Maison Griffith
Les Chevaliers de la Maison Griffith sont des guerriers exemplaires qui maintiennent l’excellence guerrière établie par leurs ancêtres, les premiers colons de Pas du Dragon, baptisée ainsi en raison des reptiles ailés qui volaient dans les cieux de cette planète. La légende raconte qu’avant l’achèvement du SCS Chevalier, les colons affrontaient ces créatures depuis la selle de leurs chevaux. Le plus courageux de ces héros était Nathaniel Griffith, qui tua trois dracs avec une lance fabriquée à partir du fémur d’un des monstres. Il devint naturellement le seigneur de cette Maison quand elle fut fondée.
Selon leurs traditions, les Nobles de la Maison Griffith sont élevés en apprenant des histoires de courage et d’héroïsme. Ils s’entraînent toujours à dos de cheval, en maniant de longues lances. Les disputes entre les Nobles sont résolues par des duels ou des joutes, et des tournois sont régulièrement organisés, comme celui annuel du Champ d’Adamantium, où les familles s’affrontent.
Cette Maison est ainsi composée de valeureux épéistes qui recherchent les plus terribles ennemis à abattre par des charges tonitruantes et des coups mortels. Les Chevaliers de la Maison Griffith sont particulièrement à l’aise au corps à corps, et se sont taillé une réputation d’agressivité et de témérité. L’esprit des premiers chasseurs de dragons perdure chez les descendants de toutes les familles nobles de la Maison Griffith, et quelques rares Trônes Mechanicum conservent encore des souvenirs de cette époque révolue, et résonnent des murmures de héros morts depuis des millénaires.
Le grand maître de la Lance a également l’honneur de manier la version reforgée de la Lance de Nathaniel lors de la joute du Champ d’Adamantium. Cette arme soigneusement taillée dans le fémur d’un grand dragon, vieille de quinze mille ans, est la relique la plus révérée de la Maison Griffith. Au Champ d’Adamantium, les Nobles joutent à dos de cheval, comme leurs ancêtres. Les lances sont dangereusement pointues, mais les jouteurs ont troqué l’armure d’obsidienne d’antan contre un harnois d’adamantium complet afin d’éviter les blessures inutiles.
La Maison Griffith
Fondé par le grand Seigneur Nathaniel, la Maison Griffith a une longue et glorieuse histoire et compte parmi ses membres certains des meilleurs guerriers jamais assis sur un Trône Mechanicum. Les cadres d’élite des Nobles de Griffith peuvent faire remonter leur illustre ascendance à l’époque où leurs ancêtres montaient à cheval pour combattre les grands dragons ailés de leur monde, menant des batailles désespérées contre les terribles bêtes. Dans leurs premières années à Pas du Dragon, les colons n’avaient pas les moyens d’utiliser leurs SCS Chevaliers, incapables d’en extraire les composants pour faire de l’adamantium. À leur place, des chevaux génétiquement modifiés ont été utilisés, façonnés pour survivre dans l’atmosphère rude du monde avec des poumons filtrants et des membranes nictitantes au-dessus de leurs yeux. À cheval sur ces montures, les chevaliers, vêtus de techno-plaques et de masques respirateurs, se battirent. Bien que cette époque soit révolue depuis longtemps, tout comme les bêtes reptiliennes elles-mêmes, les Nobles mettent encore à l’épreuve leurs compétences de combat contre chacun d’entre eux à cheval. Chacun est un grand guerrier, dans et hors de son Armure Chevalier. Le résultat est une maison d’hommes d’armes, chacun d’entre eux étant mortellement proche d’un faucheur et plus que capable de battre des machines de guerre plusieurs fois plus grandes que les leurs avec une rafale de coups et de coupes dévastatrices. En effet, les Chevaliers de la Maison Griffith adorent les combats de mêlée et ont acquis une réputation d’agressivité au combat, en fonçant rapidement sur leurs ennemis et en les mettant au rebut.[1]
Pas du Dragon, le Pays des Bêtes et du Feu
Le monde habité par la Maison Griffith est un endroit sombre et délabré, où d’épais nuages sulfureux cachent le soleil et où des chaînes de montagnes volcaniques couvrent des vallées de pierre noire dans une pluie de cendres sans fin. Bien que sa croûte soit riche en minéraux rares et précieux, Pas du Dragon frôle l’inhospitalier : hostile et dangereux pour les non-préparés. Lorsque les premiers colons humains sont arrivés sur la planète, ils ont regardé autour d’eux avec consternation, le monde aussi proche d’une vision de l’enfer qu’ils pouvaient l’imaginer, et apparemment dépourvu de vie. Malheureusement pour ces premiers humains, il existait une sorte de bête qui se développait dans les cendres du monde et qui réagissait violemment à ces nouveaux venus. Appelés dragons par les humains, c’étaient des bêtes de feu et de cendre, chacun étant un énorme reptile à peau de pierre avec de vastes ailes membraneuses. Nourris par l’essence même du monde, les dragons passaient la plupart de leur temps à se vautrer dans les fissures remplies de magma ou dans la caldeira bouillante des volcans, s’envolant parfois dans des cieux cendrés. Les bêtes s’avéraient être à la fois la malédiction et le salut des colons, les forçant à évoluer et à s’adapter de manière inattendue juste pour survivre aux premières années terribles.[2]
La Guerre du Dragon
Dans les premières années de la colonisation de Pas du Dragon, les humains vivaient dans la crainte quasi constante d’une attaque de dragons. Cachées dans les nuages de cendres qui obscurcissaient constamment le ciel de la planète, les bêtes cherchaient leurs proies, avec des yeux rouges brillants parfois visibles dans l’obscurité. Les bêtes étaient donc en harmonie avec leur environnement, ce qui rendait les auspices et les augures presque inutiles pour les détecter ou suivre leurs mouvements, les créatures se fondant dans la chaleur ambiante du monde ou disparaissant dans son ciel chargé de cendres. Les travailleurs peinaient dans l’obscurité presque totale en jetant un regard craintif vers le ciel, tandis que des sentinelles tout aussi nerveuses tenaient leurs Fusils Laser, sachant parfaitement à quel point les armes seraient inutiles en cas d’attaque de dragon.
Dans cette période oppressante de peur et de désarroi, les chevaliers de Griffith sont arrivés, des hommes qui avaient pratiqué les techniques du cheval et de la lance pendant le long voyage depuis Terra. Lorsque personne d’autre n’osait s’aventurer au-delà des hautes murailles et des dômes renforcés des villes des colons, les chevaliers partaient à la recherche de l’ennemi. Bien que beaucoup soient tombés, leur légende a grandi, tout comme leur compréhension des bêtes. Une pierre noire brillante, semblable à de l’obsidienne, fut extraite et transformée en armure. Les chevaliers découvrirent qu’elle avait le pouvoir de résister au feu du dragon et qu’elle était assez dure pour se défendre contre un coup de griffe ou de dent.
Au début, les chevaliers n’avaient pas d’armes capables de tuer un dragon, même les armes les plus puissantes que possédaient les colons n’ayant que peu d’effet sur la peau des bêtes. Les faisceaux d’énergie et les explosions de plasma semblaient glisser sur les écailles sombres d’un dragon comme de l’eau, tandis que les balles solides devaient toucher un œil ou une gueule ouverte pour avoir le moindre effet. Avec le temps, les chevaliers de Griffith découvrirent que la seule façon sûre de tuer un dragon était de lui transpercer le cœur, et que la seule chose assez forte pour percer les écailles et les muscles était les os des dragons eux-mêmes.
Les chevaliers étaient obligés de faire des raids dans les cimetières de dragons pour que les os se transforment en lances, s’insinuant pendant que les bêtes somnolaient pour piller les restes de leurs morts. Ces lances étaient les plus faibles de toutes celles qui étaient fabriquées, leur tige étant piquée par l’âge et usée par le vent et le feu. Malgré cela, cela permettait aux chevaliers de tuer leurs premiers dragons et de récolter de meilleures lances sur les restes. Finalement, la tradition voulait qu’un chevalier taille sa lance sur le corps du premier dragon qu’il tuait, la trempant dans le sang froid de sa mise à mort et la portant jusqu’à son trépas.
Pendant des années, les chevaliers se sont battus contre les dragons, menant la bataille au plus profond des décombres et tuant des dizaines de bêtes. Au moment où les premières Armures Chevaliers ont été confectionnés, la Maison Griffith était bien établie et avait beaucoup appris sur la lutte contre les dragons. Avec leurs nouvelles armes de guerre, les nobles guerriers de Griffith étaient capables de dévaster leurs ennemis. Bien que les nouvelles armes se soient avérées plus mortelles et plus efficaces, l’image du chevalier à cheval en armure d’obsidienne restera le véritable symbole de la Guerre du Dragon.
Après des décennies à chasser des dragons, les bêtes se sont finalement éteintes et le monde libéré de leur malédiction, laissant derrière lui une élite de guerriers au sein de la société des colons. Bien avant que même les murmures du Trône Mechanicum ne contribuent à créer une société féodale dominés par les Nobles. Au moment où les humains ont créé les mines capables de raffiner des matériaux comme l’adamantium pour fabriquer les Armures Chevaliers, les Nobles qui les pilotaient étaient déjà des épéistes et des combattants hors pair. Cette histoire pleine de conflits a bien servi la Maison Griffith dans ses guerres contre les ennemis de l’Imperium, chaque Maison Noble ayant une compétence inégalée en matière de lame et de canon.
Cet héritage de vertu et de puissance chevaleresque allait bientôt être inscrit en bonne place sur les étoiles, et bien que la Guerre du Dragon ait fait payer un lourd tribut aux habitants de Pas du Dragon, elle allait se révéler inestimable dans leur alliance avec l’Imperium. Lorsque les Nobles de la Maison Griffith parlent de leurs ancêtres, ce sont des récits de la Guerre du Dragon qu’ils racontent, et de la bravoure de ces hommes qui autrefois combattaient les bêtes à cheval. Quelques rares Trônes Mechanicum survivants conservent encore des souvenirs de cette époque, remplis des murmures fantomatiques de tueurs de dragons morts depuis longtemps.[3]
Le Champ d'Adamantium
Dans le cadre de leurs anciennes traditions, les Nobles de la Maison Griffith montent toujours à cheval et s’entraînent à la lance et à la lame. Bien qu’ils n’aient guère l’habitude d’utiliser ces compétences archaïques en dehors d’une Armure Chevalier, ils les emploient toujours dans des concours entre les Maisons. Les disputes entre les Nobles et au sein des familles elles-mêmes sont régulièrement réglées par des duels ou des joutes. Le premier et le deuxième fils deviennent des épéistes et des cavaliers compétents, de peur que les jeunes frères et sœurs n’usurpent leur position au sein de la famille. De même, les combats martiaux ont continué à faire jurisprudence longtemps après l’extermination des dragons, avec des duels pour les plus belles jeunes filles où pour faire ces preuves.
Sans aucun doute, le plus grand tournoi de Pas du Dragon se déroule dans le Champ d’Adamantium, où les familles s’affrontent dans le cadre d’une ancienne alliance. Sous un ciel sombre et nuageux et sur une terre noire et fumante, des hommes vêtus d’une plaque d’adamantium étincelante se battent. Leurs montures sont génétiquement augmentées pour respirer l’air empoisonné du champ qui s’écoule des fissures du sol et qui descend des volcans en cercle. Les Nobles eux-mêmes portent des casques à face de bête avec des recycleurs intégrés. Les narines en acier évasées et le museau en éventail expulsent d’épais panaches jaunes. Les combats se concentrent sur la joute, le grand concours au centre du tournoi, et tandis que les événements moins importants font appel à la mêlée et à l’adresse au tir, c’est la joute qui attire l’attention des familles. En utilisant un système complexe de lignée et de prestige, chaque Noble est classé selon son habileté à la lance et sa position au sein des sociétés de Pas du Dragon. Cela détermine à son tour qui il est autorisé à affronter et comment il peut s’élever ou tomber dans le classement.
Pour les citoyens de Pas du Dragon, les tournois réguliers sont un élément central de leur culture. Ils leur permettent d’échapper brièvement et violemment à la corvée des sous-exploitations agricoles ou des mines. Le choc d’une lance en acier sur une armure en adamantium ou le craquement des os qui se brisent lorsque le cavalier et le cheval sont envoyés au sol sont toujours accueillis avec joie. Depuis les tribunes à l’abri de l’atmosphère, les gens brandissent des banderoles, crient des insultes et des encouragements ou lancent même des jetons sur le terrain, les tournois étant le seul endroit où les citoyens peuvent exprimer leurs véritables émotions, sans être contrôlés par les institutions et les formes strictes de la société.
Les noms et l’héraldique des Nobles préférés sont bien connus du peuple. Leur renommée a conduit à la création de sanctuaires et de statues dans leurs maisons où des prières seront faites pour leur bien, comme il se doit. Le Grand Maître de la Lance Bryce, actuel seigneur de la Maison Griffith s’est ainsi fait connaître en triomphant contre une douzaine de guerriers en un seul jour de concours, et des centaines de sanctuaires portent encore son image, le peuple priant pour sa bonne fortune.[4]
Les Troupeaux de Mégasaures
Le Mégasaures est souvent cité comme la véritable raison de l’agression des dragons envers les colons. Les troupeaux de ces énormes bêtes étaient autrefois communs à Pas du Dragon, leurs épaisses peaux noires et leur sang riche en minéraux étaient convoités par les premiers colons. Malheureusement pour les humains, les Mégasaures étaient aussi la principale proie des dragons. Dans les premières cités-dômes, on trouvait souvent des enclos et des abattoirs où les Mégasaures capturés grandissaient jusqu’à maturité grâce à un régime de déchets minéraux raffinés, avant d’être massacrés pour leurs os, leur sang et leur peau. Ces enclos, où l’on trouvait un grand nombre de Mégasaures, attiraient les dragons, les bêtes ailées se frayant un chemin dans les enclos pour s’attaquer aux proies déjà grasses qui s’y trouvaient.
En plus de récolter les bêtes, les Chevaliers de la Maison Griffith utilisaient le Mégasaure comme appât. Ils surveillaient une bête courageuse dans la nature pour attirer les dragons. En fin de compte, des siècles d’exploitation et d’abattage ont fini par réduire la population de Mégasaures à une fraction de sa taille d’antan, les quelques survivants vivant en captivité. Les vastes mines créées par des centaines de siècles d’établissement humain ont également privé la Mégasaures de ses principales sources de nourriture, ces régions autrefois riches en minerais de subsistance réduites à des friches de brûlés et de cendres. Malgré cela, le Mégasaure a toujours sa place dans les tournois et les jeux de Pas du Dragon. La Maison Griffith conserve son propre stock de vieilles bêtes qui se nourrissent de cette ressource.[5]
Héraldique de la Maison Griffith
L’héraldique de la Maison Griffith doit beaucoup à son fondateur, le glorieux chevalier Nathaniel. Ce fut lui qui choisit les armoiries de sa Maison, qui dépeint le grand dragon Alvirax tenant la lance rompue avec laquelle Nathaniel le tua. La couleur de la livrée des Chevaliers Griffith fait référence à la lance en os de dragon légendaire. Aujourd’hui encore, le Chevalier du seigneur de la Maison Griffith, le grand maître de la Lance, porte un emblème stylisé de lance en hommage à Nathaniel.
 Bryce, Feux de la Bravoure Le souverain de la Maison Griffith porte le titre honorifique de Grand Maître de la Lance, et le roi actuel, Bryce Griffith, s’en est montré digne à maintes reprises. Contrairement aux autres maisons, le Haut Roi ne se distingue pas par la bande traditionnelle sur sa carapace, mais l’héraldique personnelle de Bryce est reconnue instantanément par tous les Chevaliers qui le servent. |
 Draekos, Dernier Tueur de Dragon L’héritage de Draekos fut la Lance du Dragon, un cadre de Chevaliers d’élite issus de ses descendants. Aujourd’hui, son fils géniteur Draekos XXIII pilote son Chevalier, le Dernier Tueur de Dragon, et dirige ce formation de Nobles Griffith dans les guerres à travers l’Imperium.[6] |
 Rarthanis, Complainte du Dragon Comme la plupart des Griffith, Rarthanis pilote un Chevalier Errant, le combat rapproché étant jugé plus honorable. |
 Tristor, Lance Enflammée Sir Tristor marque son tableau de chasse au Titan sur le fût de son obusier (les autres cibles n'en valent pas la peine). |
 Saris, Hound Dextra Le Lige Saris utilise son Hastaire pour semer la panique chez l’ennemi et faciliter la tâche de Sire Tarthin. |
Natanya, Bane of Iron
Dame Natanya pilote l’immense Chevalier Valiant appelé Bane of Iron, dont l’Esprit de la Machine est sans conteste le plus agressif parmi tous ceux de la Maison Griffith. Natanya elle-même est déterminée et courageuse, et la seule à être parvenue à soumettre totalement à sa volonté Bane of Iron, une machine notoirement obstinée. Natanya a dompté la férocité naturelle et la puissance de feu de son Chevalier, et s’est spécialisée dans le rôle d’appui feu à courte portée pour ses camarades. Les traditions de tueurs de monstres des Griffith s’expriment pleinement chez Dame Natanya, qui excelle notamment dans l’éradication des Machines-Démons des Astartes Hérétiques. Elle figura parmi les Chevaliers qui participèrent à la Croisade Indomitus de Guilliman, et prouva sa valeur en protégeant les Ultramarines avec le Bouclier Ionique de son Chevalier, tout en anéantissant les machines de guerre hérétiques par des tirs précis. Natanya a développé un fort esprit de camaraderie avec les fils d’Ultramar.
| Pendant des siècles, les désolations de Pas du Dragon ont résonné du choc des puissantes lames d’adamantium et ont fait écho au tonnerre des canons de combat alors que les Chevaliers de la Maison Griffith testaient leurs compétences les uns contre les autres dans un tournoi sacré. La plupart de ces concours se déroulaient dans des Armures Chevaliers, où un Noble sera jugé par sa vitesse ou son habileté au combat et sa capacité à contrôler sa machine de guerre. Lors de ces combats, la rapidité de réflexion est primordiale pour éviter la chute d’une Tronçonneuse Reaper ou d’un obus de canon.
Cependant, toutes les épreuves chevaleresques ne concernaient pas seulement la grâce mentale et l’habileté au bras. Certaines exigeaient de l’endurance et, tout aussi important, de la chance. La Pluie de Feu intègre ces deux éléments. Les Seigneurs de la Maison transporteront une charge sismique dans les montagnes en feu au-dessus du terrain d’essai choisi, des machines anciennes et des muscles bruts la mettant en place au-dessus d’une des failles volcaniques de la chaîne. Lorsque les chevaliers signalent qu’ils sont prêts, la charge est larguée dans la faille pour exploser au plus profond de la rivière de magma qui coule en dessous. Des siècles de ce genre d’abus géologique font que les résultats sont toujours imprévisibles et spectaculaires, alors que la terre s’enflamme de colère et que des débris enflammés sont projetés dans toutes les directions. Les Chevaliers vont alors s’affronter en duel. Sous cet assaut, leurs Nobles se battant pour maintenir leurs machines de guerre en équilibre et pour orienter leurs Boucliers Ioniques contre leurs adversaires et la pluie de roches enflammées, chaque Noble en lutte gardant le pied en adamantium de leur Armure Chevalier sur terre. D’autres Maisons de Chevaliers dédaignent l’utilisation imprudente des Armures Chevaliers, bien que les Nobles de la Maison Griffith sachent que ce n’est que dans la plus grande adversité que les vrais guerriers sont forgés. |
Sources
- Codex Imperial Knights, V8
- Imperial Knight Companion
- ↑ Imperial Knight Companion - House Griffith, 2013 (traduit de l’anglais par Guilhem)
- ↑ Imperial Knight Companion - House Griffith - Dragon’s End, Land of Beasts and Fire, 2013 (traduit de l’anglais par Guilhem)
- ↑ Imperial Knight Companion - House Griffith – The Dragon War, 2013 (traduit de l’anglais par Guilhem)
- ↑ Imperial Knight Companion - House Griffith - Field of Adamantium, 2013 (traduit de l’anglais par Guilhem)
- ↑ Imperial Knight Companion - House Griffith - Megasaur Herds, 2013 (traduit de l’anglais par Guilhem)
- ↑ Imperial Knight Companion - Draekos, The Last Dragon Slayer, 2013 (traduit de l’anglais par Guilhem)
