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C’est une lointaine étoile inexplorée qui, à cause du fait qu’elle fut mentionnée dans les dernières paroles d’un psyker mourant, est devenue à la fois un objet de répulsion et d’attirance pour les explorateurs. En 633.M41, un astropathe de Castel fut poussé à la folie et à une mort lente par de terribles visions. Avant de succomber, il eut le temps de bredouiller quelques phrases où il était question de « sombres larves grouillant sous le regard d’une étoile aux yeux verts », d’une « mer d’or fondu » et d’autres terreurs à peine exprimables. Certains érudits versés dans les arcanes supposent que Concanid, dans les lointains Gouffres amers, pourrait être cet astre car elle s’illumine régulièrement de flamboiements verts, pour des raisons inconnues des technoprêtres du divin Astrometricum qui travaillent sans relâche à enregistrer ce genre d’événements célestes dans les moindres détails. Malgré cela, cette étoile n’a toujours pas été visitée à ce jour; aujourd’hui, les exemplaires du témoignage complet de l’astropathe mourant se désagrègent lentement, conservés dans quelques collections privées d’ouvrages ésotériques.
Les seules données dont dispose l’humanité au sujet d’Orn sont dues aux disciples de Thule, qui furent attirés vers les inextricables enchevêtrements des forêts de ce monde par les émanations d’un réacteur warp en sommeil, à l’intérieur d’un vaisseau xenos à moitié enseveli. Là, les Explorators découvrirent une race xenos guerrière et quasiment sauvage, qui utilisait ce vaisseau comme une sorte de nid ou de village tribal. Ces créatures maniaient des techno-instruments qu’elles traitaient comme des reliques et elles traquèrent, démembrèrent et dévorèrent les serviteurs d’exploration que les magos avaient fait déposer depuis l’orbite. Les thuléens marquèrent ce monde de la rune de l’intransigeance, le déclarèrent anathème aux yeux de l’humanité et poursuivirent leur quête.
C’est une lointaine étoile inexplorée qui, à cause du fait qu’elle fut mentionnée dans les dernières paroles d’un psyker mourant, est devenue à la fois un objet de répulsion et d’attirance pour les explorateurs. En 633.M41, un astropathe de Castel fut poussé à la folie et à une mort lente par de terribles visions. Avant de succomber, il eut le temps de bredouiller quelques phrases où il était question de « sombres larves grouillant sous le regard d’une étoile aux yeux verts », d’une « mer d’or fondu » et d’autres terreurs à peine exprimables. Certains érudits versés dans les arcanes supposent que Concanid, dans les lointains Gouffres amers, pourrait être cet astre car elle s’illumine régulièrement de flamboiements verts, pour des raisons inconnues des technoprêtres du divin Astrometricum qui travaillent sans relâche à enregistrer ce genre d’événements célestes dans les moindres détails. Malgré cela, cette étoile n’a toujours pas été visitée à ce jour; aujourd’hui, les exemplaires du témoignage complet de l’astropathe mourant se désagrègent lentement, conservés dans quelques collections privées d’ouvrages ésotériques.
Il existe des endroits bien sinistres au cœur des étoiles du Halo, des lieux maudits et d’autres dont la nature dépasse notre entendement, de lieux où l’espace lui-même se rebelle contre la main de l’homme. Le système dépourvu de nom qui abrite le Cortège des Damnés est de cette espèce: dans un espace gangrené, une poignée de mondes stériles tournent autour d’une étoile instable et très brillante. Le Cortège orbite au plus près de l’étoile, dans son halo d’énergie stellaire; c’est une interminable chaîne étirée composée d’épaves, de Space Hulks déformés par le Warp et de vaisseaux xenos morts, de cent origines différentes. Si les innombrables chantiers navals du segmentum Obscurus lançaient tous, au même instant, un nouveau vaisseau, cette vaste flotte pourrait donner une idée approchante de l’énormité du Cortège. Cela fait une éternité que les courants du Warp recrachent ici ces pitoyables épaves et ces vaisseaux en ruines, peut-être depuis des temps antérieurs à l’essor de l’humanité dans les étoiles... peut-être même antérieurs à l’apparition de l’humanité. Des fantômes et d’autres échos du Warp orbitent en compagnie de tous ces vestiges, liés aux anciennes épaves et aux dernières poussières de leurs enveloppes mortelles.
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Cette planète orbite autour de l’une des Cinerus Maleficum, un chapelet d’étoiles moribondes, environnées d’un nuage de matière stellaire résiduelle expulsé dans l’espace lors de l’explosion qui marqua le début de leur agonie, voici une éternité de cela. C’est sur ce monde glacial que Faith Lathimon trouva la mort avec une centaine d’autres personnes, dans des circonstances qui n’ont jamais été élucidées; on peut y voir des structures cyclopéennes, d’immenses colonnades et des avenues qui sillonnent sa surface noyée de ténèbres, si usées et ensevelies sous les poussières amenées par le temps qu’elles semblent d’abord n’être que des collines et des vallées. Ceux qui ont eu l’occasion de visiter ce lugubre monde ne sont pas nombreux. Parmi eux, on peut retenir les noms de Balastus Irem, qui fut exécuté par l’Inquisition, et de Rafe Longinus et Eduard Majessus, tous les deux disparus sans laisser de traces dans les noires immensités des Étendues de Koronus.
C’est une région nébuleuse où d’antiques étoiles brûlent d’un éclat qui s’assombrit lentement et dont les mondes sont habités depuis des temps immémoriaux. On y trouve des sociétés et des communautés humaines isolées et séparées de l’humanité depuis une éternité. Parmi ces communautés qui ignorent tout de la divine lumière de l’Empereur-Dieu, certaines cultures étranges ont conservé des technologies singulières, héritées du lointain passé oublié de l’homme. Il est possible que ces domaines humains dispersés soient les derniers vestiges d’un ou de plusieurs empires depuis longtemps démantelés, dont il ne resterait que ces enclaves morcelées, semblables aux débris que la marée abandonne sur la grève, une fois qu’elle s’est retirée.
Quelques routes encore incertaines ont été établies entre le royaume de Winterscale et Naduesh et Zayth, mais le reste de ces mondes déchus fait l’objet de nombreux mystères et de spéculations. Les libres-marchands ont à peine effleuré les trésors que recèlent les Étoiles Païennes et doivent encore apporter la parole de l’Empereur-Dieu à leurs communautés. Un milliard d’âmes profanes attend la venue de missionnaires zélés et les grands auto-temples qu’ils déposeront depuis leur vaisseau stationné en orbite. Certains évoquent d’immenses trésors dormant sur des mondes morts, tandis que d’autres convoitent les secrets mythiques d’un âge d’or perdu que garderaient ceux qui vivent sous les lugubres rayons des Étoiles Païennes.
Tout ce que l’on sait de Vaporius et de ses curieux habitants tient dans les rumeurs qui circulent à Port l’Errance, à Castel et dans tous les lieux où se retrouvent des explorateurs et des renégats. Selon ces rumeurs, Vaporius serait un monde de déserts rouges, aux mers scintillantes, couleur de turquoise, et de vastes cités aux tours de cuivre, aux dômes émaillés, aux grands bâtiments carrelés de dalles de verre, de métal ou de céramique vivement colorées. Les humains de Vaporius sont de haute stature; ils ont des visages fiers, aux traits presque félins, et des yeux d’une frappante couleur bleu-vert lumineux. Ils arpentent leurs cités, vêtus de robes dont le tissu chatoyant change subtilement de teinte au rythme de leurs mouvements. À ce que l’on dit, le gouvernement de Vaporius se trouve entre les mains de prêtres-rois qui contrôlent la distribution de l’eau, que tous considèrent comme une force de vie d’essence divine. On raconte également qu’il y a plusieurs dizaines d’années, un groupe de missionnaires se rendit à Vaporius dans l’intention de briser l’emprise des prêtres-rois Personne n’a plus entendu parler d’eux, à part dans quelques rares histoires évoquant des tortures, un massacre et un bain de sang.
Le monde-nécropole d’Agusia orbite autour d’une étoile rouge à l’éclat moribond. Durant des millénaires, une civilisation humaine disparue y a transporté ses morts, le transformant en un cimetière planétaire. Seuls demeurent aujourd’hui d’immenses champs de ruines désertes, surmontées de spires monumentales, désolées, érodées et parfois à moitié enfouies sous l’amoncellement des poussières apportées par les vents, vides de tout sauf des vestiges du passé. La surface d’Agusia est entièrement recouverte par des strates d’édifices en ruines et des océans de poussière née de l’érosion des anciennes pierres des bâtiments. Chaque salle est un sépulcre immensément ancien, chaque site est un mausolée. Les spires-sépultures délabrées et les kilomètres de ruines effondrées les unes sur les autres qui s’étendent en dessous abritent les échos matériels d’un milliard de milliards d’âmes.
C’est une planète profondément marquée par la guerre. Des véhicules colossaux, aussi grands que des cités, labourent la surface de son unique macro-continent. Chacun d’eux est une forteresse ambulante, armé de terrifiants instruments de destruction. La population de Zayth vit à l’intérieur de ces véhicules, protégée des radiations et des toxines émises par des siècles de guerre ouverte. Voilà des millénaires que la surface de la planète est totalement stérile tant elle a été retournée et empoisonnée par les obus, balafrée par d’insatiables exploitations minières à ciel ouvert et malaxée par le passage des ruches-véhicules. Cependant, malgré leurs armements et leurs extraordinaires cités mobiles, les populations humaines de Zayth ont régressé et oublié la majeure partie du savoir de leurs ancêtres, excepté dans le domaine de la guerre; quant à la technique de construction de leurs ruches-véhicules, il y a bien longtemps qu’ils en ont perdu les secrets. Les grandes salles des machines et des générateurs sont closes par des portes de cuivre scellées ou gardées par les membres des ordres héréditaires de Machinistes, qui sont chargés de préserver les traditions et la culture de chaque forteresse clanique.
C’est un monde en ruines que l’on ne peut atteindre qu’en traversant une région du Warp aussi mouvante que traîtresse. On dit que des quantités de reliques intactes, datant du Moyen Age Technologique, dorment dans les salles de ses ruches vides et effondrées sur elles-mêmes et que l’espace autour de la planète résonne d’échos d’émissions vox dans une myriade de langages étranges, de codes binaires brouillés et de crissements statiques. Sa population humaine se compose de sauvages querelleurs et brutaux, qui s’enduisent le corps de cendres et de rouille pulvérisée. Ils ont depuis longtemps oublié le savoir et la sophistication de leurs ancêtres, bâtisseurs des grandes ruches en ruines et concepteurs des trésors qui pourrissent entre leurs murs. Tout ce que l’on sait de Raakata nous vient des récits de Toros Umboldt qui, après avoir prétendu avoir découvert cette planète, fut incapable de la retrouver lors des deux expéditions qu’il monta ensuite. Toutes les traces de son passage avaient disparu, effacées par les remous changeants du Warp; sa réputation en a beaucoup pâti par la suite.
Naduesh est une planète habitée par des humains, un monde de plaines arides et chaudes, où s’élèvent de gigantesques cités qui ne sont plus aujourd’hui que des ruines mais qui témoignent d’un passé d’une impressionnante technologie, aujourd’hui perdue. Ces mégalopoles sont de véritables labyrinthes, et elles s’abritent sous des dômes titanesques, supportés par d’énormes piliers et des murs colossaux dans l’épaisseur desquels sont intégrés d’imposants bastions. Partout, on peut voir des structures suspendues, accrochées aux murailles comme des gargouilles, et toute l’architecture est criblée de salles et de tunnels. La majeure partie de la population de cette planète vit en tribus, loin de ces mégalopoles cyclopéennes, et suit les migrations des grandes hardes d’herbivores qui leur fournissent nourriture et vêtements, tout en guerroyant les unes contre les autres pour l’honneur autant que pour le plaisir de la tuerie. Les peuplades de Naduesh ne comprennent rien aux reliques technologiques qui dorment dans les ruines et semblent incapables de restaurer leur ancienne civilisation. Les consonances de leur langage indiquent de lointaines racines haut gothique, tandis que l’organisation de la culture nadueshi, sa population et ses anciennes mégalopoles en ruines la relient clairement aux anciennes ères de l’humanité. Sur cette planète, les individus les plus influents vivent à Marajur, une large enceinte de ruines de trente kilomètres de diamètres, recouverte d’un dôme de trois kilomètres de haut, aux plafonds effrités.
Sous-secteur centrale des Étendues de Koronus.
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C’est un monde d’imposantes chaînes montagneuses, environnées d’une mer acide, au-dessus desquelles orbite une lune brisée. Dans les labyrinthes des cavernes qui sillonnent la roche noire des montagnes se cachent des centaines de renégats et de crapules de la pire espèce. Ce monde n’existe que pour approvisionner en métal et en matériaux divers de sauvages bandes de pillards voués au Chaos. Ils y amènent leurs captifs qu’ils mettent en esclavage dans leurs fonderies et leurs mines empoisonnées. Il n’y a pas de loi sur Iniquité, à part celle de la force et du meurtre, et sa société brutale est divisée en fraternités liées par le sang et des serments prononcés dans un langage impie. Ces fraternités contrôlent l’industrie minière et les fonderies, dans les vallées profondes qui s’étendent entre les montagnes; elles veillent jalousement sur les armées d’esclaves qui travaillent pour elles et dont le seul espoir est de connaître une existence aussi courte que possible.
C’est une planète fouaillée par les tempêtes, perpétuellement enveloppée d’une épaisse couche de nuages orageux et de cyclones. Les bourrasques qui soufflent continuellement à sa surface dispersent aux quatre vents les spores des simples formes de vie fongiques qui parviennent à survivre sous les éclairs et la grêle glaciale qui se déverse du ciel. Sous ce ciel tumultueux, les pics et les vallées de Grâce dessinent un paysage austère mais très beau, qui fut autrefois parsemé de splendides palais édifiés pour une colonie fondée sous l’autorité de la Libre-Marchande Aspyce Chorda. Derrière leurs boucliers de protection et les grandes baies de cristal de leurs palais, les colons, sélectionnés parmi les exilés les plus fortunés de la noblesse impériale et les plus prospères des criminels (une distinction qui n’est pas toujours facile à établir), pouvaient admirer la beauté du monde sur lequel ils s’étaient réfugiés pour échapper à une meurtrière vendetta, un rival vengeur ou peut-être le poing de fer de la justice impériale. La planète Grâce est toujours aussi belle, mais les palais de l’ancienne colonie ne sont plus que des ruines et ses survivants aux yeux blafards se cachent peureusement dans les ombres, rongés par leur terrible secret.
C’était une colonie des Mondes orphelins, une planète couverte de prairies humides et de hauts plateaux, à la faune et à la flore inoffensives, quoiqu’inconsommables. De petites colonies y furent implantées par un certain nombre de Libres-Marchands, à la fin du 8ème siècle du 41 millénaire, afin de mener des missions de prospection et un bioaugure de la planète. Elles ne découvrirent rien de bien intéressant sur l’écologie de cette planète, et moins encore sous la couche de terre fertile qui la recouvrait. Les derniers rapports astropathiques fragmentaires émis par les colonies de prospection évoquent des constructions découvertes dans les zones de forêts denses, mais ne fournissent aucune autre information à l’exception d’une note précisant que la pluie produisait un bruit étrange à proximité de ces structures. Plus personne n’a entendu parler de ces colonies après une dernière émission astropathique assez confuse, dans laquelle l’émetteur, apparemment délirant, évoquait des silhouettes blafardes sous la pluie et des ombres effilées dans les nuages.
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La colonie qui portait autrefois le nom de Castel Dewain, et que l’on nomme simplement Castel aujourd’hui, se présente sous la forme d’un réseau de centaines de constructions de pierres enchaînées les unes aux autres, flottant dans l’espace non loin de Furibundus. C’est un ensemble de temples et d’édifices fortifiés, aux façades grêlées par le plasma, dont les tours pointent dans toutes les directions dans le vide. La plupart sont reliés par des tunnels de pierre et des ponts suspendus, en plus des titanesques chaînes d’aciers qui les retiennent. Au beau milieu de cet enchevêtrement se dresse une immense statue de l’Empereur-Dieu démesurée, plus imposante que bien des vaisseaux de guerre.
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C’est l’une des régions les plus explorées et les plus exploitées des Étendues, un territoire où il est aussi facile de découvrir de fabuleux trésors que de trouver une mort prématurée lorsque l’on fait preuve d’imprudence. Jalonné par les étoiles qui furent visitées et cartographiées par Sebastian Winterscale, dans les premiers siècles du 41e Millénaire, ce territoire recèle quelques mondes très convoités, posés comme des îles au milieu des ténèbres de l’inconnu. De nombreux Libres-Marchands l’ont traversé cent fois, de long en large, mais ses confins et ses régions les plus troublées par le Warp restent encore inexplorés. Seule une poignée de ses mondes a été explorée, et seulement partiellement, mais ceux-ci regorgent de richesses et de trésors. C’est la raison pour laquelle cette région attire tellement ceux qui aspirent avant tout à s’enrichir et c’est aussi pour cela qu’elle est devenue un véritable champ de bataille où les rivaux s’affrontent pour la possession de tout ce butin. C’est ainsi que, grâce aux infatigables explorateurs du Royaume de Winterscale, des quantités de gemmes, de minéraux précieux, d’animaux exotiques capturés sur des Mondes Mortels, d’artefacts Xenos et d’autres raretés en provenance des Étendues de Koronus se déversent régulièrement dans les coffres de l’élite des cartels et des nobles commanditaires des Libres-Marchands, dans le Secteur Calixis et bien au-delà.
C’était autrefois un empire xenos très peuplé, qui s’étendait sur une poignée d’étoiles assez proches les unes des autres. Il y a bien des millénaires, la civilisation xenos qui habitait cette région tomba, victime d’une calamité dont le nom nous est inconnu, ne laissant derrière elle que ces mondes désolés, vidés de toute vie, aux édifices en ruine. Les planètes principales de ce royaume sont des mondes froids, secs et totalement déserts, couverts de structures étroitement imbriquées formant un gigantesque labyrinthe en trois dimensions, aux murailles et aux encoignures de plusieurs centaines de mètres de hauteur, qui s’étirent en longues bandes sur des milliers de kilomètres dans les plaines désertiques.
Jérazol n’est plus qu’une vaste étendue de cendres et d’os carbonisés. Ce monde, à ce que rapportent les chroniques, fut massacré par cupidité et par dépit. Découvert par un Libre-Marchand très pieux, dont le nom est tombé dans l’oubli, Jérazol était un monde verdoyant, fertile, dont la population humaine était parvenue au stade du tribalisme primitif. Ce Libre-Marchand dont le nom nous reste inconnu résolut de ramener cette population dans la lumière et sous la domination de l’Empereur-Dieu.
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Burnscour est un Monde Mortel, balayé par des ouragans hurlants et couvert de jungles habitées par d’étranges animaux. C’est un endroit totalement inhospitalier pour l’homme; même la pluie y est dangereuse, car elle ronge le métal et fait éclore d’étranges champignons sur toutes les surfaces de peau exposées, tandis que la sève des plantes est affreusement toxique, lorsqu’elle n’est pas simplement mortelle. Pourtant, les spécialistes du commerce d’animaux exotiques y ont trouvé une source d’approvisionnement grâce aux Libres-Marchands ou aux vaisseaux des trafiquants qui les amènent jusque-là, en leur facturant le transport à des prix scandaleux.
Durant l’Âge des Errements, une très petite secte du Ministorum offrit une fortune à Trame Lathitnon afin qu’il transporte ses membres, avec l’Ermitage, leur station spatiale, jusque dans les Étoiles du Halo. Lathimon devait cependant abandonner les ermites au Conclave, une station alors connue pour sa fréquentation et pour le grand nombre de vaisseaux qui y venaient afin d’échanger marchandises et rumeurs provenant des régions situées au-delà. Les superstructures extérieures de l’Ermitage ont fini par se désagréger et s’ouvrir au vide spatial, mais quelques ermites y vivent encore. Les Libres-Marchands ont depuis longtemps pris l’habitude de transmettre des messages codés à leurs alliés en les dissimulant dans des cachettes convenues à l’avance, à l’intérieur de la station. Son transept central richement ornementé est parfois utilisé comme terrain neutre lors de certaines négociations clandestines. Les participants se réunissent alors devant un autel de pierre bleue, surmonté d’un Aquila de platine et entouré de magnifiques bannières, parfaitement préservées et décrivant les victoires de Saint Drusus.
Il s’agit d’un système mort, situé presque au pied des grandes tempêtes Warp, à un bref saut Warp de Port l’Errance. Il présente une étrange symétrie, une conformation presque artificielle : il se compose de roches parfaitement sphériques, de plusieurs centaines de mètres de diamètre, orbitale autour des restes d’un ancien soleil réduit à un bloc de matière dense et charbonneuse. Il n’y a absolument rien d’autre dans ce système : pas de poussières, pas d’épanchement gazeux, pas de planètes. Son nom lui vient des anciens mythes des navigateurs de l’espace, qui l’associent à la carte du Temple dans le sibyllin Tarot de l’Empereur. Cette carte est censée indiquer le début d’une entreprise bénie, mais également la dissipation du royaume du sanctuaire du connu.
C’est une grosse planète rocheuse, isolée dans l’espace, sans aucune étoile autour de laquelle orbiter, comme une perle arrachée d’un collier et rejetée par un dieu. Sa surface est couverte de glaciers nés du gel de son atmosphère. Personne ne sait si elle a pu être éjectée de son système ou si elle s’est formée ainsi, dans la solitude et l’obscurité de l’espace. Aucun équipage n’accepte de rester bien longtemps dans ces parages, car cet endroit a la réputation de porter malheur.
Selon la légende, Hécatombe était déjà un champ d’épaves avant que les Libres-Marchands Trame et Ettimus Lathimon ne viennent y vider une querelle relative aux Mondes Écartelés et ne finissent par s’y entretuer. Là, une immense étendue de décombres, pour la plupart impériaux, tournoie lentement dans le vide sous la pâle lumière des étoiles. Les hommes d’équipage connaissent généralement des dizaines d’histoires au sujet des événements qui ont pu se dérouler ici, voici bien longtemps, avant qu’un Libre-Marchand ne traverse la passe pour la première fois.
La station spatiale de Port l’Errance se trouve à l’extrême lisière des Marches de Drusus, en bordure du Secteur Calixis ; elle est, à juste titre, considérée comme le dernier bastion où règne la loi de l’Empereur de ce côté-ci des Étendues de Koronus. C’est un lieu où fleurissent les espérances les plus vaines et les rêves les plus chimériques. Port l’Errance grouille en permanence d’une population sans cesse renouvelée de marchands et de leurs agents, d’espions, de pèlerins et de missionnaires, parmi lesquels déambulent les fonctionnaires de l’Administratum et les serviteurs du Mechanicus. Tout ce petit monde s’engraisse sur les richesses qui affluent des royaumes de Koronus, au-delà de la muraille des tempêtes Warp. Tous ceux qui veulent se rendre dans les Étendues de Koronus ont une chose en commun : ils passent à Port l’Errance. Qu’ils soient de pieux pèlerins désireux de porter la lumière de l’Empereur au fin fond des ténèbres qui s’étendent au-delà de l’Imperium, ou des monstres malfaisants en quête des instruments qui leur permettront de réaliser leurs rêves impies, ils sont nombreux à faire halte dans le dernier havre où la loi du Trône d’Or fait encore rempart contre les monstruosités de l’inconnu.
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DANSEUR DU VIDE
La Passe de Koronus est une route Warp stable, quoique dangereuse, qui traverse la barrière des grandes tempêtes Warp qui séparent le Secteur Calixis des Étendues de Koronus. Elle fut découverte une première fois il y a très longtemps par un Magos Explorator du Culte de la Machine, pour être ensuite oubliée durant des millénaires avant d’être redécouverte par la Libre-Marchande Purity Lathimon, peu avant la fin du 40e Millénaire. Elle relie Port l'Errance et la région des Marches de Drusus à la grande masse stellaire de Furibundus et à la colonie spatiale de Castel et donne accès, au-delà, aux immensités des Étendues de Koronus.
connue de la flotte
d’Hecaton
l’Empereur-Dieu
Bokou
d’Krô
Serpent
du charnier