Trazyn l'Infini

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Trazyn l’Infini
Archéoviste des Galeries de Solemnace
Le Grand Collectionneur


« Chère Madame, laissez-moi vous exprimer toute ma gratitude pour votre généreux présent. Il est déjà si rare de découvrir un autre de mes semblables capable d’apprécier mon travail, que l’observer chez un membre d’une autre race revêt une forme de révélation.

Je réalise que vous avez arpenté mes galeries, et le fait que vous ayez pu identifier en si peu de temps que trois régiments de guerrier de Catachan manquaient encore à ma collection de la Guerre d’Acabrius dénote combien vous avez l’œil pour ce genre de chose. Mais de là à m’envoyer cinq régiments complets ! Une telle générosité va me permettre d’éliminer et de remplacer quelques pièces de moindre valeur dans ma collection.

Si j’osais toutefois formuler une critique, les instructions que vous avez laissées ne furent manifestement pas aussi claires que vous le pensiez, car la plupart d’entre eux ont dû être contraints par la force - il semble que leurs ordres étaient par trop similaires à ceux donnés d’ordinaire à une armée d’invasion. Mais il s’agit là d’une plainte mineure qui pourrait paraître mesquine dans de telles circonstances, aussi permettez-moi de vous remercier à mon tour. Vous trouverez avec ce message l’Hypercube Labyrinthique, l’un des Dédales Tesseracts construits à l’apogée de la Dynastie Charnovokh. Il s’agit d’un objet que seuls les érudits comme vous et moi peuvent apprécier, et je pense que vous le trouverez amusant à manipuler, à supposer que vous parveniez à résister à son emprise, bien sûr. »
- Hyperparchemin de Trazyn l’Infini à l’Inquisitrice Valéria, c887.805.M41.

Trazyn est un ancien Tétrarque de la Dynastie Nihilakh[1] et le conservateur des faits et des reliques. Les vastes et innombrables caveaux du Monde-Nécropole de Solemnace sont remplis de technologies si rares et si merveilleuses que tout Technoprêtre de l’Adeptus Mechanicus sacrifierait tout ne serait-ce pour apprendre leur existence. Les chambres enfouies recèlent des artefacts de toutes sortes : le fameux chœur de Moelle Spectrale d’Altansar, la tête préservée de Sebastian Thor, l’enveloppe calcifiée d’un Asservisseur et un humain gigantesque enchâssé dans une Armure Énergétique baroque, ses traits figés dans un hurlement - pour n’en citer qu’une partie. Ce trésor ne cesse de croître, car l’histoire est toujours en marche, et Trazyn s’efforce d’en suivre la cadence. Hélas, rares sont les mondes à lui céder leurs reliques de bonne grâce, préférant s’accrocher à chaque parcelle de leur civilisation plutôt que de leur offrir la préservation à travers les âges. Dans de tels cas, Trazyn n’a d’autre choix que de s’emparer des objets qu’il convoite par la force - et si cela doit sceller le destin d’une cité, d’une planète, voire d’un secteur entier, qu’il en soit ainsi.

Les plus grandes merveilles de Solemnace sont ses galeries prismatiques, des chambres sinueuses bordées de statues relatant les événements de l’histoire que Trazyn a jugés dignes d’être préservés, et classés depuis le dernier conseil du Vaisseau-Monde Idharæ jusqu’aux massacres à grande échelle sur Tragus. La "Mort du Seigneur Stellaire Macharius" se dresse non loin de la "Folie de Doomrider", à quelques pièces de merveilles telles que l’"Épée à la Fois Volée et Cherchée", les "Dernières Questions de l’Historicus Ostalan Varus", et le "Dernier Carré d’Ursarkar Creed". Les galeries prismatiques ne sont pas de simples sculptures, mais des êtres vivants transmutés en hologrammes solides au moyen d’une technologie avancée. Certaines de ces statues ne sont ainsi rien de moins que les acteurs originels de l’histoire, figés dans leur triomphe ou leur défaite de l’instant, et placés là pour témoigner à jamais de leurs hauts faits. Il arrive qu’une statue soit détruite par accident, brisée par un Spectre Canoptek défaillant, l’effondrement d’une cellule, ou bien, dans les pires cas, par un affrontement entre les guerriers servants de Trazyn et l’entourage d’un Inquisiteur trop curieux (dont la plupart sont à présent exposés dans l’une des galeries des niveaux supérieurs). Ces infortunes sont une source de frustration pour l’Archéoviste, car il doit alors stopper ses recherches afin de remplacer les éléments perdus.

Bien entendu, ces statues sont souvent remplaçables, mais les galeries de Trazyn n’observent aucune autre règle que celle de leur conservateur. S’il décide que l’un de ses tableaux de lumière solide remplira sa fonction avec des substituts - fussent-ils inadéquats - il les y intégrera. Un bon tiers de sa galerie "La Mort du Seigneur Stellaire Macharius" est ainsi constituée de Gardes Impériaux dont les uniformes sont postérieurs de trois siècles aux faits, mais Trazyn s’intéresse davantage au spectacle qu’au réalisme, et non des détails comme les boutonnières ou les lacets. Lorsqu’il décide de mettre ses œuvres à jour, il s’exécute avec hâte, traquant les armées, les garnisons ou les mondes dépourvus de défenses planétaires conséquentes. Selon le nombre des remplacements à effectuer, il suffira de quelques enlèvements effectués par des Moissonneurs. Une plus grande mobilisation de forces sera requise dans le cas d’un échantillonnage de population à l’échelle d’une planète entière.

Les Mondes-Nécropoles ne sont pas à l’abri. Dans son esprit, les Nécrons ne sont pas plus dignes de confiance que les autres races lorsqu’il s’agit de veiller sur les artefacts qu’il convoite. Trazyn ne fait pas la différence entre les artefacts détenus sur des mondes extraterrestres et ceux que possède sa propre espèce. Ses "libérations" indiscrètes l’ont rendu indésirables sur plusieurs Mondes-Nécropoles. Les catacombes de Mandragora lui sont interdites, sous peine de mort suite à une longue tentative d’y subtiliser le Bâton du Destroyer, et il n’est le bienvenu sur Mœbius qu’à la stricte condition que sa venue puisse profiter à la Dynastie Nekthyst.

Cela explique en partie pourquoi Trazyn dissimule sa véritable identité sous un pseudonyme. Hélas, alors qu’il considère ses noms d’emprunts comme des chefs-d’œuvre d’artifice, ceux-ci proviennent simplement d’anciens mythes Nécrons, voire de fables, comme le Némésor Koschai ou Thantekh l’Éternel. Le fait que Trazyn soit rarement découvert d’avoir commis son forfait en dit plus long sur la nature bornée et les connaissances sélectives des autres nobles Nécrons que sur ses talents dans l’art du subterfuge. Même sur des planètes aux mains des Orks, sur les Septs T’au et sur les colonies humaines où ses affaires sont conclues invariablement par le biais d’une marionnette contrôlée mentalement, il prend soin de garder son identité secrète. Il sait trop bien que ses activités ont attiré l’attention de certains Libres-Marchands et Inquisiteurs, car l’histoire tourmentée de l’Imperium présente un attrait irrésistible pour l’Archéoviste. Mais bien que Trazyn ne doute pas de ses capacités à éviter les pièges primitifs des humains, c’est avant tout la paranoïa qui le guide.

Trazyn a pour habitude de mener ses campagnes par l’intermédiaire d’un corps de substitution dans lequel il implante sa volonté. S’il subit des dommages trop graves, son essence retourne dans son enveloppe "authentique" ou encore dans celle d’un autre pantin. Les substituts de Trazyn ne sont pas tous identifiables comme tels. En effet, nombre d’entre eux sont en fait des Dynastes ou des Tétrarques dont le corps est, à leur insu, sous la domination de Trazyn. Prendre le contrôle d’une telle enveloppe est aisé pour lui : sa volonté supplante celle de l’hôte dont le corps se transmute en une réplique exacte de celui de Trazyn. Ainsi protégé des dangers d’une galaxie périlleuse, Trazyn peut se rendre là où sa passion le guide. Cependant, cette époque d’entreprise minutieuse est presque révolue. La guerre sévit dans chaque recoin de la galaxie, consumant temples, cités et mondes, voire des races entières, bien avant que Trazyn ait l’opportunité de cataloguer et de "sauver" ce qui le mérite. Ainsi, pour la première fois en un million d’années, Trazyn mobilise toute la puissance des légions de Solemnace, afin de préserver des planètes entières de l’arrivée de barbares ignorants. Une vingtaine de mondes impériaux sont d’ores et déjà occupés par les forces de l’Archéoviste, leurs habitants soumis par ses séides, mais les légions de Solemnace ne semble pas vouloir s’arrêter là pour autant.

Trazyn l’Infini possède l’Équipement suivant :
  • Oblitérateur Empathique : L’exacte provenance de ce sceptre étrange est inconnue de tous sauf de Trazyn, mais on prétend qu’il renferme une technologie conçue par la race éteinte des Anciens. Lorsque l’Oblitérateur Empathique fauche un ennemi, une onde psionique s’échappe de sa victime pour frapper les créatures similaires alentour. Cette arme convient parfaitement à Trazyn, qui dédaigne les combats intenses, leur préférant de loin un unique coup porté au moment opportun.

Les Secrets de Solemnace

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Trazyn l’Infini se promenant dans les galeries de Solemnace.

La première activité de Solemnace - et donc de Trazyn - fut enregistré en 783.41 lorsque l’Inquisition constata que Solemnace fut mystérieusement épargnée par la Flotte-Ruche Béhémoth. Cherchant à en comprendre les raisons, l’Inquisitrice Valéria emmena une force pour enquêter, et découvrit la myriade de merveilles que composent les immenses galeries de Solemnace. Toutefois, lorsque l’Inquisitrice ébahi s’enfonça dans les souterrains de Solemnace, le Monde-Nécropole s’éveille avec rage. Le combat qui s’ensuivit ravagea plusieurs des pièces les plus prisées de Trazyn qui se rendit au front en personne. Valéria abattit le Seigneur de Solemnace avec son émetteur à gravitons seulement pour le voir resurgir des ombres, indemne. La force inquisitoriale, exsangue, se replia alors jusqu’à ses navettes et abandonna Solemnace à ses secrets.[2]

Concernant la Flotte-Ruche Béhémoth, Trazyn semble avoir évité l’invasion grâce à des leurres déclenchés dans l’espace profond, divisant l’essaim Tyranide, au grand dam d’Orikan le Devin, rival de Trazyn qui avait prédit sa destruction entre les griffes du Grand Dévoreur…[3]

La Bataille de Midgardia

En 933.M41, Trazyn repéra une Écharde C'tan de Nyadra’zatha l’Ardent, qui avait échappé à sa collection pendant des millénaires. À la tête d’une flotte dirigé par son Vaisseau-Tombe, il alla droit vers le monde où l’Écharde reposait dans les profondeurs. Cette planète se nommait Midgardia. Mais malheureusement pour Trazyn, à côté de ce monde se trouvait le Monde Chapitral des Space Wolves, Fenris, et le Loups Suprême du Chapitre, Logan Grimnar, s’y trouvait avec sa Grande Compagnie. Refusant de voir le système fenrissien menacé par les Xenos, Grimnar mena sa Grande Compagnie et sa flotte droit sur les navires de Trazyn.

Trazyn envoya des force à la surface de Midgardia pour neutraliser le puissant Canon Nova qui menaçait sa flotte, le Jugement de l’Empereur, et atterrit avec ses armées à la surface pour assiéger les Portes de Magma de Midgardia, un ensemble de vastes Ruches fortifiés qui formaient la porte entre le Midgardia d’en haut et celui d’en bas. Victorieux, il pénétra dans les profondeurs de la planète pour retrouver l’Écharde, empruntant les sombres tunnels.

Entre temps, les Space Wolves avaient attaqué la flotte et Grimnar et ses guerriers avaient rejoints la surface à leur tour, se mettant à pourchasser le Seigneur Nécron qui laissa sur sa route des hordes de Dépeceurs, de Traqueurs, de Mécanoptères et de Spectres Canopteks pour ralentir la progression des Space Marines.

Dans le Pic Infernus, une montagne située à des kilomètres sous la surface de Midgardia, Trazyn se retrouva finalement face aux fils de Leman Russ, entamant une furieuse bataille qui vit le Prêtre des Runes Njal des Tempêtes déclencher une tempête obscure sur Trazyn et sa garde avant que le Seigneur Nécron n’entame un duel avec le Prêtre Loup Ulrik le Tueur, parant avec son bâton le Crozius Arcanum du vieux Space Wolf. Bien qu’en difficultés, le maître de Solemnace s’étaient assurés qu’en parallèle de la bataille, ses serviteurs enchaînent l’Écharde de l’Ardent qui émergea dans un océan de flammes en gravissant la montagne et forçant les Space Wolves à se replier.

Trazyn remonta à la surface, dans l’attention de passer à travers un Portail d’Éternité d’un de ses Monolithes largués depuis l’orbite, afin de rejoindre la sécurité de son Vaisseau-Tombe. Mais Grimnar avait réactivé le Jugement de l’Empereur. L’énorme Canon Nova visa le navire amiral de Trazyn, ce qui le força à se replier, isolant le Seigneur Nécron et ses armées à la surface de Midgardia. Empêché d’utiliser les Portails d’Éternité - à cause des interférences radioactives inhabituelles provenant des épais nuages de spores de l’atmosphère de Midgardia qui avaient sévèrement réduit la portée de la technologie de mise en phase des Nécrons, - Trazyn rejoignit une des pyramides posée au centre d’un champs de Nécrons brisés. Une fois à l’intérieur, sur une plate forme, il commença avec ses Crypteks à manipuler un transporteur de particules avant de se téléporter sur le Vaisseau-Tombe. Protégé par ses factionnaires qui affrontaient la fureur de l’assaut final des Space Wolves dirigé par Logan Grimnar, Trazyn failli y passer de peu, réunissant à se téléporter à une seconde prêt de se faire décapiter par la hache de Grimnar.

Une fois de retour sur son Vaisseau-Tombe, l’Écharde C’tan enfermé dans un Dédale Tesseract entre ses mains, Trazyn se replia.[4]

Les Reliques de Vulkan

Par deux fois Trazyn s’est attaqué à Vulkan He'stan, le Père de la Forge des Salamanders. La première fois, Trazyn tenta de lui arracher la Lance de Vulkan des mains. La seconde fois, il a essayé d’attirer He’stan dans un piège lors de la Croisade de Tachra, mais le vaillant Space Marine le surclassa à nouveau. Il est probable que Trazyn fût derrière les morts mystérieuses de plusieurs Pères de la Forge dans le passé.[5]

La Guerre au Musée

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Trazyn admirant sa "collection".

En 990.M41, alors que Trazyn était en train de faire "reconstruire" un Tyran des Ruches Tyranide dans Solemnace - spécimen acquis dans sa descente atmosphérique après que le Seigneur Nécron ai attiré une Flotte-Ruche Tyranide sur le monde de Vuros (en acquérant une partie au passage de cette Flotte-Ruche grâce à une cascade temporelle), d’où son mauvais état - une alerte se déclencha soudainement : quelques chose venait de pénétrer dans ses galeries. Intrigué devant cet événement qui détourna son attention de sa future pièce maîtresse pour son exposition des Guerres Tyraniques, il parti enquêter.

Recherchant la cause de cette agitation, il fut sauvagement massacré par surprise par un Lictor. Se téléchargeant dans le corps d’un de ses gardes - sensation particulièrement désagréable qui lui donne toujours l’impression de tomber en chute libre dans l’atmosphère d’une planète - Trazyn ordonna la traque de ce spécimen dont le champ de stase semblait avoir dysfonctionné. Son Cryptek nommé Sannet - qui prenait toujours des notes écrites pour se souvenir de ce qui se passait suite à des endommagements de ses matrices engrammiques lors du Long Sommeil - avait diagnostiqué à cet instant un défaut de liaison, provoquant le non renouvellement du dernier cycle d’enregistrement des légions de Solemnace

Accompagné par ses gardes, Trazyn partit traquer le Lictor, comme au bon vieux temps de la chair où depuis un char, la noblesse chassait les bêtes avec ses serviteurs. Cela tourna court, ses gardes furent massacrés et le corps de Trazyn fut de nouveau mit en pièce, forçant le Seigneur Nécron à se réincarner de nouveau et de se barricader dans la galerie des Héros Impériaux des Guerres Tyranniques.

Il coupa les hauts parleurs d’où sa propre voix jaillissait pour guider les visiteurs au cas où il serait définitivement détruit afin qu’on comprenne les diverses expositions qu’il avait crée au fil du temps, enregistrant les guides dans toutes les langues connues de l’Empire Nécron. Il s’arrêta devant l’exposition d’un Magos Biologis en train d’étudier un Guerrier Tyranide, désactivant la stase pour prendre contact avec le Genetor. Il lui demanda son aide, malgré les demandes du Magos qui souhaitait être conscient pendant sa stase afin de réfléchir sur diverses questions. Trazyn rétorqua que cela le rendrai fou, mais qu’une évasion d’un Lictor avait eu lieu. Menaçant de ne plus envoyer les rapports des recherche du Magos au Mechanicus - avec en prime un code-virus Jokaero -, il exigea au Genetor de lui dire comment vaincre le Lictor. Le Magos, spécialiste des spécimens Xenos, lui expliqua la nature particulière du Lictor ainsi que les ravages de l’Ombre dans le Warp, des éléments qu’un être mécanique comme Trazyn ne pouvait sentir.

La solution parfaite entre une bonne puissance de feu - que les Gardes Impériaux n’ont pas - et le besoin d’éviter un ravage total - comme la Deathwatch aime en provoquer - étaient les Sœurs de Bataille. S’arrêtant devant une stase avec deux Sororitas nommées Clara et Setine Fontaine, des Dominions ayant combattu les Tyranides de la Flotte-Ruche Kraken en 968.M41, il libéra des microscopique scarabées qui se répandirent dans l’organisme des Sœurs afin de les empêcher de l’attaquer. La dénommée Clara tenta d’abattre immédiatement Trazyn à peine libérée du champ de stase, mais fut pétrifié par les scarabées dans son corps. Setine était quant à elle en état de choc. Trazyn se présenta, expliquant ce qu’était un Nécron et la nature "historique" de son monde. Clara l’interrompit en exigeant de savoir où était sa sœur, la dénommée Setine étant en réalité une pièce pour remplacer la défunte sœur de Clara. Heureusement, Trazyn lui apprit qu’il avait greffé la main droite, plus une cornée et la plupart des organes de Setine dans Clara. Cette dernière hurla sa rage devant un tel blasphème qui souillait la perfection humaine à l’image de l’Empereur-Dieu, forçant Trazyn à rappeler qu’on faisait de même avec les squelettes des dinosaures (comment il sait ?) et que l’efficacité du corps humain était discutable, notamment sur le fait que le système de reproduction humain était le même que le système d’élimination des déchets, malgré le fait que le Magos objecta que les systèmes à double usage sont efficaces. Trazyn leur présenta ce qu’était un vrai organisme perfectionné : le Lictor. Il voulait que les deux guerrières le tue, car lui-même avait du mal à faire face à ce Xenos redoutable. Clara objecta qu’elle avait combattu les Tyranides, mais qu’elle les laisserait avec joie le soin de dévorer Solemnace. Trazyn lui montra que la victoire impériale - qui a vu sa capture et la mort de sa sœur - n’avait pas empêché l’avancée de la Flotte-Ruche, et que si le Lictor n’était pas tué, il pourrait libérer toute la Flotte-Ruche qu’il conservait sur Solemnace, menaçant in fine l’Imperium. La fausse Sœur de Clara accepta de tuer le Lictor, à condition de pouvoir après rejoindre son seigneur, ce que Trazyn lui promis. Elle se nommait Magdalena et convainquit Clara de l’accompagner, au nom de leur sororité. Clara accepta et parti en chasse, suivit de Magdalena qui jura de réussir au nom de son seigneur : Goge Vandire

Accompagné de sa nouvelle équipe de choc composé des deux Sœurs de Bataille et du Magos, le vaillant Trazyn était prêt à se faire le Lictor. Les portes de la galerie s’ouvrirent, et ils progressèrent en rangs serrés. Trazyn, armé d’un Pistolet à Plasma Impérial (arme rudimentaire à ses yeux), restait en arrière (pour surveiller l’arrière-garde évidemment). Le Magos activa ses scans pour repérer le Lictor qui pouvait surgir de n’importe quel angle. Le Tyranide apparu à l’arrière du groupe - pas de chance pour Trazyn - mais fut accueilli par une grêle de Bolts des Sœurs de Bataille. Avec un de ses bras, le Magos transperça le Xenos avec une scie circulaire, offrant l’occasion à Trazyn d’utiliser son Oblitérateur Empathique, son bâton contenant la puissance d’une race ancienne, frappant le Lictor qui ressemblait à la fin à une bouillie écrasé par un Char Leman Russ.

Les Sœurs exigèrent leur libération mais Trazyn promis de régler sa promesse une fois qu’il aura rejoint le Nuxus Mundi - sa salle de contrôle - le lieu qui lui permettra de communiquer avec ses légions. Puis il contacta Sannet pour s’informer de la mise en sécurité du Tyran des Ruches, mais au même instant, les Sœurs et le Magos lui firent un signe : un Termagant solitaire se dirigeait vers eux, trébuchant comme ivre mort, puis s’arrêta et se pencha, la queue raide pointant haut en se frottant le visage dans la terre, comme confus et désorienté. Magdalena remarqua que vingt-mille yeux de Tyranides en stase les fixaient.

Puis une explosion secoua la galerie, les grandes portes défoncés par le monstrueux Tyran capturé par Trazyn, le Cryptek Sannet empalé sur l’une de ses griffes. Quoi que terriblement mutilé, le Tyran des Ruches utilisait ses pouvoirs psychiques pour contrôler les Tyranides "conservés" par Trazyn, se mettant à dévorer de nombreux Termanagants afin de se régénérer. Puis tous les Tyranides se mirent à bouger. Il était impossible que tant de champ de stase connaissent une telle vague de dysfonctionnement : Trazyn compris qu’un saboteur était à l’œuvre.

Trazyn et ses compagnons durent prendre leurs jambes à leur cou, parvenant à rejoindre et à monter sur une Console de Commandement, Gaunts et Carnifex aux trousses. En altitude, Trazyn put contempler l’essaim de Tyranides qui se propageait dans toutes ses précieuses galeries qui se désactivèrent : Dreadnoughts, Arlequins et Space Marines capturés par le Seigneur Nécron s’affrontèrent entre eux et contre les Tyranides, plongeant Solemnace dans un chaos total au grand désarroi de Trazyn qui voyait s’envoler des pans entiers de sa collection.

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Perfection…

Atteignant finalement le centre de contrôle, Trazyn vit que des combats faisaient rage entre les intercepteurs de la Marine Impériale et les chasseurs T'au se poursuivaient dans les hauteurs éloignées de la chambre forte. Trazyn se plaça devant le centre de contrôle, tirant les rapports du système et recherchant les dégâts pendant que les Sœurs et le Magos le protégeait en tirant sur les Tyranides. Déballant son algorithme spirituel dans le format de données approprié pour le système il projeta sa conscience dans le Nexus Mundi comme un de ses hologrammes. À l’intérieur du système de Solemnace, il recherchait l’intrus responsable de cette folie. Finalement, sortant de derrière une banque de données, le redoutable Cryptek Orikan apparut. Utilisant l’Astromancie pour se projeter vers Solemnace, le Devin expliqua à Trazyn que d’après ses calculs astrales et ses visions, le destin écrit dans les atomes, les géants gazeux et le tourbillon même du cosmos avait prédit que le Seigneur de Solemnace aurait dû être engloutit par les Tyranides de Béhémoth. Pourtant il constatait que Trazyn était toujours là, ce qui le courrouçait. Trazyn se moqua de l’Astromancien, se demandant si Imotekh devrait arrêter de jouer son destin sur les fausses prédictions d’Orikan… Trazyn avait compris que pour assurer sa réputation et la crainte qu’il inspirait à de nombreux seigneurs Nécrons, Orikan devait l’éliminer pour "forcer" l’avenir prédit.

Trazyn constata néanmoins qu’il était prit dans une bulle temporelle formée par l’Astromancien, expliquant que le Lictor libéré par Orikan soit si efficace contre les gardes de Trazyn. Orikan lui expliqua que l’accumulation des pièces composant le musée de Trazyn et placés hors-du-temps créait un dysfonctionnement dans la chronologie, un voile pour ses pouvoirs de divination. Mais si Orikan n’avait pas utilisé ses dons pour modifier la chronologie et détruire ce lieu à l’arrivée de la Flotte-Ruche Béhémoth, c’est qu’il voulait communiquer avec une chose que Trazyn conservait, une chose qui permettrait aux Nécrons de devenir des êtres de lumière d’après Orikan.

Mais une course poursuite dans le cyber-circuit de Solemnace débuta. Trazyn poursuivit Orikan mais les deux Nécrons finirent par se transférer dans le corps des deux Sœurs de Bataille, via les scarabées dans les organismes des deux femmes que Trazyn leur avait inoculé. Trazyn se retrouva dans le corps de Clara, ravi de l’expérience et de ressentir de nouveau le sang et la chair. Orikan était dans l’esprit de Magdalena. Les deux Nécrons, via leurs nouveaux corps, se battirent. Durant leur empoignade, la conscience de Trazyn se retrouva dans celle de Magdalena, revivant les atrocités qu’elle avait commise au nom de Goge Vandire durant l’Âge de l'Apostasie, mais plus troublant encore pour lui fut le sentiment… de paix que ressentait Magdalena via sa foi. Orikan, pour éviter que Trazyn lise son esprit dans ce même corps qu’il partageait passa dans celui de Clara, puis souriant à Trazyn pour le provoquer, il se transféra dans l’esprit du Tyran des Ruches qui approchait. La horde s’arrêta alors que le Tyran hurlait d’agonie. Orikan quitta rapidement la conscience du Tyran des Ruches, choqué avant de disparaître en hurlant de douleur, comme horrifié par ce qu’il avait vu, comme si il avait vu l’Esprit-Ruche en personne. La forme de lumière pure d’Orikan disparu, mettant fin aux troubles sur Solemnace.

Plus tard, Trazyn ajouta une nouvelle exposition à ses galeries. Baptisée "La Guerre au Musée", la scène présentait la dernière bataille dans le centre de commandement. Le Tyran des Ruches, les deux Sœurs, le Magos (mais pour une durée temporaire), et l’un de ses corps de substitution furent les acteurs de cette pièce d’exposition. Il avait promis de libérer les Sœurs mais pas de Solemance, juste de leur exposition précédente. Magdalena fut positionnée de façon à ce qu’elle puisse voir l’exposition qui lui faisait face  : "La Décapitation de Goge Vandire".

Trazyn était satisfait de cette nouvelle pièce de sa collection mais il manquait quelque chose. Au-dessus de la tête du Tyran des Ruches se trouve une place vide avec une plaque sur laquelle on pouvait lire : "ORIKAN LE DEVIN".[6]

Le Seigneur des Clones

Après moult aventure et trahisons, l’Apothicaire renégat Fabius Bile fut chargé par le Seigneur Commandeur Eidolon de récupérer un navire contenant des graines génétiques d’Emperor's Children non corrompues qui avaient disparu durant la Grande Croisade. Le vaisseau en question se trouvait - évidemment - sur Solemnace. Fabius espérait rebâtir la IIIe Légion, éviter les erreurs du passé et rebâtir une Nouvelle Humanité. Après avoir fait une terrible chute avec son compagnon Dreadnought, Diomat, qui se sacrifia pour amortir la chute de Bile, le Primogénitor vit de nombreux scarabées mécaniques se jeter sur les reste du Dreadnought. Dans la pénombre, Trazyn remercia Bile pour ce merveilleux cadeau, un parmi de nombreux que l’Apothicaire lui avait offert par ses actions passées. Trazyn connaissait le nom de Fabius Bile qui exigea de savoir qui il était. Après s’être présenté et avoir affirmé que lui et Bile était très semblable, il annonça à l’Emperor’s Children qu’il lui appartenait…

Trazyn emmena Bile dans le lieu où il conservait le gènes de la IIIe Légion, des rangées de réceptacles blindés, au sein desquels reposaient des glandes progénoïdes, parfaitement préservées. L’Éternel annonça qu’il en avait dix-sept mille quatre cent cinquante-six sur les dix-huit mille orignaux qu’il avait, perdu durant le transport dans son antre. Bile le traita de voleur mais offusqué, Trazyn affirma qu’il avait sauvé ses gènes et qu’il était un "chercheur de mystère", cataloguant la fin de civilisations et la naissance des empires, comme Bile. Le Space Marine renégat lui demanda qu’elle était l’utilisé de Solemnace, puisque personne ne pouvait venir visiter son musée. Trazyn affirma que quand les membres de sa race seront enfin réveillés, il aura une histoire à leur raconter, bien qu’il doutait qu’ils l’apprécient, ou même qu’ils l’écoutent.

Le Seigneur Nécron expliqua qu’il était présent avant même que la race humaine ne se tiennent debout, supportant l’ennui de l’éternité en cataloguant les événements d’une galaxie devenu bien terne à ses yeux. Il montra à Bile des images présentant une étrange entité toute en lumière stellaire et en malice, ainsi que des légions d’êtres vivants pénétrer dans d’immenses structures semblables à des fonderies, des créatures floues, comme si tout souvenir de leur apparence d’alors avait été perdu et qu’il n’en restait… qu’une absence. Mais ce qui réémergea de ces fonderies étaient des êtres mécaniques trop parfaitement identifiables. Trazyn révéla à Bile le destin final des C'tan et qu’un de ces êtres cosmiques se trouvait ensevelie bien profondément dans Solemnace, la pièce principale de sa collection et la source de toute cette énergie qui irradiait son domaine.

L’Éternel se mit à tourner autour de Bile, comme admirant sa future acquisition. Bile tourna à son tour pour le garder en vison, tout en lui demandant si il n’était qu’un fantôme de l’être de chair qu’il était. Trazyn contre-attaqua en lui demandant si il n’était que la copie de la copie de l’homme qu’il a été, prouvant à Bile qu’il connaissait son secret sur ses clones et de ses transferts réguliers pour survivre à travers eux. Au final, il était pareil - mais sa technologie était plus élaboré bien sûr. Enfin, le Nécron expliqua qu’il avait été piégé par Eidolon, envoyé par le rival de Bile comme cadeau en échange des gènes. Trazyn avait visité Harmonie, le monde où Bile avait crée des clones de Primarques, et que dans ce lieu, il avait rencontrer le Seigneur Commandeur des Emperor’s Children - qui avait failli le détruire - passant finalement ce pacte. Trazyn voulait Fabius Bile, un être unique, une Légion à lui seul, le père des monstres. Mais Trazyn fut appâté par l’Apothicaire qui lui affirma que l’enfermer en cage était du gâchis et qu’il pourrait grandement apporter à sa collection, qu’il existait des trésors de plus grande valeur et qui pourraient intéresser un "vrai" collectionneur. Pour Bile, Trazyn affirmait qu’il voulait obtenir un échantillon de tout ce qui existe, mais qu’au final, c’était une tâche bien ingrate et bien dure car l’univers n’est qu’une débauche de nouvelles choses, de nouvelles espèces, de nouveaux artefacts, de nouveaux mondes et que la région de l’Œil de la Terreur pouvait à elle seule suffire à mobiliser tout le temps du Nécron. Trazyn se vit offrir un marché : il laissait Fabius Bile et en échange, ce dernier proposait de ressusciter une espèce éteinte et d’en faire naître une nouvelle, ces banques génétiques possédant une infinité de code génétique d’innombrables d’espèces. Trazyn réfléchi et accepta, mais en conservant Bile auprès de lui. Évidement, l’Emperor’s Children refusa, mais Trazyn pensa que quelques millénaires en stase lui fera changer d’avis. Mais une alarme se déclencha à cet instant : dans une zone du musée de Trazyn un portail Aeldari de la Toile conservé par Trazyn s’ouvrit et une bonne bonne douzaine d’Arlequins prirent bientôt pied dans la réalité matérielle des Galeries de Solemnace. Trazyn vit qu’ils avaient des costumes inédit que sa collection ne possédait pas. Profitant dans cette aubaine Bile lui proposa de s’emparer des Aeldaris en échange d’un sauf-conduit pour rejoindre son navire. Le marché fut conclu.

Fabius Bile se présenta devant les Arlequins venus pour le capturer afin d’assurer son rôle dans le futur qu’ils avaient perçu. Mais c’était un piège, Trazyn en profitant pour lâcher ses scarabées cybernétiques sur les Arlequins tous surpris. Les scarabées pénétrèrent dans le corps des Xenos, les immobilisant. Bile proposa à Trazyn de les figer en plein milieu d’une représentation et de laisser l’histoire en plan, à jamais inachevée. Le Nécron trouvait cette proposition à la fois cruelle mais ingénieuse. Il y réfléchirait…

Puis il laissa Bile rejoindre son vaisseau, mais l’Apothicaire voulait les gènes de sa Légion. Cela ne faisait pas parti de l’accord, donc Trazyn les conservait. L’Emperor’s Children lui demanda ce qu’il voulait en échange. Pour Trazyn c’était le Primogénitor évidemment, il voulait un de ses clones et une copie de son "brillant et singulier esprit" car il appréciait les conversations avec le Space Marine. Bile accepta mais il n’ajouterai une copie neurale de sa conscience que si Trazyn faisait en sorte que son navire restait entre ses mains et non entre celle des hommes Eidolon qui commençait à envahir son navire. Trazyn accepta.

L’Éternel accompagna Bile pour se retrouver face à une scène surréaliste : un clone du Primarque Fulgrim, ressuscité comme durant les jours de gloire de la Grande Croisade, face à des Emperor’s Children à genoux et pleurant comme des enfants devant la réincarnation de leur Primarque bien aimé. Ce clone retrouvé sur Harmonie par Bile était étrangement et inexplicablement parfait. Fulgrim voulait reforger les Emperor’s Children et réparer les erreurs passés. Mais craignant de voir les mêmes erreurs de son père génique se répéter, Bile proposa à Trazyn non pas de prendre un de ses clones, mais de prendre le clone de Fulgrim. Le Nécron accepta sans hésiter, ravi d’avoir un Primarque dans sa collection, ce qui consolait le fait qu’il avait autrefois failli en posséder un… Fulgrim et le reste des Emperor’s Children présents sur la passerelle se figèrent sur place, comme s’ils n’étaient plus des êtres de chair et de sang, mais des statues. Trazyn fit ses adieux à Bile et se transféra sur Solemnace, quittant le vaisseau du Primogénitor avec sa nouvelle et glorieuse acquisition.[7]

La Chute de Cadia

À la fin du 41e Millénaire, la collection de Trazyn sur Solemnace fut dévastée par la Cloche de Saint Gerstahl, une relique restée silencieuse sur son piédestal pendant des milliers d’années, s’étant inexplicablement mise à sonner, en dépit de son socle et du champ de stase qui l’englobait. Après treize coups la cloche se tut et Trazyn la jeta dans les profondeurs de la Toile. Cherchant à comprendre la signification de cet événement énigmatique, Trazyn quitta Solemnace pour se rendre sur Thanatos, monde primordial de la Dynastie Oruscar, où se trouvait le Planétaire Céleste, une représentation parfaite de la galaxie, jusque dans ses moindres détails. Froidement accueillie - car sa dernière visite coïncidait avec la disparition du Glyphe de Domination d’Oruscar - il fut finalement autorisé à aller consulter le Planétaire, sous l’étroite surveillance des Factionnaires. Trazyn constata qu’un événement qui allait changer à jamais la galaxie se préparait et recherchant l’origine du mal qui rongeait lentement la galaxie : la planète Cadia.

Lorsqu’il arriva, le Monde-Forteresse subissait l’invasion des troupes du Chaos de la Treizième Croisade Noire d’Abaddon le Fléau. Il greffa discrètement des machines issues de la technologie Nécron afin de rendre plus efficace les boucliers anti Warp de Cadia - massacrant quelques Technoprêtres au passage. Il offrit ainsi un gain de temps aux troupes impériales et forçant le Fléau à envoyer ses troupes au sol pour les mettre hors d'état de nuire.

Puis il contacta l’Archimagos Dominus Belisarius Cawl, qui s’était fixé pour tâche de déterminer comment utiliser les Pylônes Cadiens pour refermer l’Œil de la Terreur et sauver Cadia des forces du Chaos. Tout comme Cawl, il ne voulait pas voir la victoire des Dieux du Chaos et lui offrit donc son aide. Grâce aux indications de Trazyn, Cawl activa les Pylônes situés dans les profondes cavernes de la planète. Mais au même moment, des Space Marines du Chaos dirigés par Abaddon en personne percèrent les lignes de défenses du Mechanicus afin d’atteindre Cawl. Trazyn s’empara d’un polygone fractal d’un Labyrinthe Tesseract et la lança dans la mêlée, faisant apparaître une petite armée au beau milieu de la caverne, notamment des Ultramarines qu ont combattus durant l’Hérésie d'Horus, des Vostroyens, des snipers de l’ancienne Tanith, des Salamanders, un Custodien et l’Inquisitrice Katarinya Greyfax de l’Ordo Hereticus, accompagnée de ses gardes du corps du 55e des Aigles de Kappic. Trazyn avait capturé Greyfax lorsque cette dernière avait détruit le cerveau de l’Inquisitrice Valéria, lui enlevant l’opportunité de l’étudier… L’arrivée de Célestine et son duel contre le Fléau mit à coup d’arrêt à l’offensive des Traîtres, temps de répit où l’Inquisitrice Greyfax tenta d’éliminer avec son Bolter Condemnor Trazyn avant de se rendre compte, médusée, qu’elle était soumise un contrôle de microscopique scarabées répandu dans son organisme afin de l’empêcher d’attaquer le Seigneur Nécron.

Finalement, Cadia se disloqua lors de l’effondrement de la Forteresse Noire Will of Eternity sur le Monde-Forteresse. Trazyn quitta la planète, non sans s’être emparé d’un trophée pour sa collection : le Seigneur Castellan Ursarkar Creed en personne ![8]

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Sources

Pensée du Jour : « La marche à travers l’enfer est le chemin qui mène à la gloire. »
  • Codex Nécrons, V9
  • Codex Necrons, V8
  • Codex Nécrons, V5
  • Index Xenos I, V8
  • Codex Adeptus Astartes Space Marines, V8
  • Champions of Fenris - A Codex : Space Wolves Supplement
  • RATH ROBERT, War in the Museum - A Trazyn The Infnite Short Story, Black Library, 2020
  • REYNOLDS JOSH, Fabius Bile - Le Seigneur des Clones, Black Library, 2018
  • Gathering Storm - Livre I : La Chute de Cadia, produit par le design studio Games Workshop, 2017
  1. Informations issues de l'Index Xenos I - Trazyn the Infinite, V8 et résumées par Guilhem.
  2. Informations issues du Codex Necrons, V8 - Une Nouvelle Ère Commence et résumées par Guilhem.
  3. Informations issues de War in the Museum - A Trazyn The Infnite Short Story de RATH ROBERT, Black Library, 2020 traduit par Trazyn l'infini et résumées par Guilhem.
  4. Informations issues de Champions of Fenris - A Codex : Space Wolves Supplement - Tombs of Midgardia et résumées par Guilhem.
  5. Informations issues du Codex Adeptus Astartes Space Marines, V8 - Vulkan He'stan et résumées par Guilhem.
  6. Informations issues de War in the Museum - A Trazyn The Infnite Short Story de RATH ROBERT, Black Library, 2020 traduit par Trazyn l'infini et résumées par Guilhem.
  7. Informations issues de Fabius Bile - Le Seigneur des Clones, Chapitre Vingt-Trois - La Panoplie Dorée, Chapitre Vingt-Quatre - L’Éternel, Chapitre Vingt-Cinq - La Dîme de REYNOLDS JOSH, Black Library, 2018 et résumées par Guilhem.
  8. Informations issues de Gathering Storm - Livre I : La Chute de Cadia, produit par le design studio Games Workshop, 2017 et résumées par Guilhem.