Hrud

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Les Hruds, (Troglydium hrudii), une espèce mystérieuse.

Plusieurs xenologues ont tenté de déchiffrer l’énigme des Hruds, mais les rapports varient grandement, et il est difficile de faire la part entre les faits et la fiction.

Même leur nom semble inapproprié. Les premiers rapports les décrivent comme "les guerriers nocturnes de Hrud", ce qui semble impliquer que le terme "Hrud" se réfère à leur monde d’origine plutôt qu’à l’espèce.

Rares sont les descriptions de leur apparence qui parviennent à s’accorder, et l’on ne note qu’une seule observation revenant régulièrement : la plupart des rencontres avec les Hruds ont lieu sur les niveaux d’entretien et les conduites de ventilation entre les ponts des astronefs impériaux. Dans un bâtiment aussi monumental qu’un croiseur, on peut imaginer qu’il doit être possible pour une xeno-espèce d’échapper à toute détection et même de proliférer dans les ténèbres.

Le Libre-Marchand Janus Draik rapporte que durant ses enquêtes sur les Hruds, divers individus l’ont approché avec des histoires plus ou moins fiables. Un ancien matelot lui a narré une histoire qui faisait écho à ses notes sur les Hruds, en voici donc un extrait :

J’étais ouvrier de récupération. Responsable des voies d’acheminement entre le pont Uxorum, les mâts de protection thermique et les ponts de l’enginarium tribord. Huit kilomètres de voies. Personne à qui parler pendant des années. Quand on reste seul aussi longtemps, faut parler à quelque chose. Alors j’ai parlé aux ombres. Y a pas beaucoup de lumiglobes dans les coursives, vous savez. C’est surtout des ombres. Et elles bougeaient bizarrement des fois, comme si elles écoutaient ce que je disais. Vous allez vous dire que je suis cinglé, mais après des années, je me suis mis à prendre les ombres pour des amies. Je leur laissais même des cadeaux. De la ferraille que les Technaugures auraient jamais voulue. Et ça disparaissait ! Je vous jure ! Les ombres les emportaient. Puis un jour, l’Adjudant Scaldis est descendu dans les voies d’acheminement l’air déterminé. Allez savoir ce qui l’avait énervé comme ça. Il en faut pas beaucoup. On aurait dit qu’il voulait me tuer. Et puis c’est arrivé. Traitez-moi de cinglé, mais je sais ce que j’ai vu. Une des ombres, elle s’est comme déroulée. Très vite. Elle s’est approchée de Scaldis avec détermination et il est tombé. Y avait un truc dans l’ombre. Je vous jure. C’était grand, fringué de haillons, et ses bras se tordaient bizarrement, comme s’ils étaient cassés. Je les ai vus que quand le truc a disparu dans les ténèbres. J’ai paniqué et j’ai aidé Scaldis à se relever. Je m’inquiétais de ce qu’il allait faire, mais c’est là que j’ai vu le truc le plus bizarre. Il avait l’air plus vieux, tout fripé, et y avait une telle terreur dans son regard. Il est jamais revenu. Et j’ai jamais revu l’homme d’ombre.[1]

Technologie

On ne sait pas grand-chose de l’espèce secrète et dangereuse connue sous le nom de Hrud, si ce n’est qu’ils ne vivent que dans les ténèbres et disposent d’une étrange technologie liée au Warp qui, dit-on, leur permet de marcher d’un monde à l’autre, voire de corrompre le fil du temps par leur présence funeste. Le Fusil Hrud fait partie des rares artefacts Hrud à se retrouver parfois à la vente et il est très demandé. C’est un genre de "mousquet à plasma" équipé d’un mystérieux mécanisme qui permet au projectile à plasma de se frayer un chemin à travers l’espace réel et le Warp, passant outre les défenses de la cible. Bien qu’elles soient parfois imprévisibles, les qualités uniques de l’arme en font un outil désirable pour les assassins et les agents inquisitoriaux. Les fusils que l’on retrouve au marché noir ont été grossièrement modifiés pour recevoir des flasques de plasma impériales. En revanche, quand le mécanisme d’une telle arme est sérieusement endommagé, il ne pourra être réparé par des mains humaines.[2]

La technologie Hrud est capable d’altérer le temps, comme l’a prouvé la Campagne des Profondeurs de Sak'Trada à la toute fin de la Grande Croisade en 999.M30, quand la Legiones Astartes des Iron Warriors a affronté un nid des Hruds sur le monde Gungan. Les Space Marines subirent des pertes énormes à cause d’une technologie de distorsion temporelle qui accélérait jusqu’à des vitesses inimaginables le temps, certains Space Marines vieillissant de plusieurs milliers d’années en un clin d’œil tandis que l’équipement et le matériel pouvaient se dégrader à des vitesses impossibles. Pire, les Xenos utilisaient cette maîtrise temporelle pour paraître floue, rendant difficile leur élimination. La fin de cette guerre vit l’exode en masse des Hruds. La croûte de Gugann se fendit et le nid tout entier des Hruds, de la taille d’un continent, bougea et rejoignit l’espace, phénomène qui se produisit sur les autres mondes du secteur comme Jupor, Hraenen et Voltis. Puis les nids et les vaisseaux Hruds ont disparu, provoquant un effondrement temporel qui prit la forme d’une vague qui dévasta la flotte des Iron Warriors, changeant des membres d’équipage en vieillards, en enfant ou même en poussière. Le soleil du système avait lui même vieillit au point de s’éteindre.[3]

RAPPORT DE DISSECTION[4]

SUJET : Troglydium hrudii

AGE : Inconnu

SEXE : Femelle


DISSECTION RÉALISÉE PAR LE MAGOS BIOLOGIS SHARLE DARVUS

PRÉSIDE : SERVITEUR N°43-2-Z, INQUISITEUR BREHM SASHAM.

JOUR 64, 7E/20E

IMPRESSIONS INITIALES : Le sujet est une femelle adulte Hrud. La nomenclature désignée est unique : aucune faune Xenos suggérant un lien de parenté ou un monde d’origine Hrud n’est connue. La cause de la mort est l’asphyxie suite à l’ingestion de cyanure. Notez la décomposition extrême du corps. La liquéfaction du derme supérieur et de la musculature s’est produite immédiatement après la mort. Observations annotées à suivre :

Dissection d’un Hrud, bien que "la "véritable" biologie du sujet soit délibérément enfouie sous de multiples couches de peau morte…"

a. La Tête. Endosquelette analogue au "crâne" humain, mais composé de résine semi-silicatée. Preuve de la présence d’un composé silicone inconnu dans toute la structure du squelette (cohésion organique des brins de protéines ?). La liquéfaction des tissus empêche l’étude des organes olfactifs et gustatifs, bien que la cavité nasale compacte (unique) suggère une détection olfactive relativement faible. Les canaux auditifs sophistiqués et les structures de l’oreille interne suggèrent une audition et un équilibre supérieurs. Les organes oculaires (deux, largement analogues aux yeux humains, bien que beaucoup plus grands) ne sont pas affectés par la liquéfaction physique. Pas de photorécepteurs "coniques" (ou analogues), mais une concentration massive d’empilements de spirales et de bâtonnets sur la rétine, ce qui suggère une mauvaise vision des couleurs mais une sensibilité extrême à la lumière. Conclusion : l’appareil sensoriel du sujet soutient la théorie de l’existence nocturne/souterraine.

b. Derme/tissus. Malgré la rapidité de la décomposition, la stratification des tissus suggère que les systèmes musculaire et circulatoire sont constitués de faisceaux denses entourant un noyau "osseux". Toutes les couches extérieures semblent nécrosées ou artificielles. Conclusion : la "véritable" biologie du sujet est délibérément enfouie sous de multiples couches de peau morte, de déchets introduits artificiellement, de moisissures et d’autres matières organiques : elle fournit une chaleur abondante (grâce au "compostage" bactérien), une protection dermique (les couches supérieures agissent comme une "armure" naturellement absorbante) et des déchets toxiques/empoisonnés [voir c.].

c. De grandes "écailles" de silicate forment des coussinets blindés, recouverts de strates denses de structures fongiques, bactériennes, virales et inconnues. Spéculation : le sujet dirige tous les produits nocifs ou toxiques de la décomposition cutanée vers ces fondations, d’où des fluides de létalité diverse peuvent être canalisés directement vers les membres supérieurs [voir e.].

d. La cavité corporelle. La liquéfaction totale des tissus empêche l’étude des organes. Pour les vertèbres [voir h].

e. Membre de Manipulation. Les structures endosquelettiques [voir f. et h.] suggèrent une disposition quadrilatérale des doigts : les "doigts" opposés ne nécessitent pas de pouce opposable, ce qui suggère une extrême dextérité. Des tubules organiques (cf. capillaires) relient les doigts aux écailles empoisonnées [voir c.]. L’extrémité des doigts représente la seule partie de la biologie du sujet où le "vrai" derme est exposé, avec des huttes de matière décomposée formant une gaine.

f. Structure Endosquelettique. Le corps du sujet contient peu d’"os" de support, mais plutôt de multiples structures vertébrales reliées entre elles (cf. colonne vertébrale humaine), au sein d’une colonne musculaire. Conclusion : toutes les parties du corps du sujet - membres, doigts, cou, colonne vertébrale - sont préhensiles, permettant un mouvement sans restriction. Caractéristique d’une existence souterraine.

g. Le Système Reproductif. La liquéfaction des tissus empêche leur étude. Preuve d’une formation utérine suspendue à une "queue" rudimentaire.

h. Colonne Vertébrale. Structure corporelle centrale : les analogues des vertèbres assurent une liberté de mouvement totale. Preuve de positions "verrouillées" (les contractions musculaires créent une colonne osseuse ininterrompue). Conclusion : la structure préhensile du sujet n’empêche pas le soutien corporel - pendant l’inactivité, les "os" s’emboîtent pour créer une structure porteuse.

i. Membre bionique. De nature impériale. Récupéré ?

j. DÉTAIL : Instrument/arme inorganique (confisqué au moment de la capture). Structure de "griffe" à trois lames avec des canaux de toxine dissimulés. Spéculation : artefact Drukhari récupéré ?

k. DÉTAIL : Prisme cristallin/silicate inconnu (confisqué au moment de la capture). Les glyphes internes suggèrent un enregistrement/fichier/livre analogue ? Objectif inconnu.

OBSERVATION GÉNÉRALE :
Le sujet représente un organisme superbement adapté à un habitat troglodytique et nocturne. La présence de matériaux récupérés (ainsi que les rapports de capture du sujet [voir dossiers Librium]) suggère un charognard parasite hautement spécialisé. Une similitude fortuite des structures endosquelettiques entre le sujet et d’autres races "classiques" (l’analogie des "vertèbres" est commun aux Orks, Aeldaris, T'au, Kroots, etc) est difficile à admettre.

Structure Sociale

Impression spéculative d’un artiste sur la forme des Hruds, sans linceul typique, telle qu’elle ressort de divers témoignages supposés.[5] Donc la forme physique de ces Xenos reste indéterminée, cela peut donc aller de cette horreur indescriptible à un rat marchant sur deux pattes…

Les Hruds sont une race secrète de charognards souterrains qui vivent dans des cités-tunnels appelées "juunlak", qui se forment généralement près des plus grands centres de population humaine. Les Hruds ont tendance à être farouchement tribaux et sont des pilleurs de technologie avec des capacités à assembler une collection hétéroclite d’armes et de dispositifs avec les ressources dont ils disposent. L’ascendance et les liens familiaux sont deux éléments qui sont considérés comme très importants dans la société Hrud, ce qui va à l’encontre de l’image de "charognard dégoûtant" que les érudits impériaux donnent à ses Xenos.

Des rumeurs parlent de sociétés secrètes de ces créatures vivant à bord de navires, bien qu’ils soient généralement utilisés comme croquemitaines pour effrayer les enfants. Les Hruds ont fait preuve d’une minutie inégalée dans le domaine de l’archivage où ils compilent de vastes réserves d’informations historiques, culturelles et techniques.

En période de croissance démographique, cette espèce est connue pour subir ce qu’ils appellent un "peh-ha", c’est-à-dire une migration massive. Lorsque la population d’une tribu atteint un certain niveau de saturation, les Hruds commencent à former un schisme et à se séparer les uns des autres. Ces individus commencent à s’embarquer à bord de transports et de Space Hulks afin de commencer la formation d’une nouvelle tribu sur un site éloigné. Parmi les objets qu’ils emportent, il y a le savoir accumulé du "Raheed" qui est la "masstribe". Des nations nomades entières d’Hrud ont prospéré dans l’espace entre les ponts à bord des vaisseaux impériaux. D’après les découvertes de l’Inquisiteur Ryal Braez, les Hruds sont connus pour prendre d’autres espèces, comme les humains, dans leurs tribus où ils jouent le rôle de "zanhaad", une sorte d’esclave et d’animal de compagnie.

En raison de la nature secrète des Hruds, beaucoup connaissaient leur existence, mais on sait peu de choses sur leur civilisation, ce qui a fait d’eux une énigme pour l’Imperium.

La religion des Hruds tend à être inhabituelle dans le sens où la clarté de leur mémoire de masse signifie que leurs légendes, si elles ne sont pas réelles, sont basées sur des événements réels. Les Hruds croient que leur race a été créée par un panthéon de dieux bienveillants connus sous le nom de "Slah-haii" ou "les plus anciens" qui voulaient qu’ils se prélassent au soleil et soient féconds. On dit que cela a changé lorsque leurs dieux sont entrés en guerre contre les "Yaam-kheh" ou "Maléfiques Miroirs", qui les ont tués, estropiés ou forcés à fuir. Leurs légendes disent qu’un seul membre de leur panthéon existe encore, connu sous le nom de Qah, un dieu également connu sous le nom de "Celui qui Reste". Ce membre solitaire de leur panthéon aurait reconnu les dangers qui menaçaient ses enfants bien-aimés et les aurait transformés en une race de charognards nocturnes. Il y a environ 500 000 ans, Qah aurait dit aux Hruds qu’il avait d’autres grandes œuvres à accomplir et aurait disparu mais assura qu’il reviendrait pour se réunir au moment du "Raheed-skeh" qui était le moment désigné où les tribus se réuniraient pour une bataille finale contre le Yaam-kheh.

L’Inquisiteur Maturin Ralei a noté la similitude du panthéon Hrud avec celui d’autres espèces de Xenos, mettant en évidence un dieu chasseur à cornes, un personnage aux mains rouges, un bouffon rieur et un artisan maniant le marteau.[6]

Les Hruds sont une énigme vivante. Avant même que j’en aie un en ma possession - résultat d’un incident fortuit à bord du Paternus Gloriem et du placement chanceux de mes associés mercantiles - ma quête de connaissances a découvert un seul détail, encore et encore : personne ne doutait de l’existence des Hruds, mais personne ne savait grand-chose sur eux. Les rumeurs abondaient sur l’existence de sociétés secrètes sous les villes, dans les cheminées des vaisseaux impériaux et entre les étages des Ruches les plus anciennes ; mais en l’absence de preuves, tout avait été réduit à des histoires à moitié sérieuses de croquemitaine pour effrayer les enfants.

Même lorsque mon captif était logé dans le bestiaire, Darvus et moi ne pouvions guère en discerner davantage. Au moment où j’écris ces lignes, le spécimen Hrud est parmi nous depuis onze ans et nous en savons aussi peu qu’à son arrivée. Physiquement, il est impossible de l’étudier : la cape en lambeaux qu’il porte habituellement dissimule sa véritable forme, et le peu qu’il révèle n’est qu’un amas mouvant et difforme de déchets en décomposition. Je ne sais pas comment. Je ne sais pas s’il s’agit d’une capacité physique, ou d’une propriété curieuse des produits chimiques qu’elle produit, ou simplement d’un tour de passe-passe, mais même dans une cellule sans ombre, elle est capable de se dissimuler : un effet optique vraiment troublant.

Le spécimen ne parle jamais et ne cherche pas à communiquer. Sans le témoignage de mon vieil ami l’Inquisiteur Braez, qui a répondu à ma correspondance pleine d’espoir lors de mon dernier voyage à Safaur, l’énigme Hrud resterait plus impénétrable que jamais. En fait, Braez m’a poussé à une frénésie d’activité, et j’écris cette entrée dans le grand livre alors que je viens de rentrer d’Aggavaria, où (dit-il) il a trouvé son esclave humain. Les tunnels sous la Ruche sont désertés depuis longtemps, mais leur taille m’a étonné. Sans doute ai-je erré allègrement dans l’obscurité devant des merveilles cachées et des cités invisibles, mais ce que j’ai trouvé - une série de glyphes et de pictogrammes inscrits sur la paroi d’un tunnel - m’a donné plus que matière à réflexion.

Compte tenu du témoignage du prisonnier de Braez, je n’ai aucune hésitation à supposer que les chiffres griffonnés sur cette paroi sont ces mêmes gels anciens dont se souviennent ses ravisseurs Hruds. Ce qui me trouble le plus n’est pas l’hérésie inhérente à ce panthéon, mais leur remarquable ressemblance avec les dieux d’autres races. Nous voyons ici un chasseur cornu, là un personnage aux mains rouges, un bouffon rieur et un artisan maniant le marteau. De tels représentations reviennent sans cesse dans les mythes et légendes d’un certain nombre de races. Y a-t-il une synchronicité dans les représentations de ces anciennes divinités ? Et - plus inquiétant - y a-t-il une part de vérité dans leur existence ?

De cette spéculation horrible et hérétique découle une autre question. Le témoignage de Braez parle d’un dieu unique qui s’est attardé, qui a déserté les Hruds il y a un demi-million d’années, avec la promesse d’une "grande œuvre". Quel événement d’une importance colossale était en cours à cette époque ?

Comme pour tant de choses concernant les Hruds et tous leurs cousins xénogènes, il est peu probable que nous le sachions jamais.

- Inquisiteur Maturin Ralei, 6.997.801.M41

Sources

Pensée du Jour : « La mort épargne à l’innocent une corruption inévitable. »
  • HINKS DARIUS, Liber Xenologis - Observations depuis une Forteresse Noire, Black Library, 2021
  • Warhammer 40 000 JdR - Dark Heresy : Disciples des Dieux Sombres
  • HALEY GUY, Perturabo - Le Marteau d’Olympia, Black Library, 2017
  • SPURRIER SIMON, Xenology, Black Library, 2006
  1. Informations issues de Liber Xenologis - Observations depuis une Forteresse Noire - Hrud de HINKS DARIUS, Black Library, 2021 et résumées par Guilhem.
  2. Informations issues de Warhammer 40 000 JdR - Dark Heresy : Disciples des Dieux Sombres - Chapitre III : Xenos - Le Commerce Froid - Fusil Hrud et résumées par Guilhem.
  3. Informations issues de Perturabo - Le Marteau d'Olympia, Chapitre Deux - Dantioch, Chapitre Trois - Le Temps et le Fer, Chapitre Cinq - Une Question de Temps, Chapitre Six - Tempora Mortis - Chapitre Huit - Battu à Froid - Chapitre Dix - Migration, Chapitre Onze - Déshonneur, Chapitre Douze - Rébellion de HALEY GUY, Black Library, 2013 et résumées par Guilhem.
  4. Xenology - Troglydium hrudii - Dissection Report de SPURRIER SIMON, Black Library, 2006 (traduit par Guilhem)
  5. Xenology - Troglydium hrudii - Dissection Report de SPURRIER SIMON, Black Library, 2006 (traduit par Guilhem)
  6. Informations issues de Xenology - Troglydium hrudii - Dissection Report de SPURRIER SIMON, Black Library, 2006 et résumées par Guilhem.