Acastus Asterius
Parmi les gigantesques Chevaliers Acastus, certaines des plus grandes machines de guerre de ce type encore existantes, l’Asterius est l’une des plus rares. Comme son cousin le plus commun, le Porphyrion, il possède une carapace blindée presque imperméable aux tirs des armes, traversant le champ de bataille comme un géant en colère assailli par les insectes, et manie également une paire d’anciens Canons à Rayons de Conversion. Ces armes sont des reliques irremplaçables d’une technologie perdue, chacune étant capable de détruire les murs de puissantes forteresses et de terrasser de puissants ennemis en un seul coup.[1]
Acastus Porphyrion
Étant l’un des châssis de Chevaliers les plus lourdement armés et blindés en service, peu de Maisons ont pu rassembler les Armures Acastus, même au plus fort de la Grande Croisade. Elles étaient donc considérées comme des symboles de faveur des seigneurs du culte de l’Omnimessie et même les plus grandes Maisons de Chevaliers, comme les Raven ou les Vymer, ne pouvaient en réclamer plus d’une poignée.
Pour le Mechanicus, ils avaient la double représentation de l’arme suprême sur le champ de bataille et l’icône de la divinité du Dieu-Machine ; un symbole de contrôle et de sanction mortelle. Parmi les Armures Acastus, la variante du Chevalier Porphyrion en particulier sert souvent à faire respecter la loi et la domination d’une Maison sur ses Scions, beaucoup portant le symbole héraldique unique de l’urne enveloppée, une charge redoutable donnée uniquement à un Chevalier qui a détruit un de ses frères dans un procès sacré et sanctionné par le duel sur une grande question d’honneur ou de malfaisance. Il y a ceux qui, dans les rangs des Scions et des Sénéchaux des Maisons, ne sont pas d’accord avec la considération par ailleurs universelle dont ces rares armures font l’objet.[2]
Sources
- The Horus Heresy, Book Seven - Inferno
- Forge World - Acastus Knight Asterius[1]