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Les '''Plasmanciens''' sont des annihilateurs dénués de subtilité. ils sont capables de manipuler l’énergie comme une arme au lieu de la lier à d’autres éléments. De leur silhouette jaillit une foudre instable qui frappe les ennemis proches, et d’un geste, ces Crypteks peuvent canaliser cette même énergie sous forme de décharges cuisantes.</div> | Les '''Plasmanciens''' sont des annihilateurs dénués de subtilité. ils sont capables de manipuler l’énergie comme une arme au lieu de la lier à d’autres éléments. De leur silhouette jaillit une foudre instable qui frappe les ennemis proches, et d’un geste, ces Crypteks peuvent canaliser cette même énergie sous forme de décharges cuisantes. | ||
Beaucoup de Cryteks pressentent que quelque chose cloche chez leurs confrères qui se concentrent sur la discipline de la plasmncie. Ces individus destructeurs montrent assurément des excentricités que tous ceux qui n'appartiennent pas au [[Destroyer Nécron|Culte Destroyer]] trouveraient alarmantes. On sait que les Plasmanciens sont enclins à une autoglorification agressive à la limite de la mégalomanie. Ils méprisent l'autorité de tous ceux qui les entourent - du moins, antant que le permettent les protocoles de commandement - et sont considérés par les Crypteks aux penchants plus intellectuels comme des êtres vulgaires, irascibles, qui ne valent guère mieux que des vandales meutriers. | |||
Bien sûr, ce genre de stéréotype est loin de se vérifier à tous les coups. Pourtant, on ne peut nier que de toutes les disciplines des Crypteks, la plasmancie est celle qui se prête le plus aux destructions violentes. Ces techno-sorciers renoncent à la subtilité en faveur de la canalisation de l'énergie brute des phénomènes cosmologiques les plus impétueux. Ils lancent des boules de plasma chaudes comme une étoile avec des sceptres transformés en armes. Ils modifient leurs corps androïdes pour projeter des arcs électriques qui réduisent les victimes proches en cadavres carbonisés. Ils fabriquent des canons énergétiques colossaux, des munitions à concussion neutrinobarique qui peuvent vitrifier des cités depuis l'orbite, et des lames d'énergie ésotérique vombrissante dont le simple contact peut consumer le système nerveux des cibles vivantes. | |||
Les Plasmanciens sont toujours impatients d'essayer leurs créations de cauchemar. Généralement accompagnés de petites gardes de Cryptoserfs, ils adorent aller sur le champ de bataille et tester leurs armes - ou observer leur déploiment de leurs propres yeux. Les plus dévoués à leur art s'associent même au Culte Destroyer. Ils y trouvent de nombreux nobles dégénérés, trop heureux d'encourager l'appétit débridé des Plasmanciens pour la destruction, et qui se moquent complètement que leurs armes apocalyptiques bafouent les dictats des [[Codes du Triarcats]].<ref>''White Dwarf N°499 - Les Mytères des Crypteks - L'Energie de l'Annihilation''</ref></div> | |||
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Version du 1 décembre 2024 à 10:53
Les Crypteks sont les membres de conclaves intergalactiques de scientifiques dont la tâche est d’étudier et d’entretenir les machines complexes de leur race. Ce sont des maîtres de la dissonance dimensionnelle, de la manipulation des singularités cosmiques, de la transmutation des atomes, du métamorphisme élémentaire et de bien d’autres technologies défiant la raison. Les pouvoirs des Crypteks font écho à ceux des Psykers des autres races, mais au lieu d’utiliser une mutation mentale pour manipuler les énergies du Warp, ils utilisent la science pour dompter les forces fondamentales de l’univers.
Chaque conclave se spécialise dans un domaine particulier de la techno-sorcellerie, parmi les milliers qui constituent leur art, comme la psychomancie, la plasmancie ou la chronomancie. Ils furent formés à l’origine pour partager leurs connaissances et leur expertise dans toute la galaxie, mais ils ont peu à peu été isolés les uns des autres. Du fait des millions d’années écoulés depuis le Biotransfert, les Crypteks sont devenus aussi reclus et figés que les autres Nécrons, et leurs conclaves n’existent plus que par la force de l’habitude.
Bien que les Crypteks n’aient pas de rang officiel au sein d’une dynastie, leur influence est immense. La noblesse des Nécrontyrs ne s’intéressait pas à la technologie qu’elle employait ne cela ne changea guère après le Biotransfert. Le pouvoir d’un Cryptek vient de cette ignorance et des Mécarachnides, des Spectres Canopteks et des Scarabées Canopteks qu’il contrôle. Rares sont les nobles Nécrons à s’en soucier, mais les machines d’un Monde-Nécropole exigent une maintenance constante pour tourner à plein régime. Un Cryptek n’hésitera pas à stopper net le cycle pour donner plus de poids à ses doléances auprès de ses "supérieure hiérarchiques" : même le Tétrarque le plus arrogant devra céder si ses soldats et son arsenal cessent de fonctionner.
Il arrive qu’un Tétrarque recrute un Cryptek particulièrement respecté pour servir sa cour royale. C’est notamment le cas pour la Dynastie Ogdobekh, où les Crypteks sont réputés pour leur génie. Une telle décision peut s’avérer dangereuse politiquement, car élever le Cryptek au même rang que les nobles de la cour du Tétrarque peut susciter leur rancœur. Mais les connaissances d’un Cryptek sont si étendues qu’un tel risque vaut souvent la peine être couru.
Seul un de ses propres homologues peut freiner les ambitions d’un Cryptek. De fait, un Tétrarque peut décider de remplacer un Cryptek trop arrogant par un confrère plus obéissant, si nécessaire en le débauchant auprès d’un rival. Cela peut créer des complications, car un Cryptek refusera de supplanter un confrère du même conclave, alors qu’il n’aura aucun scrupule si celui-ci est un adepte d’une autre discipline. Ces trahisons et ces complots mènent à des rivalité, voire à des conflits entre les Crypteks et leurs conclaves, et finalement à des duels de techno-sorcellerie dont le perdant subira invariablement un sort déplaisant et spectaculaire, comme être transmuté en adamantium liquide, déphasé d’une nanoseconde par rapport au reste de l’univers, ou transformé en un éclat d’étoile naissante avant d’être projeté à travers la galaxie.
Les devoirs d’un Cryptek s’étendent bien au-delà du Monde-Nécropole. Il n’est pas rare qu’un Tétrarque permette à son Cryptek de s’approprier la part du lion dans son stock d’alliages de métaux précieux, de générateurs et de cristaux de focalisation eu échange de ses services lors d’une campagne. Un tel arrangement est satisfaisant pour les deux parties : les ressources d’un Monde-Nécropole sont limitées et un Cryptek a besoin d’un apport constant de matières premières. De son côté, le Tétrarque bénéficie de tout l’arsenal que son techno-sorcier détient. D’un simple geste de son sceptre, un Cryptek peut projeter des faisceaux d’énergie vert émeraude destructeurs à même de fondre les blindages les plus épais. Le Chronométron, un autre objet prisé par les Crypteks, a la forme d’un œil et peut altérer l’écoulement du temps autour de son porteur, ralentissant les faisceaux d’énergie et les balles qui le visent. Afin de mieux observer les effets de leurs créations, certains Crypteks emploient des capes Canoptek pour s’élever au-dessus de la mêlée - ces linceuls techno-cabalistiques sont attachés à une machine arachnide qui génère un puissent champ antigravité, permettant à un porteur de voler. Cette machine peut en outre réparer un nécroderme endommagé avec ses membres agiles et ses projecteurs de rayons concentrés.
Les merveilles technologiques des Crypteks sont l’apanage des dieux, et seuls des dieux oseraient leur résister.
Technomancien
Les Technomanciens ont le pouvoir d'améliorer et réparer les unités de Nécrons et de constructs Canopteks sur le terrain. Certains Technomanciens utilisent des Capes Canopteks pour se rendre rapidement où ils seront les plus utiles, tandis que d’autres emploient les faisceaux de nanoscarabées de leurs nodules de contrôle Canoptek pour agir à distance.
Depuis le biotransfert, les Nécrons se reposent entièrement sur la technologie. Les fondations mêmes de leur existence sont bâties sur elle, des corps androïdes dans lesquels résident leurs consciences aux complexes funéraires fortifiés dans lesquels ils se revitalisent et préparent leurs campagnes de domination. Il n'est donc pas surprenant qu'une des disciplines les plus répandues ches les Crypteks soit la Technomancie. Par certains aspects, ces manipulateurs rusés de la haute technologie sont aux Nécrons ce que les ingénieurs sont aux jeunes espèces.
Un Technomancien peut fabriquer des amalgames Canoptek. La plupart de ces constructions aident le Cryptek à réparer les technologies et structures nécrons endommagées. D'autres jouent le rôle de familiers qui transportent leur maître d'un lieu à l'autre, grouillent sur son corps de métal vivant pour effectuer des réparations et projeter des champs de force défensifs, ou s'enfouir dans les technologies - ou le système nerveux - des ennemis pour les soumettre à la volonté du Technomancien. Certains s'entourent aussi de suites d'entités Canoptek plus grandes et plus puissantes qui leur servent d'ouvriers et de gardes du corps.
La plupart des Technomanciens façonnent leurs propres outils, mais un tel terme est par trop réducteur pour décrire ces instruments de création. Objets scintillants aux mécanismes délicats d'horloge quantique, de nano-ingénierie et de champs de force, les équipements des Technomanciens canalisent la puissance de la création pour reconstruire et revitaliser les autres Nécrons au réseau modulaire. Un seul Technomancien talentueux peut solidifier l'ossature d'une ligne entière de Nécrons en faisant ouvrir les faisceaux de leurs nanoscarabées sur les guerriers détériorés ou abattus, et les renvoyer au combat, titubant, tandis que leur corps et leurs membres se reforment couche après couche. On comprend pourquoi les nobles nécrons investissent beaucoup dans les arts des Technomanciens, et pourquoi peu tolèrent longtemps que leur cour n'inclue pas au moins un de ces habiles Crypteks.[1]
Psychomancien
Les Psychomanciens étudient la science de la peur. Ce sont des experts en manipulation, qui créent des hallucinations et d’éphémères constructs de lumière tangible, lesquels attisent l’instinct de préservation chez leurs victimes, ou surchargent même les senseurs les plus avancés. Nul n’est à l’abri de l’art des Psychomanciens.
Lorsqu'ils s'en préoccupent, la plupart des Nécrons voient les formes de vie organiques conscientes de la galaxie comme de la vermine génante à éradiquer. Les Psychomanciens, au contraire, sont fascinés - plus précisément par leur composition psychologique. Les raisons de cette obscession sont variables. Les Crypteks à l'esprit martial veulent simplement saper le moral des nombreux ennemis qui s'opposent à la reconquête des étoiles par les Nécrons, et font de la peur une arme, tout comme d'autres exploitent de puissantes sources d'énergie ou des technologie militaires. D'autres pratiquent cet art avec un sadisme compulsif, s'amusant des réactions apeurées de leurs victimes et se délectant de leur supériorité sur ceux qu'ils voient comme des sauvages primitifs mus par leurs instincts. Certains Psychomanciens ont des buts plus étranges: raffiner les émotions extrêmes pour en faire une source d'énergie, étudier le lien entre les entités organiques et l'immaterium, voire effectuer des investigations clandestines sur les faiblesses inhérentes de la conscience des vivants qui auraient conduit les Nécrontyrs au biotranfert.
Quel que soit leur domaine de recherche, les Psychomanciens sont précieux pour toutes les dynasties nécrons. Sur le champ de bataille, leur art sinistre provoque des vagues de terreur atavique dans les rangs adverses, affaiblissant la résolution des soldats les plus endurcis et faisant fuir ceux qui ont moins de cran. D'un simple tressaillement de leurs technologies, ils déclenchent des pics de panique hypersurrénale concentrée dans le coeur et l'esprit des chefs ennemis. Des spectres de lumière solide invoqués par les Psychomanciens sément l'effroi chez l'adversaire en lui faisant croire qu'il est en sous-nombre ou flanqué au moment crucial.[2]
Chronomancien
Les Chronomanciens sont des Crypteks qui exploitent l’énergie temporelle, leur sceptre des éons et leur lance d’entropie ralentissant ou accélérant le cours du temps en leur faveur. Leurs Capes d’Uchronie se servent d’instants cristallisés pour tromper les coups adverses tandis que leurs chronométrons pressent leurs alliés à travers le temps.
Contrôler le flux linéaire du temps est une notion fantastique pour nombre de jeunes espèces, mais pour les Chronomanciens c'est une science aussi réelle et variée qu'une autre. Ces Crypteks emploient des réceptacles techno-ésotériques pour manipuler des flux temporels localisés et obtenir des résultats aussi surprenants que puissants. Les alliés voient leur vitesse accrue, glissant sans inertie entropique grâce à des flux accélérés qui les transportent rapidement le long des lignes temporelles, jusqu'à des futurs que les autres n'ont pas encore atteints. On peut obtenir l'effet opposé grâce à l'art des Chronomanciens. Un champion ennemi peut être stoppé momentanément alors qu'il porte un coup tel un insecte pris dans de l'ambre. Les individus peuvent aussi être ancrés à un unique instant qui se répète, pour les retenir dans une sorte de stase protectrice ou les emprisonner et les torturer. Une structure qui s'écroule ou une écoutille qui se ferme peut-être désynchronisée afin qu'elle se meuve avec une lenteur glaciale.
Ces applications sont les plus évidentes lorsqu'il s'agit d'employer le temps comme un outils ou une arme. En maniant les étranges appareils de leur discipline et en exploitant tout leur intellect, les Crypteks peuvent aussi utiliser l'énergie temporelle de manières plus étranges et plus grandioses. Par exemple, certains vaisseaux-tombes dynastiques bénéficient de nodes chronotroniques intégrés à leur superstructure, qui accélèrent leurs capacités d'auto-réparation - mais l'abus de ce pouvoir par des nobles en pleine bataille a parfois déphasé leur vaisseau du temps linéaire, le perdant à jamais. Et il y a aussi les sinistres satellites accélérateurs d'entropie de la Dynastie Nekthyst. Placées dans l'espace loin du monde cible, ces armes insidieuses projettent des champs entropiques superposés qui font tout vieillir à un rythme subtilement plus rapide. Si l'effet n'est pas détecté assez tôt, et sa source localisée et éliminée par l'ennemi, des mondes entiers peuvent être réduits en désolations de poussière en quelques décennies - à peine un clin d'oeil du point de vue des Nécrons. C'est grâce à cette stratégie terrifiante que l'infâme Dynatie Nekthyst a conquis plusieurs mondes sans le moindre tir.[3]
Plasmancien
Les Plasmanciens sont des annihilateurs dénués de subtilité. ils sont capables de manipuler l’énergie comme une arme au lieu de la lier à d’autres éléments. De leur silhouette jaillit une foudre instable qui frappe les ennemis proches, et d’un geste, ces Crypteks peuvent canaliser cette même énergie sous forme de décharges cuisantes.
Beaucoup de Cryteks pressentent que quelque chose cloche chez leurs confrères qui se concentrent sur la discipline de la plasmncie. Ces individus destructeurs montrent assurément des excentricités que tous ceux qui n'appartiennent pas au Culte Destroyer trouveraient alarmantes. On sait que les Plasmanciens sont enclins à une autoglorification agressive à la limite de la mégalomanie. Ils méprisent l'autorité de tous ceux qui les entourent - du moins, antant que le permettent les protocoles de commandement - et sont considérés par les Crypteks aux penchants plus intellectuels comme des êtres vulgaires, irascibles, qui ne valent guère mieux que des vandales meutriers.
Bien sûr, ce genre de stéréotype est loin de se vérifier à tous les coups. Pourtant, on ne peut nier que de toutes les disciplines des Crypteks, la plasmancie est celle qui se prête le plus aux destructions violentes. Ces techno-sorciers renoncent à la subtilité en faveur de la canalisation de l'énergie brute des phénomènes cosmologiques les plus impétueux. Ils lancent des boules de plasma chaudes comme une étoile avec des sceptres transformés en armes. Ils modifient leurs corps androïdes pour projeter des arcs électriques qui réduisent les victimes proches en cadavres carbonisés. Ils fabriquent des canons énergétiques colossaux, des munitions à concussion neutrinobarique qui peuvent vitrifier des cités depuis l'orbite, et des lames d'énergie ésotérique vombrissante dont le simple contact peut consumer le système nerveux des cibles vivantes.
Les Plasmanciens sont toujours impatients d'essayer leurs créations de cauchemar. Généralement accompagnés de petites gardes de Cryptoserfs, ils adorent aller sur le champ de bataille et tester leurs armes - ou observer leur déploiment de leurs propres yeux. Les plus dévoués à leur art s'associent même au Culte Destroyer. Ils y trouvent de nombreux nobles dégénérés, trop heureux d'encourager l'appétit débridé des Plasmanciens pour la destruction, et qui se moquent complètement que leurs armes apocalyptiques bafouent les dictats des Codes du Triarcats.[4]Cryptek Technomandrite
Tous les Crypteks sont des génies qui feraient passer les esprits les plus acérés de l’Humanité pour des simplets malhabiles, et les Technomandrites sont les plus inventifs d’entre eux. La civilisation des Nécrons doit nombre de ses technologies les plus puissantes à cette confrérie, tels que les rayons de translocation qui leur permettent de se téléporter dans l’univers matériel depuis des dimensions de poche, jusqu’aux Armes à Fission qui désintègrent leurs adversaires à l’échelle moléculaire. Ces Crypteks devinrent si puissants que le Roi Silencieux, souverain de l’Empire Nécron, finit par ourdir leur chute. Cependant, ils ont depuis peu quitté les ténèbres, libérés de leur exil par des protocoles anti-Chaos mis en place pour prévenir une brèche empyréenne à l’échelle cosmique. Bien que nombre de Tétrarques cherchent à s’emparer de la sombreroche pour empêcher le Chaos de se déverser dans l’univers, les Technomandrites ont déjà plusieurs coups d’avance : si leurs plans venaient à réussir, ils obtiendraient les clefs du triomphe ultime.
Néanmoins, depuis le retour du Roi Silencieux et l’ouverture de la Grande Faille, un conclave de Technomandrites s’est allié avec le souverain Nécron et a participé à la création du Nexus du Paria, tentant ainsi de mettre un terme à la menace que fait peser le Chaos sur la galaxie.[5]
Cryptoserf
Certains Crypteks sont accompagnés par des Cryptoserfs en tant qu’esclaves et gardes du corps. Ces sinistres silhouettes au dos voûté ne sont pas pleinement conscientes, car ce sont des constructs liés à la volonté du Cryptek, et programmés pour défendre leur maître avec leurs corps de métal organique et leurs féroces armes à courte portée.
Médias Externes
Sources
- Codes Nécrons, V9
- Codes Necrons, V8
- Codex Nécrons, V5
- Warhammer 40k - Forgebane
- Warhammer 40k - Le Fil du Silence
- White Dwarf N°499 - Les Mytères des Crypteks
- ↑ White Dwarf N°499 - Les Mytères des Crypteks - Les Arts Technomantiques
- ↑ White Dwarf N°499 - Les Mytères des Crypteks - La Science de la Peur
- ↑ White Dwarf N°499 - Les Mytères des Crypteks - Ingénieurs Temporels
- ↑ White Dwarf N°499 - Les Mytères des Crypteks - L'Energie de l'Annihilation
- ↑ Informations issues de Warhammer 40k - Le Fil du Silence et résumées par Guilhem.