Bio-Armes Tyranides

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« Les Tyranides sont sans nul doutes les créatures de cette galaxie dont l’évolution est la plus rapide. Les Magos Biologis de Mars ont observé d’énormes changements d’ADN entre des essaims provenant de différentes Flottes-Ruches. Il aurait fallu des millions d’années à des créatures terrestres pour parvenir au même résultat. Il semble que les "Reines Nornes" Tyranides, les organismes primogenitor à bord des Vaisseaux-Ruches, soient capable de modifier leur progéniture en fonction des environnements et des formes de vie auxquels elle est confrontée. Les codes génétiques récoltés sont assimilés, les défenses des proies sont étudiées, et des créatures améliorées, génétiquement conçues pour surmonter toute résistance, sont engendrées. Avec le temps, les nombreuses améliorations du patrimoine génétique de la Flotte-Ruche sont partagées avec les autres, ce qui renforce la race entière. Le degré d’intégration des armes symbiotes illustre parfaitement ce phénomène. Au début, ces dernières étaient rudimentaires, et les Tyranides les utilisaient comme des épées ou des fusils. Les dernières générations disposent de plus en plus fréquemment d’armement fusionné avec son porteur, à tel point qu’il devient ardu de faire la différence entre la créature et son arme symbiote. Il ne fait aucun doute que les Reines Nornes continueront à travailler sans relâche à des créatures de plus en plus parfaitement adaptées à tuer les captifs de cette galaxie, comme elles l’ont sans doute fait dans celle d’où elles viennent. Pour résumer, la rapidité de leur évolution pourrait bien nous mener à notre extinction dans les siècles à venir. »
- Magos Biologis Alder Garrick

Les rejetons des Flottes-Ruches manient toutes sortes d’armes biologiques, tuant leurs proies avec des membres aux lames de chitine ou des bêtes-canons symbiotiques greffée à leur systèmes nerveux. Les armes que manient les diverses sous-espèces de Tyranides sont bien souvent des symbiotes greffés à la naissance qui croissent et vivent avec la créature qui leur sert d’hôte et qui les utilise. Même les munitions employées par de nombreuses armes des Tyranides prennent la forment d’un organisme vivant, qu’il s’agisse des scarabées écorcheurs voraces ou des répugnantes neuro-sangsues.

Ce qui suit n’est qu’une brève description destinée à l’information des troupes de l’Imperium faisant face à cette menace.


Bio-Armes de Tir : Adaptations Symbiotiques à Longue Portée

Les Tyranides manient des armes biologiques vivantes.

Certaines des espèces Tyranides les plus bestiales ne disposent d’aucune forme d’arme de tir, un nombre croissant des créatures les plus grosses et les plus avancées peuvent cependant en faire usage. Les effets épouvantables de toutes ces armes biologiques parviennent même à affecter les puissantes troupes de l’Adeptus Astartes. L’utilisation de projectiles naturels se vérifie chez bien des espèces animales, mais chez les Tyranides, on constate une diversité incroyable d’organismes symbiotiques de tir ainsi que l’utilisation fréquente des munitions somatiques, bioélectriques et biochimiques conservées à l’intérieur de leurs organismes.

  • Munitions Vivantes : les armes de tir des Tyranides emploient des munitions qui sont formées, portées à terme et excrétées par l’arme elle-même. En conséquence, les armes Tyranides n’ont jamais besoin d’être rechargées, et ne s’enrayent jamais.

Crache-Mort

(La Bio-Arme dite "Crache-Mort" renferme un système complexe et la nature hautement volatile de ses munitions a rendu vains nos efforts pour décrire de façon adéquate leur composition avant éjection. Les analyses indiquent toutefois une forte probabilité des informations suivantes.)

Le corps principal de l’arme abrite une chambre d’incubation. Elles renferment ce qui pourrait être les formes protoplasmiques en gestation des créatures décrites lors des missions d’abordage des Bio-vaisseaux Tyranides par les membres du Chapitre des Space Wolves de l’Adeptus Astartes. Dans cette chambre se trouve également une sorte de crustacé jouant un rôle essentiel dans le processus de tir. La chambre d’éjection est un tube étroit fait de chitine et d’os et scellé par une membrane musculaire. Le tir de cette Bio-Arme s’accomplit de la façon suivante : des stimuli bioélectriques poussent le crustacé à rapporter une forme embryonnaire vers la chambre d’éjection, puis à ouvrir l’enveloppe de l’embryon pour mettre à nu sa chair immature et le placer en position d’éjection. Il semble que nous soyons en présence d’un acte conditionné car le crustacé se nourrit alors de la coque de l’embryon en guise de "récompense". À l’intérieur de la chambre, l’équivalent biologique du bloc de culasse se rapproche, et les enzymes qui le recouvrent réagissent au contact de la chair exposée de l’embryon qui se retrouve expulsé vers la cible. Sa biocomposition acide extrêmement volatile dans la plupart des atmosphères provoque un sifflement aigu lorsque les couches de son épiderme se dissolvent. L’embryon est disloqué par l’impact et sa masse gélatineuse de protéines incomplètes, d’acides, d’éléments caustiques et d’enzymes peut éclabousser une large zone, entraînant des conséquences horribles sur les troupes exposées. Toutes ces substances chimiques sont suffisamment corrosives pour endommager le blindage des véhicules.

Canon Salivaire

Le Canon Salivaire arrose ses victimes de suc gastrique corrosif.

Canon Venin

Cette énorme arme pointue et effilée est un tube creux bardé de muscles concentriques, qui expulsent violemment un kyste. Lors de l’autopsie de certaines créatures, on a pu observer de grands sacs pulmonaires dont on pense qu’ils servent d’organe de propulsion. Les kystes sont produits dans une cavité du corps de l’hôte Tyranide connectée à l’arme par de nombreux conduits ombilicaux, approvisionnant l’arme en munitions ainsi qu’en stimuli neuraux et en divers éléments nutritifs. Le kyste se compose d’une coque enduite d’une couche interne de lipides isolantes, renfermant un mélange maintenu sous très haute pression d’acides, d’enzymes et de toxines libérées lors de l’impact. Cette combinaison d’éléments corrosifs est capable de dissoudre les blindages aussi facilement que les troupes qu’ils sont censés protéger. Cependant, le kyste en lui-même n’est pas extrêmement dense ou résistant, ce qui signifie que la plupart des véhicules blindés peuvent résister à un tel tir sans subir de dommages critiques.

On ne sait pas trop comment cet organisme symbiotique a progressivement évolué, mais on peut suspecter l’adaptation d’un système défensif utilisé hors de son contexte. On sait que les Tyranides font un large usage de cette arme pour exterminer les plus grosses formes de vie des planètes avant la mise en route de la tyranoformation. Peut-être agissent-elles comme un premier stade du processus de digestion aussi bien que comme armes en tant que telles.

Dévoreur

Cette arme est moins un organisme distinct qu’une ruche à part entière, entrée en symbiose avec l’organisme-hôte pour pouvoir y prélever les nutriments nécessaires à l’incubation d’une forme atrophiée de larves de Voraces qui en constituent les munitions. Elle est formée d’une large pointe conique perforée de multiples tubes d’aération qui servent également de voies de sortie en présence d’un danger. Des signaux à base de phéromones appellent les larves vers les issues lorsque l’organisme-hôte ressent le besoin d’utiliser son arme, puis une impulsion bio-électrique ordonne à l’essaim d’attaquer. Lorsqu’une larve rencontre un objet quelconque, elle se met à le dévorer frénétiquement tout en sécrétant une bile hautement corrosive. Ces créatures montrent une préférence pour les tissus nerveux et remontent la colonne vertébrale jusqu’au cerveau avec une hâte extrême, ce qui provoque une mort heureusement rapide. Tout ceci semble indiquer la bio-manipulation du mécanisme naturel de défense de l’espèce originelle.

Note : au vu des effets démoralisants de cette arme, tous les officiers impériaux doivent se tenir prêts à pousser en avant les troupes placées sous leur commandement.

Écorcheur

Munitions Adaptables
Non seulement ces armes inspirent la peur et le dégoût à l’ennemi, mais la nature même de ces munitions vivantes permet à la flotte-ruche de les adapter à des types de défenses spécifiques. Pour les Écorcheurs, par exemple, les gros scarabées en forme de pointe de flèche sont particulièrement efficaces pour pénétrer une armure, tandis que l’abdomen des insectes calcineurs est rempli d’un mélange volatil de composés chimiques qui embrasent l’armure et la chair de la cible. L’étrange scarabée hurleur est conçu pour semer la terreur et la confusion dans les rangs ennemis, en déchaînant un hurlement qui déchire les tympans lorsque le projectile traverse l’air à haute vélocité. Les salves de scarabées hurleurs déclenchent une cacophonie cauchemardesque capable de briser les nerfs des guerriers les plus chevronnés. Ce phénomène fut rencontré pour la première fois sur le vaisseau-monde Aeldari d’Iyanden, lors de l’invasion de la flotte-ruche Kraken.

En dépit de son apparence conventionnelle, cette arme - employée par les troupes de base des Tyranides - est une chambre d’incubation renfermant un grand nombre d’insectes écorcheurs qui, une fois parvenus à maturité, sont conservés dans un état de torpeur par des émissions d’hormones. Tous ces insectes naissent et grandissent dans le corps de l’arme, et passent probablement leurs vies enfermés à l’intérieur. Une stimulation neurologique émise par l’hôte fait remonter vers l’orifice de l’arme l’un des insectes qui sort de son sommeil pour attendre un signal bio-électrique. La manipulation génétique semble avoir rendu ces insectes aveugles, et leurs ailerons sont configurés pour prévenir toute déviation significative de la trajectoire de vol. Lorsqu’il perçoit le signal d’attaque, l’orifice s’ouvre pour permettre à l’insecte de s’élancer vers la cible, sur laquelle il s’accroche de façon tenace. Il commence alors à sécréter des enzymes digestives et ses puissantes mandibules lui permettent de s’enfoncer dans le corps de sa victime, le tout à une vitesse ahurissante. Cette activité persiste jusqu’à ce que les maigres ressources en énergie de l’insecte ne s’épuisent ou qu’un traumatisme quelconque ne mette fin rapidement à son éphémère existence.

La forme et la fonction de cette armes sont similaires à celles du Dévoreur. Certainement une forme de faune agressive dont les instincts naturels ont été mis à profit. On suppose que ces armes sont des versions modifiées de l’insecte de base et qu’elles produisent elles-mêmes les œufs qu’elles incubent.

Étrangleur

Le mode de fonctionnement de cette arme est pratiquement identique à celui du Canon Venin quant au procédé d’expulsion. La différence majeure entre ces deux armes réside dans leurs projectiles. Bien qu’étant elle-même symbiotique, cette arme héberge une plante parasite de type épiphyte dont les fruits font office de munitions. La graine est acheminée par un bras de chargement épais, depuis un sac vers un lanceur, sorte de tube musculeux chargé de la projeter. Ces graines mutantes sont lourdes et d’une grande densité, leur écorce normale est en fait un épithélium catalytique provoquant à l’impact une germination extrêmement rapide des racines et des rhizomes. Ces derniers poussent dans toutes les directions et enserrent ou pénètrent tout ce qu’ils touchent. La suite du procédé métabolique voit la formation d’épines de silicate qui arrachent et transpercent la cible capturée pour en extraire les nutriments à une vitesse proprement incroyable.

Du point de vue de leur évolution, ces cosses montrent des caractéristiques que l’on retrouve dans la flore de nombreux Mondes Hostiles. La croissance rapide de cette plante doit lui permettre d’éviter les attaques de prédateurs et peut-être de capturer des sources de nourriture. Sa forme actuelle peut rapidement passer de l’état de graine à celui de plante mature, en l’espace de quelques secondes. Malgré la quantité d’énergie métabolique déployée, la plante résultante semble être un mutant stérile, bien que de forme stable. La version parasitique incorporée dans l’arme semble être la forme naturelle de cette plante. Nous voyons encore une fois que les Tyranides sont capables de manipuler de façon radicale le génome d’une espèce en produisant une plante-parente capable de générer des organismes différant grandement de sa propre morphologie.

Poings Épineux

Cet organisme - utilisé par paire lors de combats rapprochés - est généralement relié à un des membres supérieurs le long duquel remonte un larynx qui pénètre dans le corps de l’hôte et se connecte à son système respiratoire. Le Poing-Épineux développe une grande quantité de pointes semblables à celles de nombreux échinodermes, enduites de substances mortelles et conservées dans une série de conduits cachés. Cette arme emploie une méthode d’expulsion relativement inhabituelle : des vésicules de respiration se développent à l’intérieur du corps de la créature et c’est le volume des gaz délivrés par la contraction rapide de ces vésicules qui sert à la propulsion des munitions. La créature peut apparemment choisir de n’ouvrir qu’une partie de ses conduits d’expulsion à la fois afin d’assurer qu’elle conserve assez de projectiles si une utilisation ultérieure de l’arme venait à s’avérer nécessaire.

Sous sa forme présente, l’organisme est incapable de projeter ses épines contre une cible sans l’aide de son hôte. Il paraît avoir été développé à partir d’un crustacé prédateur utilisant la compressibilité des atmosphères gazeuses comme sources d’énergie pour ses défenses. Le long larynx ombilical semble indiquer que ce crustacé reste fixé aux récifs des fonds marins et se sert de cet appendice pour aspirer des gaz en surface. Les liquides demandent bien plus d’énergie que les gaz pour pouvoir être compressés. Les autopsies ont révélé des vestiges de tendons là où des épines étaient attachées, ce qui devait permettre à l’organisme d’attraper une proie et de la ramener vers lui sans être obligé de relâcher sa prise dans un courant violent. (Même comprimés au degré biologique que cette forme de vie doit pouvoir atteindre, les gaz affectent sans nul doute sa flottaison ce qui oblige cet organisme à s’agripper fermement pour éviter de partir à la dérive dans les courants et se mettre en situation de vulnérabilité.)

Symbiotes de Corps à Corps : Instruments Organiques de Combat Rapproché

Des Bio-Armes Tyranides.
(Cliquez pour agrandir)

Bio-Knout

Les Bio-Knouts sont des fouets de muscles et de tendons. Au corps à corps, ils saisissent l’adversaire et l’étranglent pour que le Tyranide puisse se nourrir aisément. On distingue généralement trois tendons terminés par des crochets rigides reliés au "corps" d’un organisme enfermé dans une gaine osseuse, elle-même fermement agrippée par le porteur. Les données collectées par auspex et les examens sur le terrain indiquent une forme d’intelligence animale : les Bio-Knouts continuent d’attaquer quiconque s’approche de leur porteur bien après que celui-ci a été éliminé. Les tests semblent aussi indiquer qu’ils sont guidés par les ondes cérébrales. Ce phénomène naturel à certains prédateurs a donc peut-être été appliqué aux armes des hordes Tyranides. Les longueurs d’ondes de l’Esprit de la Ruche ne stimulent pas l’attaque de la créature, ce qui est fort probablement dû à de longues périodes de relation pseudo-symbiotique ou à une manipulation génétique. On suspecte toutefois que les liens neuraux et sensoriels de la gaine permettent un contrôle plus direct des actions de cette arme.

Cette arme est certainement le produit de la manipulation génétique d’un organisme marin tentaculaire commun de la famille des échinodermes.

Épée d'Os

Cette arme crépite d’énergie psychique. Une fois stimulée, sa garde émet un signal qui déclenche une soif de sang frénétique chez le Tyran des Ruches et ses serviteurs. Un Tyran des Ruches portant une Épée d’Os est en permanence sous l’effet du pouvoir psychique Catalyseur.

Griffes Tranchantes

Moult Tyranides sont dotés d’une paire de griffes d’os ou de chitine utilisées d’estoc et de taille.

Pinces Broyeuses

Il s’agit de pinces ou de griffes courtes et puissantes, terminées par des pointes dures comme le diamant. Elles sont tout à fait capables de broyer le plastacier et de déchirer les blindages.

Pinces Broyeuses Hypertrophiées

Ces énormes pinces sont l’apanage des plus gros spécimens Tyranides. Elles sont capables d’écraser plusieurs adversaires en un coup et de déchirer tout ce qu’elles attrapent.

Serre Perforante

Ces serres dures comme le diamant percent les armures sans peine.

Biomorphes d'Amélioration Tyranides

La race Tyranide subsiste dans des conditions d’adaptation et d’évolution constantes. Après chaque victoire et défaite, l’Esprit-Ruche analyse les menaces rencontrées et les tactiques ennemies. Il engendre alors des modifications organiques nouvelles appelées Biomorphes, afin de contrer les points forts de la proie et en exploiter les faiblesses.

Symbiotes primitifs, les Biomorphes sont des créatures multiformes greffées à des Tyranides plus poussés par les Biovaisseaux d’une Flotte-Ruche. Ils confèrent de nouvelles aptitudes ou améliorent des facultés existantes. Les glandes surrénales injectent à l’hôte de puissants stimulants afin de lui conférer une vitesse formidable. Les sacs à toxines permettent aux crocs et aux griffes de l’organisme de sécréter un venin mortel pour neutraliser la victime dans de douloureuses convulsions d’une seule éraflure. D’autres Biomorphes prennent la forme de crochets de chitine logés dans le thorax et reliés à des tendons solides, des plaques de chitine semi-conscientes se rigidifiant à l’impact, et des kystes crachant des nuages de spores afin de dissimuler l’organisme au feu ennemi. En cas de besoin, il est presque certain que les Flottes-Ruches seront capables de produire une gamme encore plus large de modifications génétiques.

Il s’agit de modifications génétiques développées ou greffées sur la créature, sur sa gorge, sa poitrine, sa queue, etc. Elles augmentent son efficacité au combat sans compromettre sa capacité à utiliser d’autres armes symbiotes.

Les Biomorphes d’Amélioration comme les ailes permettent aux Tyranides de prendre l’avantage sur le champ de bataille.

Ailes

Certains organismes possèdent un exosquelette allégé ainsi qu’une ou plusieurs paires d’ailes, ce qui leur permet de voler sur de courtes distances. Il en est aussi dont les membres inférieurs atrophiés leur permettent de voler plus haut et plus longtemps.

Bio-Plasma

Certains Tyranides sont capables de générer un Bio-Plasma qu’ils vomissent sous la forme d’une aveuglante boule de feu vert. Ce processus engendre un cri aigu caractéristique.

Carapace Renforcée

La carapace de la créature s’est épaissie et étendue de sorte à recouvrir efficacement les zones vulnérables de son organisme.

Chitine Renforcée

Les Tyranides qui survivent dans des environnements hostiles développent des plaques de protection plus épaisses. En effet, elles sécrètent en permanence un mucus résineux qui durcit pour former des couches emprisonnant des poches de gel (baptisé "trygel" par les xénosavants), l’ensemble étant à la fois résistant aux tirs et aux radiations.

Cornes

Des excroissances de kératine, parcourues de filaments d’adamantium, ornent la tête de la créature et lui permettent d’effectuer des charges dévastatrices.

Crache-Épines

Des rangées d’épines empoisonnées sont disposées dans les creux de la carapace du spécimen. Un spasme musculaire permet de les projeter sur une courte distance, mais en couvrant une large zone de projectiles venimeux, aveuglants et incapacitants.

Crochets

Ces Crochets en chitine sont reliés à des muscles intercostaux particulièrement puissants. Un spasme permet à la créature de les projeter afin d’attraper ses victimes. Les Crochets sont parfois utilisés comme des grappins pour escalader les surfaces verticales à une vitesse fulgurante.

Dard

Situé la plupart du temps au bout d’une queue ou d’une langue, un Dard injecte des bactéries, des parasites, des acides ou des toxines mortelles.

Exosquelette Renforcé

Lorsqu’il vieillit, l’exosquelette d’un Tyranide se renforce : les couches de muscle, d’os et de cartilage fusionnent pour protéger ses rares points vitaux d’un ensemble de tissus résistant mais flexible.

Glandes Surrénales

Ces glandes sont fréquentes chez les Biomorphes Tyranides dédiés au combat en première ligne. Il s’agit d’un symbiote ressemblant à un polype venant se greffer à l’hôte et qui, au combat, sécrète de fortes doses d’hormones proches de l’adrénaline.

Kystes à Spore Mines

Les grandes créatures Tyranides ont parfois des invaginations sous-cutanées génératrices de Spores Mines. Il semble qu’il s’agisse d’organismes symbiotiques très étroitement liés à leur hôte.

Masse Caudale, Queue Tranchante

Les bio-assemblages Tyranides les plus imposants ont parfois une masse en bout de queue, ou un appendice caudal tranchant. Au combat, il ou elle balaie les arrières de la créature, la rendant très difficile à approcher ou encercler.

Miasmes Toxiques

Les tubes qui ornent le dos de gros spécimens tyranides sont parfois infestés de colonies d’algues microscopiques qui contaminent l’air ambiant avec des émissions soporifiques.

Plaques Osseuses

Les créatures dont le dos est couvert de grosses Plaques Osseuses sont judicieusement surnommées "dos d’os" par les Gardes Impériaux qui ont appris à leurs dépens qu’elles emploient leur masse pour écraser tout ce qui n’est pas assez vif pour s’écarter.

Rampeurs

Certains Tyranides font preuve d’une incroyable furtivité, utilisant tout couvert disponible pour se rapprocher de leurs proies, avant de lancer leur assaut.

Régénération

Certaines créatures du genre Carnifex semblent pouvoir régénérer les dégâts subis. Tous leurs tissus ont évolué de façon à pouvoir réparer très vite les zones limitrophes endommagées. De tels spécimens présentent parfois de vieilles cicatrices et brûlures, dont des impacts de tirs directs qui auraient dû avoir raison d’eux.

Sacs à Toxines

Ce parasite semblable à la tique se nourrit des fluides vitaux de son hôte et excrète des toxines qui se répandent dans ou sur ses armes symbiotiques. La nature de ces poisons varie énormément depuis des neurotoxines paralysantes, jusqu’à des cocktails d’enzymes digestives, mais tous baignent invariablement dans de la lymphe chargée de redoutables macrophages Tyranides.

Salive Acide

La créature possède une puissante langue préhensile, protégée par un épais mucus, et qui dégouline d’une salive très corrosive. Elle l’emploie pour saisir sa proie et en débuter la digestion.

Sang Acide

Le sang de certains Tyranides est si corrosif que quand il est versé, il peut ranger la céramite et dissoudre la chair en quelques instants.

Saut

Certains types de Tyranides sont caractérisés par leurs sauts puissants capables de les amener au corps à corps à une vitesse étonnante.

Sens Accrus

Les Tyranides employant des symbiotes de tir sont généralement dotés, au niveau de leur tête, d’antennes ou d’amas d’organes sensitifs. Des autopsies ont révélé des réseaux neuronaux qui suggèrent fortement que ces créatures deviennent littéralement des prolongements de leurs armes.

Tentacules Sensitifs

Ils sont associés à l’espèce Lictor, ainsi qu’aux Génovores et autres mutants éclaireurs. Ces tentacules faciaux sans cesse en mouvement sont en fait des organes gustatifs et olfactifs très sophistiqués. Ils sont capables de recueillir une foule d’informations sur les proies capturées, qui sera ensuite retransmise aux autres Tyranides alentours. Ces derniers acquièrent ainsi, de façon subconsciente, une connaissance instinctive et précise des points faibles des espèces locales.

Voraces Symbiotes

Les différents types de Tyranides se rassemblent sans distinction : Gaunts, Guerriers et Carnifex se battent côte à côte tandis que des masses de Voraces grouillent entre leurs pattes.

Sources

Pensée du Jour : « Un servant qui se questionne est plus dangereux qu’un hérétique ignorant. »
  • White Dwarf N°85 (Mai 2001)
  • Warhammer 40 000 JdR - Deathwatch
  • Codex Tyranids, V8
  • Codex Tyranides, V6
  • Codex Tyranides, V4
  • Codex Tyranides, V3