Legio Osedax

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Les Cockatrices
  • Trait Spécifique de la Legio : Renforcé dans la Guerre : La Legio Osedax était presque brisée dans les feux de la traîtrise et, bien que menaçant de les consumer, ils ont refusé de céder.[1]
  • Stratagème Spécifique à la Legio : Marche Implacable : Les Princeps de la Legio Osedax s’efforcent de rendre la monnaie de leur pièce, en se jetant dans la bataille sans hésitation.[2]
  • Stratagème Spécifique à la Legio : Le Sang Engendre le Sang : Leur nombre ayant considérablement diminué au cours des premières salves de l’Hérésie d'Horus, les Cockatrices ont répondu à chaque nouvelle perte par une juste vengeance.[3]
  • Matériel Spécifique à la Legio : Canaux à Plasma : Le Monde-Forge de Phaéton était une puissance importante au sein du Segmentum Solar et était capable d’équiper les Titans de la Legio Osedax de nombreuses innovations.[4]


Symbole de la Legio Osedax.

L’appellation plus courante de Legio Osedax est bien choisie car, comme l’antique Cockatrice qui ravagea jadis la Vieille Terre, c’était une bête habitée par une rage froide et totalement dépourvue de pitié, sa seule présence étant un anathème pour tout ce qui vit. Ses machines n’apportaient que mort et ruine, ne laissant derrière elles aucun refuge pour l’ennemi ni aucun abri pour les ennemis de l’Imperium. Leurs Princeps s’étaient spécialisés dans le domaine brutal du combat rapproché, et il était rare qu’une machine de la Legio Osedax entre sur le terrain sans être équipé de vastes griffes ou d’immenses lames tronçonneuses pour déchirer l’ennemi. Au combat, ils constituent une force redoutable, implacable et insouciante de leur propre sécurité, cherchant uniquement à se rapprocher de l’ennemi et à l’éradiquer. Pourtant, ils ne sont pas des berserkers sans cervelle, appliquant leurs compétences sauvages avec une cruauté délibérée et calculée au combat et adoptant un sens scrupuleux du décorum en dehors du champ de bataille.

La Legio Osedax n’a pas toujours été ainsi, l’infamie des Cockatrices est née de quelque chose de bien plus honorable et enraciné dans les origines de la Forge que la Legio appelait leur foyer, dans le sinistre domaine de Phaeton. De tous les Mondes-Forges qui ont réussi à maintenir les communications les plus ténues avec Mars tout au long de la Vieille Nuit et de l’Ère des Luttes, Phaeton a été le plus durement touché par la marée d’horreurs qui parcouraient les étoiles. Face à cet assaut incessant, la Legio Osedax était seule, son nombre diminuant lentement à chaque bataille. Sa bravoure à cette époque lointaine est encore consignée dans quelques archives et dépôts de données, mais, malgré son courage, la Legio Osedax a été réduite à une fraction de sa taille initiale alors qu’elle se battait pour préserver Phaeton.

Les derniers manipules de la Legio Osedax ont adopté une nouvelle stratégie désespérée afin de préserver le Monde-Forge qui les avait vu naître. La première cible de cette stratégie fut le monde de Koronal, autrefois un Monde-Ruche prospère avant l’Ère des Luttes, mais alors devenu un nid de pillards et de pirates. Ici, la puissance restante de la Legio Osedax est sortie une dernière fois. Pourtant, lorsqu’elle a posé le pied sur Koronal, elle na pas arboré de drapeau d’honneur ni lancé d’appel au combat. Au lieu de cela, elle a ouvert le feu sur la Ruche elle-même, faisant s’effondrer l’ancienne structure alors même que les pilleurs à l’intérieur cherchaient à s’armer et à réveiller leurs machines de guerre. Les quelques macro-marcheurs et chars lourds qui parvinrent à s’échapper de l’effondrement furent abattus sans pitié. Koronal n’était que le premier monde à ressentir la fureur de la Legio Osedax et bientôt, une série de mondes brûlés et brisés entourèrent Phaeton. Les Princeps de la Legio Osedax, autrefois si fière, reçurent un nouveau nom pour leur massacre : ils devinrent les Cockatrices, des créatures dont le moindre regard apportait la mort et la ruine. C’était le prix du salut de Phaeton, la ruine totale étant l’héritage de la Legio Titanique.

Avec l’arrivée de l’Empereur dans les années qui ont suivi le salut de Phaeton, cette nouvelle et funeste réputation a assuré aux Cockatrices une place à l’avant-garde de la Grande Croisade, mais en tant que destructeurs mal famés plutôt qu’en tant que guerriers honorables. Au cours des longues années de la Grande Croisade, les Cockatrices ont transformé d’innombrables mondes en terres stériles, comme un avertissement à ceux qui renieraient l’Empereur, et à chaque victoire, le butin de la guerre gonflait à la fois les coffres de Phaeton et sa fierté. Phaeton commença à ressentir de la rancœur à l’égard de Mars, dont elle avait commencé à rivaliser avec la puissance, et cette rancœur s’envenima rapidement, se transformant d’abord en une guerre subtile d’embargos commerciaux et de mots amers, puis en escarmouches cachées et en "accidents" sur le champ de bataille. Les adeptes de Phaeton ne rataient pas les rares occasions de faire honte à leur rival et suzerain, et les Cockatrices s’efforçaient de surpasser les gloires des Legios Titaniques de Mars. Seule la création du Monde-Forge d’Atar-Median, une dernière insulte à Mars voilée de soumission, avait pu éviter une guerre ouverte entre les deux grands Monde-Forges, mais cela n’avait fait que retarder l’inévitable. Kelbor-Hal, Fabricator-Général de Mars et devenu alors un proche confident du Maître de Guerre Horus, élabora discrètement ses propres plans pour humilier la fière Phaeton et paralyser la puissante Legio Osedax.[5]

L'Hérésie d'Horus

Un Titan Warmaster de la Legio Osedax.

Alors qu’Horus commençait sa rébellion sur les plaines de basalte noir de Isstvan V, Kelbor-Hal a déclenché sa propre trahison sur Phaeton. De vastes transporteurs de marchandises qui étaient arrivés à Phaeton Prime sous le prétexte de collecter un tribut pour la lointaine Mars ont commencé l’assaut, se séparant en orbite pour révéler des réseaux cybertheurgiques conçus pour paralyser les délicats systèmes de contrôle de Phaeton. Le code machine toxique et les djinns de données malveillants du vaisseau en orbite ont rapidement submergé les forges de Phaeton, retournant les systèmes complexes de son réseau noosphérique contre lui. Les chaînes de production de Factoria s’effondrèrent, leurs Serviteurs se livrant au vandalisme et à la destruction à mesure qu’ils recevaient des instructions chaotiques, tandis que des bataillons entiers d’Automates de Bataille se déchaînaient, les unités alliées devenant des cibles hostiles.

Dans la foulée de cet assaut, les vraquiers en orbite plongèrent soudainement et tombèrent dans l’atmosphère de Phaeton Prime, percutant la surface comme d’immenses missiles. L’impact seul a détruit des quartiers entiers de Phaeton, mais des décombres ont émergé une multitude d’Automates de Bataille martiens qui ont attaqué les Titans de la Legio Osedax en sentinelle sur leur monde. Leurs systèmes ont été ravagés par les phages de données qui se sont déchaînés sur eux. Beaucoup de Cockatrices ont été entraînées vers le bas par le nombre d’ennemis qui se sont abattus sur les machines-divines, et des Titans individuels ont été déchiquetés par des essaims d’automates suicidaires. Seul le sacrifice héroïque du Titan Inmisercoris, qui a délibérément fait exploser son propre noyau atomique au milieu de la horde, a permis aux Cockatrices de survivre à la bataille.

Ce n’est pas seulement sur Phaeton, mais à travers toute la galaxie, que la vengeance de Mars s’est jouée, avec des détachements de la Legio Osedax opérant comme fer de lance de la Grande Croisade soudainement abandonnés par leurs alliés au milieu de la bataille, ou pire encore, pris dans une embuscade perfide par ceux qu’ils avaient autrefois appelés amis. En l’espace de quelques jours, la Legio Osedax a vu ses forces décimées dans des zones de guerre éparpillées dans la galaxie. La trahison de Mars les laissa avec à peine assez de Titans opérationnels pour déployer une force à l’échelle d’une demi-Legio, bien que grâce à leur résistance courageuse, suffisamment d’infrastructures de Phaeton avaient survécu pour que de nombreux Titans endommagés puissent être rapidement réparés et remis en service. Nombreux sont ceux qui, dans les rangs des Traîtres sur Mars et ailleurs, célébrèrent cette grande victoire, mais ils n’ont pas réussi à tuer la bête qu’était la Legio Osedax et n’ont réussi qu’à la réveiller. Dans toute la galaxie, la Legio Osedax a réparé ses coques déchirées et a nourri la haine suscitée par cette trahison, se préparant à retourner au combat pour de bon. L’infamie qu’ils avaient revendiquée dans les années les plus sombres de leur histoire n’avait pas été éteinte, et ils ont rappelés aux Magos de Mars ce que cela signifiait d’avoir les Cockatrices comme ennemies.[6]

Durant la guerre civile, une force de poursuite de World Eaters engagée dans des opérations de poursuite contre des forces Loyalistes vaincues, a été attaquée par une demi-Legio de la Legio Osedax à Balthor Sigma. Les World Eaters étaient soutenus par de nombreux chars super lourds et ont donc pu tenir les Titans des Cockatrices à distance jusqu’à ce que, coup sur coup, les chars soient engagés depuis un endroit inattendu et détruits en peu de temps. Sans être annoncée, une force d’analogues de Titans Xenos, dont il a été déterminé plus tard qu’elle appartenait au clan Aeldari Fir Iolarion du Vaisseau-Monde de Lugganath, est intervenue avec un effet dévastateur. Ce n’est que lorsque les Titans de la Legio Fureans, alliés des Traîtres, se frayèrent un chemin pour renforcer les lignes des Traîtres que la défaite totale fut évitée. À la fin de la bataille, les Titans Xenos se sont désengagés et ont disparu dans les profondeurs cendrées des forêts magmatiques équatoriales de Balthor Sigma.[7]

La Legio Osedax fut l’une des nombreuses Legios Titaniques à prendre part à la Guerre de Beta-Garmon qui comprenait des centaines de zones de guerre sur des dizaines de mondes. L’Amas de Beta-Garmon, également connu comme la porte d’entrée du Monde-Trône, était le dernier obstacle que les forces du Maître de Guerre Horus devaient franchir avant d’atteindre la capitale de l’Imperium. Lourdement fortifiée par les Loyalistes, Beta-Garmon allait devenir l’une des plus grandes et des plus sanglantes batailles de l’Hérésie d’Horus, ainsi que l’une des plus durables. Des Titans des Cockatrice se battirent sur le monde majeur de Beta-Garmon II alors que les Loyalistes cherchaient à porter un coup décisif pour reconquérir la capitale, Nycron City et débarrasser le système des Traîtres. Épaule contre épaule, les Loyalistes rencontrèrent leurs ennemis dans la bataille comme des formations d’infanterie qui s’affrontent, mais à une échelle beaucoup plus grande, les bannières des Chevaliers courant autour de leurs pieds comme des chiens de chasse. Ce fut le plus grand affrontement de Titans de l’histoire, mais les Traîtres finirent par l’emporter, leur offrant un accès vers Terra où ils seront définitivement vaincue au pieds des remparts du Palais Impérial.[8]

Post-Hérésie

La Legio Osephax a continué à servir l’Imperium au fil des millénaires.

À la suite de l’Âge de l'Apostasie, une croisade pour reprendre la région du Segmentum Tempestus alors appelée les Marches Noires fut lancée avec la bénédiction de Terra. Les autorités du Segmentum ont lancé un certain nombre de croisades et de campagnes pour détruire les menaces persistantes dans leur domaine, et repousser et fortifier les frontières de l’Imperium lui-même.

La plus réussie de ces campagnes fut la Croisade des Marches Sombres, commandée par le Seigneur Tempestus Hal Orpheus, descendant en ligne directe de la Maison des Libres-Marchands qui avait exploré les sinistres étendues de la région des millénaires auparavant. Plus de 600 mondes ont été revendiqués au nom de l’Empereur et de nombreux nouveaux secteurs impériaux ont été créés, dont le plus célèbre est sans doute le secteur Orpheus. Une demi-Legio d’Osedax participa à ces grandes conquêtes.[9]

Force Matérielle

Forgée par la puissance industrielle autrefois illimitée de Phaeton, la Legio Osedax était une Legio Titanique de premier ordre. Préservée des ravages de la Vieille Nuit et enrichie par le butin de la Grande Croisade, Phaeton était prolifique dans sa création de machines de guerre et, au milieu de la Grande Croisade, la Legio Osedax rivalisait avec la Legio Mortis pour le nombre de Titans de Bataille dans ses rangs. Cependant, cette période d’abondance fut écourtée par l’inimitié amère entre Phaeton et Mars, qui fit qu’un tiers des Titans de la Legio fut cédé au nouveau royaume d’Atar-Median. De plus, la trahison dont Phaeton a été victime au début de l’Hérésie d’Horus a encore affaibli les rangs de la Legio Osedax. En l’an 010.M31, au cœur de l’Âge des Ténèbres, les Cockatrices ne pouvaient plus aligner que 75 Titans de Bataille, pour la plupart d’anciennes machines de classe Reaver.

Les Titans en service chez les Cockatrices pendant l’Hérésie d’Horus, bien que peu nombreux, étaient parmi les machines les mieux équipées de l’Imperium. Phaeton a reconnu les sacrifices faits par la Legio Osedax en lui fournissant les reliques technologiques les plus précieuses dans ses armureries, des canaux à plasma avancés aux générateurs de boucliers cycliques multiphases. De longue date, ses Princeps partaient en guerre équipés pour le combat rapproché, et ses rangs étaient hérissés de Poings-Tronçonneuses, de Méga-Bolters à plusieurs canons et de Canons à Fusion à courte portée. Bien qu’en plus de ces forces, la Legio Osedax avait toujours maintenu une force bien équipée de Titans de siège, leurs Princeps étaient particulièrement compétents dans la réduction des fortifications ennemies et souvent considérés comme excessifs dans leur zèle pour cette tâche.[10]

Héraldique de la Legio Osedax

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Titan Warlord, Galeru

Les Titans Warlords de la Legio Osedax ont souvent reçu le nom de bêtes mythiques tirées des annales de l’histoire des Anciens Terrans, rendant ainsi hommage à la fois au nom bas-gothique de la Legio et à la nature redoutable du Warlord lui-même. Comme c’est souvent le cas avec de nombreux récits anciens, les véritables détails ont été perdus dans le temps, laissant de nombreux noms dépourvus de contexte. Pour la Legio Osedax, c’était un bon présage, car seuls les actes futurs du Titan et de son Princeps seraient conservés dans les annales de l’Humanité, sans être entachés par les peurs superstitieuses évoquées dans les âges les plus primitifs.[11]

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Titan Reaver, l’Ange de l’Inimitié

En prévision des inévitables combats rapprochés qui se dérouleront dans la vaste zone industrielle de Ryza, de nombreux Reavers de la Legio Osedax ont été armés de manière à pouvoir combattre les Titans adverses à courte portée. Pour maximiser la destruction que chaque Reaver pouvait causer, les abords de nombreux Temples-Forges ont été mis hors service, les manufactures et les entrepôts ont été creusés et adaptés pour créer des cachettes idéales pour les Titans Reaver tels que l’Ange de l’Inimitié. Cachés des détecteurs ennemis grâce à des disrupteurs électroniques soigneusement placés, les Titans Reavers sortaient de leur cachette une fois que la première ligne de l’avancée des Traîtres avait dépassé leur position, déchirant leur ennemi surpris par de puissants coups de poing Bitronçonneur Reaper. La brutalité de ces embuscades obligeait souvent les traîtres à quitter les limites des Temples-Forges pour se retrouver directement dans le champ de tir des canons longue portée, des plus puissants des Reavers.[12]

Sources

Pensée du Jour : « La victoire se mesure dans le sang versé : le vôtre ou celui de l’ennemi. »
  • Adeptus Titanicus - The Horus Heresy : Loyalist Legios
  • Imperial Armour Vol. 12 : The Fall of Opheus
  • HALEY GUY, La Mort des Titans - Apocalypse sur Beta-Garmon, Black Library, 2018
  1. Adeptus Titanicus - The Horus Heresy : Loyalist Legios, Chapitre - Adeptus Titanicus : Loyalist Legios - Legio Osedax- Legio Specific Trait : Reforged in War (traduit de l'anglais par Guilhem)
  2. Adeptus Titanicus - The Horus Heresy : Loyalist Legios, Chapitre - Adeptus Titanicus : Loyalist Legios - Legio Osedax- Legio Specific Stratagem : Relentless March (traduit de l'anglais par Guilhem)
  3. Adeptus Titanicus - The Horus Heresy : Loyalist Legios, Chapitre - Adeptus Titanicus : Loyalist Legios - Legio Osedax- Legio Specific Stratagem : Blood Begets Blood (traduit de l'anglais par Guilhem)
  4. Adeptus Titanicus - The Horus Heresy : Loyalist Legios, Chapitre - Adeptus Titanicus : Loyalist Legios - Legio Osedax- Legio Specific Wargear : Plasma Channels (traduit de l'anglais par Guilhem)
  5. Adeptus Titanicus - The Horus Heresy : Loyalist Legios, Chapitre - Adeptus Titanicus : Loyalist Legios - Legio Osedax (traduit de l'anglais par Guilhem)
  6. Adeptus Titanicus - The Horus Heresy : Loyalist Legios, Chapitre - Adeptus Titanicus : Loyalist Legios - Legio Osedax (traduit de l'anglais par Guilhem)
  7. Informations issues de l’Adeptus Titanicus - The Horus Heresy : Rulebook, Selected Notable Engines-Wars of the Age of Darkness, 2018 et résumées par Guilhem.
  8. Informations issues de La Mort des Titans - Apocalypse sur Beta-Garmon, Chapitre Vingt-Trois - Rêves Mécaniques de HALEY GUY, Black Library, 2018 et résumées par Guilhem.
  9. Informations issues de l’Imperial Armour Vol. 12 : The Fall of Opheus - The Chronicle of the Orpheus Sector et résumées par Guilhem.
  10. Adeptus Titanicus - The Horus Heresy : Loyalist Legios, Chapitre - Adeptus Titanicus : Loyalist Legios - Legio Osedax - Material Strength (traduit de l'anglais par Guilhem)
  11. Adeptus Titanicus - The Horus Heresy : Loyalist Legios, Chapitre - Adeptus Titanicus : Loyalist Titan Legions - Legio Osedax - Legio Osedax Warlord Battle Titan, "Galeru" (traduit de l'anglais par Trazyn l'Infini)
  12. Adeptus Titanicus - The Horus Heresy : Loyalist Legios, Chapitre - Adeptus Titanicus : Loyalist Titan Legions - Legio Osedax - Legio Osedax Reaver Battle Titan, "Enmity's Angel" (traduit de l'anglais par Trazyn l'Infini)