de l’armée et tuaient quiconque osait leur résister. Les soldats d’Urthwart finirent par être obligés de se retrancher derrière les remparts de Fort Bloden, où le Fléau leur offrit une dernière chance de se rendre avant de lancer l’attaque. Le gouverneur militaire avait demandé l’aide de Cadia dès que l’ennemi avait posé pied sur la planète, et il était persuadé que sa forteresse résisterait jusqu’à ce que des renforts arrivent. Il refusa donc de se rendre. Après un long bombardement, les défenseurs regagnèrent les murailles et virent un groupe de machines de guerre avancer rapidement vers eux, leurs canons arrachant des pans entiers de ces murs supposés indestructibles.

La panique s’empara des impériaux comme les monstrueux véhicules approchaient, traversant rapidement les décombres grâce à leurs agiles pattes mécaniques. Leurs armes semaient la destruction tandis que des hurlements de déments s’échappaient de la moindre de leur grille d’aération. Des runes sacrilèges luisaient sur leurs carapaces, et leurs tourelles cerclées de chaînes crachaient un feu-sorcier dévastant tout sur son passage. Certains continuèrent sans temps d’arrêt de bombarder les murs, d’autres se rapprochèrent à grande vitesse de la porte principale et l’attaquèrent de leurs gigantesques pinces, lacérant facilement le revêtement d’adamantium. En moins d’une heure, Fort Bloden était tombé, ses défenses abattues par la puissance des Profanateurs. Seule une poignée de commandants impériaux put échapper au massacre. Dès leur arrivée sur Cadia, ils furent longuement interrogés avant d’être exécuté pour contamination probable et fuite devant l’ennemi.

Retour à El'phanor

Il fallut attendre un siècle pour voir de nouveau un Profanateur en action, cette fois dans les ruines de la citadelle du Cromarque sur El’Phanor, lorsque le Fléau revint sur le monde qu’il avait détruit lors de sa première Croisade Noire. Les raisons de ce retour sont encore obscures, mais toujours est-il qu’une petite force de la Black Legion, accompagnée de plusieurs Profanateurs, atterrit dans la capitale de la planète, que l’Administratum avait entre temps repeuplée. Le Fléau se retrancha dans les ruines de la citadelle et contint les assauts de troupes locales, avant de s’en retourner dans l’Œil de la Terreur.

Lors des jours qui suivirent, le sol de la citadelle fut passé au peigne fin puis reconsacré pour laver toute trace de corruption. Au centre des ruines, un gigantesque puits avait été creusé dans le sol et au fond furent trouvés les restes d’un Profanateur, sa carapace ouverte et noircie. La machine de guerre reposait au centre d’une salle forte, loin en dessous de la citadelle, dont aucun habitant n’avait soupçonné l’existence. La pièce était vide, et ce qu’elle avait contenu était un mystère, Abaddon avait déjà mis la main dessus. Des agents de l’Ordo Malleus, qui surveillaient El’Phanor depuis le premier raid du Fléau, purent emporter les vestiges du Profanateur, et c’est de cette carcasse que viennent la plupart des informations dont dispose l’Imperium sur la machine. Le véhicule corrompu fut amené sur la planète Nemesis Tessera, et l’Inquisition purgea les archives de toute référence à sa découverte. Tous ceux qui avaient été en contact avec le véhicule furent de même éliminés, de sorte que l’existence du Profanateur demeurât un secret.

Le Space Marine ne portait plus son armure et sa forme musculeuse était étirée sur le dos du Profanateur. Dans sa chair étaient gravées d’antiques runes d’invocation, de sorte que seul le tatouage honorifique de la 4ème Compagnie des Ultramarines était encore visible sur sa peau meurtrie. Zaraphiston, le Sorcier du Fléau, abattit le couteau sacrificiel sur sa poitrine, enfonçant la lame de toute sa longueur. Du sang en jaillit, avant de coaguler en quelques secondes. Le Marine ne cria pas : sa langue lui avait été arrachée plusieurs heures auparavant. Cette dernière profanation de sa chair allait appeler une créature du Warp pour habiter la coque vide du Profanateur.

Le Sorcier sciait à présent la Carapace Noire et la plaque osseuse qui protégeaient les organes internes de l’Ultramarine. Il ouvrit ensuite sa cage thoracique et observa attentivement le cœur du loyaliste dont les battements, à l’approche de la mort, se faisaient de plus en plus lents. Zaraphiston enfonça alors le poignard dans le cœur primaire de sa victime, avant de lacérer les deux poumons en attendant de décider quoi prendre. Seuls les organes les plus précieux étaient susceptibles d’attirer l’une des entités monstrueuses qui, le Sorcier du Chaos le savait pour avoir déjà commercé avec elles, rôdaient dans les profondeurs de l’Immaterium.

Zaraphiston se pencha sur le Marine et murmura dans son oreille :

« Ne crains rien, frère, car tu vivras éternellement. Ta mort donnera naissance à une créature plus ancienne que le temps lui-même. Tu devrais t’agenouiller et me rendre grâce pour l’honneur que je te fais. »

Les yeux de l’Ultramarine s’emplirent d’horreur au moment où la lame de Zaraphiston glissait dans son torse et soulevait une membrane épaisse, révélant ses glandes progénoïdes.

« Oh oui… » siffla Zaraphiston, « cela fera amplement l’affaire… »

Le Secret est Dévoilé

Un Profanateur.

Nemesis Tessera est une vaste forteresse souterraine, creusée à même l’écorce de la planète dont la surface est un désert glacé. C’est ici que les Inquisiteurs de l’Ordo Malleus se tiennent prêts à intervenir en cas d’incursion du Chaos et tentent d’en percer les mystères pour le plus grand bien de l’Humanité. C’est également là que les meilleurs chaoticiens de tout l’Imperium étudièrent inlassablement le Profanateur pour en découvrir les secrets et trouver une faiblesse qui pourrait plus tard être exploitée au combat. L’investigation d’un tel artefact n’était pas sans risques et nombreux furent ceux qui y laissèrent la vie, avant que l’Adeptus Mechanicus parviennent finalement à entrer dans la machine. Celle-ci présentait ce qui semblait être une écoutille condamnée par des chaînes. Elles furent rituellement brisées à l’aide d’un Marteau Tueur de Démons, et les investigateurs découvrirent un spectacle auquel ils étaient loin de s’attendre. Là où ils pensaient trouver les restes de quelque équipage, ils ne découvrirent que des cadavres de Space Marines ; certains de leurs organes avaient été prélevés, et leur peau était gravée de toutes sortes de symboles impies. Tout portait à croire qu’il s’agissait de victimes de sacrifices, et l’Ordo Malleus en déduisit que le Profanateur n’était pas à proprement parler piloté par un équipage, mais mû par une quelconque influence démoniaque.

L’âge de la machine était impossible à évaluer avec précision, car ses composants provenaient de différentes époques : certaines pièces dataient même de l’aube de l’Imperium, mais un panneau de sa tourelle portait le sceau d’un Artificier. Les banques de données de l’Ordo Malleus furent mises à contribution et après un mois de recherches incessantes, un Serviteur découvrit à qui appartenait le sceau en question : il s’agissait de la marque du Techmarine Salernia, qui servait parmi les Luna Wolves avant l’Hérésie d'Horus, il y avait quelque dix mille ans de cela. Salernia était spécialisé dans la construction de Dreadnoughts, ces monstres de métal qui permettent aux Marines mortellement blessés de continuer à servir leur Chapitre bien au-delà de leur temps. Le Profanateur pouvait-il être une perversion de cette très sainte technologie ? Pour blasphématoire que fût cette théorie, il devint clair, au fur et à mesure de son démontage par des Serviteurs lobotomisés, que des éléments précis de la technologie Dreadnought trouvaient un sinistre écho dans la conception du Profanateur.

Il fut également établi que la mise en chantier de ces abominations avait été entreprise à la demande du Fléau, car à ce jour, chaque Profanateur avait été aperçu en la compagnie des Marines renégats de la Black Legion, sans compter que leur conception était visiblement basée sur l’œuvre d’un Techmarine des Luna Wolves. Lorsqu’on estima que rien de plus ne pourrait être tiré de la carcasse du Profanateur, ses différentes parties furent fondues et les scories expédiées au cœur d’un soleil. Les découvertes de l’Ordo Malleus furent rapidement ajoutées au Machina Daemonica, ouvrage interdit détaillant les armes et les machines des forces du Chaos.

Ces monstres de métal engendrèrent une telle peur que la sécurité des mondes entourant l’Œil de la Terreur fut renforcée de nouveaux régiments de la Garde Impériale furent levés, et de nouveaux Chapitres Space Marines, regroupés sous le nom d’Astartes Praeses, furent fondés spécifiquement pour repousser de futures incursions susceptibles d’inclure de telles machines de guerre. Quoi qu’il en soit, moins de la moitié des attaques subies par Cadia et les planètes voisines impliquaient des Profanateurs, si fréquents et nombreux qu’ils fussent.

À ce jour, la simple suspicion qu’une armée chaotique puisse contenir un Profanateur suffit à semer la terreur dans les rangs des défenseurs de l’Imperium, et seuls les plus grands héros peuvent espérer survivre à une rencontre avec l’un de ces monstres.

Le Magos Decimar fit tourner une molette crénelée sur le tableau de cuivre, dirigeant ainsi un Serviteur, dont les jambes étaient remplacées par des chenilles, vers la machine frémissante enchaînée sur la plateforme.

L’air était moite et lourd de l’odeur du sang. Les restes des trois précédents Serviteurs à s’être approchés du Profanateur étaient répandus devant la bête, méconnaissables. Même si Nemesis Tessera ne manquait pas de main d’œuvre, le sens de l’économie du Magos le poussait désormais à la prudence.

Des tirs précis de Fuseur avaient immobilisé le monstre, bloquant les articulations de ses jambes grâce à un rayon de particules brûlantes. La machine de guerre émit un grondement sourd alors que le Serviteur approchait, et les chaînes qui la retenaient furent parcourues de secousses comme elle essayait de libérer l’une de ses griffes.

Un autre Serviteur s’approcha : un Multi-Fuseur était greffé à son épaule droite en lieu et place de son bras, et le Profanateur se figea soudainement lorsqu’il prit conscience de sa présence.

« C’est bien, » murmura Decimar d’une voix apaisante. « reste sage et nous n’aurons pas recours au Fuseur une nouvelle fois… »

« Est-ce qu’il coopère ? » demanda l’Inquisiteur Rothenburg, debout derrière le Magos.

« Oui. Il a compris que nous pouvions lui faire mal. Il réfléchira à deux fois avant d’attaquer. »

« Comment peut-il comprendre ? » dit lentement l’Inquisiteur, « ce n’est qu’une machine… »

Decimar refréna son impatience et répondit : « C’est bien plus qu’une machine, Inquisiteur Rothenburg. Je pense qu’il s’agit de quelque hybride blasphématoire de métal et de Démon. Une perversion de l’Esprit de la Machine. Une fois que nous en aurons tiré tout ce que nous pouvons, je veillerai à ce qu’il soit détruit. »

Rothenburg hocha la tête. « Oui. Sa simple Présence m’offense. »

« L’un des effets secondaires de la possession, » souligna Decimar.

« Avez-vous donc réponse à tout ? » le coupa l’Inquisiteur.

« En effet, » rétorqua Decimar comme s’il s’agissait d’une évidence.

« Alors dites-moi tout ce que vous avez appris. »

Decimar pivota pour faire face à Rothenburg.

« Nous avons appris que cette bête a été créée pour se battre aux côtés des armées du Fléau, probablement à la demande de ce dernier en personne. Il s’agit sans doute de l’œuvre de son meilleur artificier, et la sainte technologie des Dreadnoughts a été pervertie et profanée dans la construction de cette carapace impie. »

Avant que Decimar n’ait terminé, un son horrible se répercuta dans la pièce et les deux hommes se retournèrent vivement pour voir le Serviteur à chenilles gisant sur le flanc devant le Profanateur, le corps coupé en deux au niveau de la taille. Le sang formait peu à peu une flaque autour de l’homme-machine et dégouttait des pinces du monstre de métal.

« Damnation ! » jura l’Adepte du Dieu-Machine, se maudissant pour son manque d’attention, « encore un Serviteur fichu ! »

Médias Externes

Sources

Pensée du Jour : « La Volonté de l’Empereur est irrécusable ! »
  • Codex Heretic Astartes Chaos Space Marines, V8
  • White Dwarf N°110 (Juin 2003)